- Ensuite, on s'aperçoit que peut-être que le vaccin n'agirait que pendant quinze ans. Oh bein merde, on a vacciné des bébés qui ont 15 ans maintenant et ne sont même plus protégés contre l'Hépatite B. Alors on les a vaccinés pourquoi? En cas qu'ils aient tous des relations sexuelles ou se droguent par intraveineuse pendant leur enfance? Quel était alors le plus grand risque, puisqu'on parle de risque? Que le bébé chope l'hépatite B par drogue ou inceste ou qu'il chope une maladie neurologique plus tard ou ait de graves problèmes? (et certains continuent encore de vacciner les bébés!).
- Et enfin, ce n'est pas la vaccination qui a fait disparaître les épidémies. Il s'agit de mesures d'hygiène et de disparition naturelle. En comparant les pays ayant pratiqué les vaccinations massives et ceux ne l'ayant pas pratiqué on s'aperçoit que des deux côtés, elles ont disparu. Le premier argument pour se faire vacciner et lancé par l'état c'est ça: enrayer la maladie. Une hypocrisie de plus.
Sinon je précise que je respecte vos avis même s'ils me font mal, et que je me dis que malheureusement plus les gens resteront dans cette confiance moins des victimes seront épargnés (souvent bien trop petites pour le faire!) parce que je me retrouve à l'époque moi et mon frère dans le cabinet du docteur, lorsqu'à douze ans je faisais entièrement confiance aux vaccins, que je pensais que c'était pour ma santé, que ça me paraissait naturel.
Donc, au final, il faut se poser la question: Qu'est-ce que je fais, je prends le risque de choper la maladie ou je prends le risque de choper un truc avec le vaccin? On ne devrait pas se poser cette question si tout était clair et vraiment limpide pour notre santé. On ne se vaccine pas pour être malade. Ce que ça va faire le vaccin dans notre organisme reste totalement anarchique, imprévisible, à court et à long terme, sur une vie! Il n'y a qu'à voir la composition que j'ai mis plus haut... quand je me dis qu'on m'a injecté tout ça dans le corps, dès mon plus bas âge, bein je suis loin d'être rassurée et de faire confiance...
En fait, je pense que tant qu'on a pas un proche touché près de nous c'est dur de comprendre et d'être cru... On a pas grand chose pour nous soutenir à part l'entourage et les associations.