C'est une étude réalisée par la JOC (Jeunesse Ouvrière Chrétienne) qui nous l'apprend : en 2010, la majorité des jeunes qui ont travaillé durant l'été l'ont fait par nécessité.
L'été dernier, 54,9% des 15-30 ans interrogés déclarent avoir travaillé. 21,3% disent qu'ils n'ont pas trouvé d’emploi et seuls 17,9% d'entre eux affirment qu'ils n'ont pas travaillé car ils n'en avaient pas besoin.
53,1% de celles et ceux qui ont travaillé déclarent l'avoir fait en priorité pour vivre et payer études et loyers pendant l'année alors qu'un même sondage réalisé en 2007 montrait que seuls 41,7% étaient dans cette situation.
En 2007, avant la crise, la majorité des jeune interrogés travaillaient "pour se faire de l'argent de poche".
Bref, comme le dit la JOC, "le futile tend à diminuer au profit du vital".
Autre constat : sur un marché de l’emploi saisonnier de plus en plus étroit, ceux qui s’en sortent le mieux sont les jeunes disposants d’un réseau personnel ou familial. 77,6% des 15-30 interrogés ont trouvé leur job par ce biais en 2010 contre 68,5% en 2007.
Les institutions officielles comme Pôle emploi, les Missions locales, ou le réseau information jeunesse n’ont été utiles qu'à 12% des candidats au boulot estival.
Enfin, la crise augmente sans surprise l'appétit des Thénardier d'aujourd'hui : 16 % des jeunes interrogés ont été employés en 2010 sans contrat de travail, soit une augmentation de 2 points en trois ans.
Un sur cinq n'a jamais vu la couleur du paiement des heures supplémentaires qu'il a effectuées.
Et vous les madmoiZelles ? Vous bossez cet été ? Par nécessité ? Pour l'argent de poche ? Pour ajouter une ligne à votre cv ? Pour vous payer le permis ?
Avez-vous galéré pour trouver votre job ?
L'été dernier, 54,9% des 15-30 ans interrogés déclarent avoir travaillé. 21,3% disent qu'ils n'ont pas trouvé d’emploi et seuls 17,9% d'entre eux affirment qu'ils n'ont pas travaillé car ils n'en avaient pas besoin.
53,1% de celles et ceux qui ont travaillé déclarent l'avoir fait en priorité pour vivre et payer études et loyers pendant l'année alors qu'un même sondage réalisé en 2007 montrait que seuls 41,7% étaient dans cette situation.
En 2007, avant la crise, la majorité des jeune interrogés travaillaient "pour se faire de l'argent de poche".
Bref, comme le dit la JOC, "le futile tend à diminuer au profit du vital".
Autre constat : sur un marché de l’emploi saisonnier de plus en plus étroit, ceux qui s’en sortent le mieux sont les jeunes disposants d’un réseau personnel ou familial. 77,6% des 15-30 interrogés ont trouvé leur job par ce biais en 2010 contre 68,5% en 2007.
Les institutions officielles comme Pôle emploi, les Missions locales, ou le réseau information jeunesse n’ont été utiles qu'à 12% des candidats au boulot estival.
Enfin, la crise augmente sans surprise l'appétit des Thénardier d'aujourd'hui : 16 % des jeunes interrogés ont été employés en 2010 sans contrat de travail, soit une augmentation de 2 points en trois ans.
Un sur cinq n'a jamais vu la couleur du paiement des heures supplémentaires qu'il a effectuées.
Et vous les madmoiZelles ? Vous bossez cet été ? Par nécessité ? Pour l'argent de poche ? Pour ajouter une ligne à votre cv ? Pour vous payer le permis ?
Avez-vous galéré pour trouver votre job ?