DP en bonne et due forme.
Je suis en train de sentir Jazz Club de Maison Margiela. Poke @Kazia !
Ce qui m’est venu en premier (j’ai pris quelques notes) : « ambré, floral, poudré, alcoolisé, vanillé, cuiré ». L’huile de néroli m’a attaquée, dès les premières secondes (je ne m’attendais pas à trouver des notes florales dans ce parfum), frontalement. J’ai beau insister, je ne repère pas les agrumes (Jazz Club est censé avoir une facette hesperidée). J’avais oublié que la collection Replica proposait des eaux de toilette — ça manque de matière, d’épaisseur, d’intensité pour mon nez un peu « wild ». Cette EdT raconte une belle histoire, mais je ne suis pas touchée.
Après une demi-heure, les choses ont évolué. Je la trouve dynamique (aérienne, jazzy, oui — j’identifie enfin le citron) et terreuse à la fois (boisée, avec un aspect « feuilles de tabac sec », que j’imagine blond).
Comme je suis déjà parfumée, je l’ai testée uniquement sur papier.
Je suis en train de sentir Jazz Club de Maison Margiela. Poke @Kazia !
Ce qui m’est venu en premier (j’ai pris quelques notes) : « ambré, floral, poudré, alcoolisé, vanillé, cuiré ». L’huile de néroli m’a attaquée, dès les premières secondes (je ne m’attendais pas à trouver des notes florales dans ce parfum), frontalement. J’ai beau insister, je ne repère pas les agrumes (Jazz Club est censé avoir une facette hesperidée). J’avais oublié que la collection Replica proposait des eaux de toilette — ça manque de matière, d’épaisseur, d’intensité pour mon nez un peu « wild ». Cette EdT raconte une belle histoire, mais je ne suis pas touchée.
Après une demi-heure, les choses ont évolué. Je la trouve dynamique (aérienne, jazzy, oui — j’identifie enfin le citron) et terreuse à la fois (boisée, avec un aspect « feuilles de tabac sec », que j’imagine blond).
Comme je suis déjà parfumée, je l’ai testée uniquement sur papier.