Les extraits que vous aimeriez nous faire partager !

12 Septembre 2005
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Thumesnil
En réalité, je pense que, si la peur de faillir peut peut-être justifier mon inertie foncière et l'échec général de ma vie, ceux qui s'abstiennent éternellement n'ont pas plus de présence dans le réel que les morts.

Sylvain Trudel, La mer de la tranquilité.
 
A

AnonymousUser

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Anaïs Nin, Journal de l'amour :
Le rythme, écrit Elie Faure, c'est cet accord secret avec le battement de nos veines, le bruit de nos pas, les exigences périodiques de nos appétits, les alternances régulières de veille et de sommeil... L'obéissance au rythme favorise l'exaltation lyrique et permet à l'homme d'atteindre la plus haute moralité en lui procurant ce léger vertige, qui lui donne l'impression que, suspendu dans la nuit et la confusion d'une genèse éternelle, il est le seul dans la lumière à la recherche de la liberté.
Nous parlons, nous parlons de June. Et de l'habitude qu'ont les femmes narcissiques de considérer leur corps comme sacré. June, Louise, moi.
Et puis elles vont se jeter sur n'importe qui. Pourquoi ? Parce que, parce qu'elle se connaissent bien et ont peur de se donner ; aussi offrent-elles leur corps à un homme avec une immense fierté et pour le tromper, inconsciemment, elles font là un geste qui préserve leur noyau. Comme l'a fait June.
June voulait offrir à Henry le coeur de son être. Henry voulait tout donner à June. Mais aucun des deux n'en a voulu. Lui a combattu les efforts de June pour le posséder totalement et elle a combattu l'amour sexuel de Henry, qui se moquait de son coeur.
Sur le plan de l'imagination, je règne. Sur le plan de l'expérience, j'ai peur.
Allendy n'a pas compris que ce que je désire, ce sont la flagellation de la vraie passion et la soumission à un authentique sauvage.
Et voici ma question : les hommes sont-ils morts aujourd'hui parce qu'ils ont falsifié les principes de la vie, ou bien ont-ils falsifié les principes de la vie parce qu'ils étaient déjà morts, afin d'obtenir l'illusion de vivre en manipulant la vie ?
 
26 Novembre 2006
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Il gardait en mémoire ce jour où il était arrivé chez un couple d'amis fiers de présenter au monde leurs jumeaux. L'un deux était colérique, fébrile à l'idée de téter ; de peur de déclencher des hurlements, sa mère le nourissait en priorité. L'autre, timide, retenu, attendait son tour en silence. Nicolas y voyait une métaphore universelle : les emmerdeurs passeraient toujours les premiers.

Il aurait été le premier au courant si le monde avait appartenu à ceux qui se lèvent tôt, il appartenait avant tout à ceux qui osent.

Quoi que vous fassiez, soyez discret. Pas à cause d'un sentiment de honte, juste pour les priver de ce plaisir.

Tonino Benacquista, Quelqu'un d'autre.
 
A

AnonymousUser

Guest
"Elle considérait toutes les choses de la vie comme sa propriété particulière, qu'elle pouvait choisir et distribuer à son gré ; on eût dit qu'elle prélevait sans cesse des cadeaux sur un comptoir inépuisable." (p.79)

"(...) Il se demanda pourquoi les gens choisissent invariablement d'imiter les gens inimitables." (p. 104-105)

"Ainsi se développe l'intimité. D'abord on donne de soi la meilleure image, le produit éclatant et achevé, retouché à coup de bluff, de fausseté et d'humour. Ensuite, un surcroît de détails est requis, et l'on peint un second portrait, et un troisième. Bientôt les plus belles lignes s'effaçent, et un secret se trouve enfin dévoilé." (p.134)

"Ne rien déplorer, ne pas pousser un cri de regret, vivre selon un strict code d'honneur mutuel, et chercher un instant de bonheur avec toute la ferveur et l'acharnement possibles." (p.206)

Les Heureux et les Damnés, Francis Scott Fitzgerald. Ed. Folio.
 
31 Août 2006
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Clermont-Ferrand
" Dans la vie, rien n'est inéluctable ; les impôts, les brouilles familiales, les conflits sociaux, la réussite ou l'échec, rien de tout cela n'est fatal. La seule fatalité, c'est que les aiguilles n'arrétent pas de tourner et qu'au bout du compte il n'en subsiste rien d'autre que des pierres tombales dont le temps ronge et efface peu à peu les inscriptions."

Stephen King, Simetierre
 
16 Septembre 2007
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Marseille
Une petite fille l'attendait dans le hall de l'hôtel. Sa petite fille à elle, son amour. La vie avait continué après, la vie continue toujours. Elle te donne des raisons de pleurer et des raisons de rire. C'est la vie, Joséphine, fais-lui confiance. C'est une personne, la vie, une personne qu'il faut prendre comme partenaire. Entrer dans la valse, dans ses tourbillons, parfois elle te fait boire la tasse et tu crois que tu vas mourir et puis elle t'attrape par les cheveux et te dépose plus loin. Parfois elle t'écrase les pieds, parfois elle te fait valser. Il faut entrer dans la vie comme on entre dans une danse. Ne pas arrêter le mouvement en pleurant sur soi, en accusant les autres, en buvant, en prenant des petites pilules pour amortir le choc. Valser, valser, valser. Franchir les épreuves qu'elle t'envoie pour te rendre plus forte, plus déterminée.
Je vois tout, je sens tout, mille détails entrent en moi comme de longues échardes et m'écorchent vive. Mille détails que d'autres ne remarquent pas parce qu'ils ont des peaux de crocodile.
Elle avait besoin de pleurer. Elle ne savait pas pourquoi. Elle avait trop de bonnes raisons. Celle-là ferait l'affaire. Elle chercha des yeux un torchon, s'en empara et l'appliqua en garrot sur sa blessure. Je vais devenir fontaine, fontaine de larmes, fontaine de sang, fontaine de soupirs, je vais me laisser mourir.
Quand on a peur, il faut toujours regarder sa peur en face et lui donner un nom. Sinon, elle vous écrase et vous emporte comme une vague scélérate...


Les Yeux jaunes des crocodiles :coeur2: de Katherine Pancol
 
30 Décembre 2007
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Lyon
Ce livre est une merveille, je vais aller dévaliser la librairie demain pour acheter ses autres romans... Mais la valse lente des tortues est trop cher, j'attends le poche, ou que me l'offre ^^ !
Je posterais les citations ici dès que j'aurais tout recopier...
 
13 Juin 2008
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Lyon
L'échappée belle (Anna Gavalda)

"C'est ainsi que nous nous réconfortons. En nous rappelant que nous sommes jeunes et déjà trop lucides. Que nous nous tenons à mille coudées au-dessus de la fourmilière et que la bêtise ne nous atteint pas tant que ça. Nous nous en moquons. Nous avons autre chose. Nous avons nous. Nous sommes riches autrement."

_______________________________

Rien de grave (Justine Lévy)

"On n'avait pas vingt ans, on s'aimait mais on ne savait pas ce que cela voulait dire, on ne savait pas que ça voulait dire qu'on allait souffrir, qu'on allait pleurer et se battre et se faire du mal et avoir envie de mourir, on avait vu les autres mais on n'était pas les autres, on était un miracle, on allait gagner là où Ariane & Solal avaient échoué, on vivait dans l'instant, on ne se posait pas de question, on ne savait pas qu'un jour l'amour deviendrait un souvenir qui tord le coeur."

"Pas assez bien [...], pas à la hauteur, pas assez tout, je me suis sentie tout à coup comme une chenille recalée à l'examen papillon"

"On est forcément plus fort à deux qu'à un"

_______________________________

C'est pas grave ça va passer (Jean-Marie Castille)

"Ce qui est surtout agréable à voir, c'est de s'apercevoir que les choses avancent finalement toujours, avec ou sans toi. Faut pas s'inquièter"

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Ensemble c'est tout (Anna Gavalda)

"Ce soir des gens attendaient qu'elle revienne... Des gens qui n'en n'avaient rien à foutre de savoir ce qu'elle valait... Qui l'aimaient pour autre chose... Pour elle peut-être"




" -T'en voudras combien ?
-Pardon ?

-Des gamins

-Hé râla-t-elle. Tu le fais exprès ou quoi




-Attends, mais je te dis ça, c'est pas forcément avec moi !
-J'en veux pas.

-Ah bon ? Fit-il déçu.

-Non.
-Pourquoi ?
-Parce que.
Il l'attrapa par le cou et la ramena de force tout près de son oreille.
-Dis-moi...
-Non.
-Si. Dis-moi. Je le répéterai à personne...
-Parce que si je meurs, je veux pas qu'il reste tout seul...
-T'as raison. C'est pour ça qu'il faut en faire plein...
Et puis tu sais...
Il la serrait encore plus fort.
-Tu vas pas mourir, toi... T'es un ange... Et les anges ça meurt jamais...
Elle pleurait
-Ben alors ?
-Nan rien... C'est parce que je vais avoir mes règles... A chaque fois c'est pareil... Ca me plombe de partout et je pleure pour un oui pour un non.
Elle souriait dans sa morve :
-Tu vois que je sois pas un ange...''






"Ils se donnèrent la main en remontant à la surface. La main, c'est bien. Ca n'engage pas trop celui qui la donne et ça apaise beaucoup celui qui la reçoit"



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L'odeur de l'homme (Marie-Ange Guillaume)





"Quant à l'odeur du premier amour, si déchirante, elle était unique et ne reviendra jamais tout à fait intacte. On a beaucoup reniflé depuis. Elle est trop loin, trop fragile, et perdue. Heureusement. Elle nous ramenerait en pleine gueule un parfum d'innoncence, et ça ferait mal."





_______________________________





Mademoiselle Liberté (Alexandre Jardin)





"Tout ce qui n'était pas immédiat lui paraissait interminable. Le plaisir était sa frénésie, la rapidité son tempo. Sans s'essouffler, elle bondissait vers ses appétits, voulait posséder chaque seconde."





_______________________________






Voilà quelques citations qui figurent dans mon cahier qui regroupe toutes celles que j'aime, qui m'ont fait ressentir ce petit quelque chose quand je les ai lu pour la première fois.



Pour Mademoiselle Liberté je suis entrain de le relire donc j'aurai certainement d'autres citations puisque le livre est un petit chef d'oeuvre.







<Désolée pour la longueur du post>
 
30 Mars 2007
2 707
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3 124
lille
J'aime énormément ce topic, ça m'emporte de lire ces extraits qui signifient quelque chose pour celles qui les partagent.
J'ai plusieurs fois voulu en partager également, mais quand je me plonge dans un livre à la recherche d'un passage qui m'a plu, je me retrouve à relire tout sans pouvoir m'arrêter. Donc je préfère venir vous lire.
 
21 Juillet 2008
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Basècles
Astrocrash.skyrock.com
L'homme Assis Dans Le Couloir, Marguerite Duras:

Je vois qu'il est exténué d'amour et de désir, qu'il est d'une extraordinaire pâleur et que son coeur bat à la surface de tout son corps.

L'ami Retrouvé, Fred Uhlman:

J'attendis dix minutes, une demi-heure, sans quitter du regard ces pages imprimées qui émanaient de l'enfer de mon passé antédiluvien et avaient fait irruption pour me troubler l'esprit et me rappeler quelque chose que je m'étais tant efforcé d'oublier.

voilà pour l'instant ^^"
C'est pas beaucoup mais j'aime ce topic =]
Je suis entrain d'en lire un autre, si j'ai quelque chose, je vous tiens au courant!
 
30 Décembre 2007
5
1
2 154
Lyon
9782226169983.jpg




Elle avait besoin de pleurer. Elle ne savait pas pourquoi. Elle avait trop de bonnes raisons. Celle-là ferait l'affaire. Elle chercha des yeux un torchon, s'en empara et l'appliqua en garrot sur sa blessure. Je vais devenir fontaine, fontaine de larmes, fontaine de sang, fontaine de soupirs, je vais me laisser mourir.

C'était une solution. Se laisser mourir, sans rien dire. S'éteindre comme une lampe qui diminue.



*



Quand on a peur, il faut toujours regarder sa peur en face et lui donner un nom. Sinon, elle vous écrase et vous emporte comme une vague scélérate...



*



Je vois tout, je sens tout, mille détails entrent en moi comme de longues échardes et m'écorchent vive. Mille détails que d'autres ne remarquent pas parce qu'ils ont des peaux de crocodile.



*



Alors c'est bien! C'est un début. L'interrogation est le premier morceau du puzzle que tu poses. Il y a des gens qui ne se posent jamais aucune question, qui vivent les yeux fermés et ne trouvent jamais rien.



*



Dès qu'on bouge, on se met à faire bouger la vie autour de soit.



*





Baiser, oui, mais pas de papouilles après. Pas de serments d'amour, de baisers lacrymaux. Dès qu'on s'approche de trop près, on recueille tous les miasmes de l'amour.



*



Je vais mal, en ce moment. Cette apparence dégagée et aisée que j'ai entretenue si longtemps se craquelle, et il en émerge un bric-à-brac de contradictions. Il va bien falloir que je finisse par choisir. Aller dans une direction mais laquelle ? Seul l'homme qui s'est trouvé, l'homme qui coïncide avec lui même, avec sa vérité intérieure est un homme libre. Il sait ce qu'il est, il trouve plaisir à exploiter ce qu'il est, il ne s'ennuie jamais. Le bonheur qu'il éprouve à vivre en bonne compagnie avec lui même le rend presque euphorique. Il vit véritablement alors que les autres laissent couler la vie entre les doigts... sans jamais les refermer.

La vie coule entre mes doigts. Je n'ai pas réussi à en trouver le sens. Je ne vis pas, j'aveuglette. Mal avec les autres, mal avec moi même. J'en veux aux gens de me renvoyer cette image de moi que je n'aime pas et je m'en veux de ne pas être capable de leur en imposer une autre. Je tourne en rond sans avoir le courage de changer. Il suffit d'accepter une seule fois d'obéir aux lois des autres, de vivre en conformité avec ce qu'ils pensent pour que notre âme se débine et se délite. On se résume à une apparence. Mais, et soudain, cette pensée la terrifia, n'est-il pas trop tard? Ne suis-je pas déjà devenue cette femme dont je vois le reflet dans les yeux de Bérangère ?



*



Choupette, ma choupette, que c'est bon de t'entendre à nouveau, ma petite fille, ma beauté, mon amazone dorée...parle-moi, parle-moi encore, quand tu gazouilles, que tu tortille les mots comme le crochet avec la laine, je ressuscite, la vie est aride sans toi, elle ne ruisselle pas, elle ne vaut pas qu'on se lève le matin pour mettre le nez à la fenêtre.



*



Ils restèrent un long moment sans bouger, sans parler. Leurs doigts s'étreignaient, s'épluchaient, se reconnaissaient et c'est toute une tendresse, toute une chaleur que Josiane retrouvait comme un paysage d'enfant.



*



C'est mon homme, c'est ma pâte à aimer, ma pâte à rire, ma pâte à pétrir, ma pâte à souffrir, je sais tout de lui, je peux le raconter en fermant les yeux, je peux dire ses mots avant même qu'il ne les prononce, je peux lire dans sa tête, dans ses petits yeux malins [...] Je le raconterais les yeux fermés cet homme là.



*



C'est quoi le désir maman ?

C'est quand on est amoureux de quelqu'un, qu'on a très envie de l'embrasser mais qu'on attend, on attend et toute cette attente...c'est le désir. C'est quand on ne l'a pas encore embrassé, quand on n'en rêve en s'endormant, c'est quand on imagine,qu'on tremble en l'imaginant, et c'est si bon Zoé, tout ce temps là où on se dit que peut-être on va l'embrasser mais on est pas sûre...

Alors on est triste ?

Non. On attend, le coeur se remplit de cette attente...et le jour où il t'embrasse...Alors là c'est un feux d'artifice dans tout ton coeur, dans toute ta tête, tu as envie de chanter, de danser et tu deviens amoureuse.



*



Toi t'aimes pas les hommes.

Sorry : je les ai trop aimés, c'est pour ça que je les tiens à distance.



*



Joséphine aurait voulu suspendre le temps, s'emparer de ce moment de bonheur et le mettre en bouteille. Le bonheur songea-t-elle est fait de petites choses. On l'attend toujours avec une majuscule, mais il vient à nous sur ses jambes frêles et peut nous passer sous le nez sans qu'on le remarque. Ce soir-là, elle le saisit et ne le lâcha pas. Par la fenêtre, elle aperçut les étoiles dans le ciel et tendit son verre vers elles.



*



Si elle quittait Philippe, elle serait privée de toute cette beauté. Si elle quittait Philippe, il lui faudrait tout recommencer. Seule. Ce simple mot la fit frissonner. Les femmes seules lui faisaient horreur. Elles étaient si nombreuses ! Toujours à courir, à se démener, la mine pâle, la moue avide. La vie des gens est terrifiante, aujourd' hui. (...) On les prend à la gorge, on les oblige à travailler du matin au soir, on les abrutit, on leur inflige des besoins qui ne leur ressemble pas, qui les égarent, les pervertissent. On leur interdit de rêver, de traîner, de perdre leur temps. On les use à la tâche. Les gens ne vivent plus, ils s'usent. A petit feu.



*



La vie avait continué ainsi après, la vie continue toujours. Elle te donne des raisons de pleurer et des raisons de rire. C'est la vie, Joséphine, fais-lui confiance. C'est une personne, la vie, une personne qu'il faut prendre comme partenaire. Entrer dans sa valse, dans ses tourbillons, parfois elle te fait boire la tasse et tu crois que tu vas mourir et puis elle t'attrape par les cheveux et te dépose plus loin. Parfois elle t'écrase les pieds, parfois elle te fait valser. IL faut entrer dans la vie comme on entre dans une danse. Ne pas arrêter le mouvement en pleurant sur soi, en accusant les autres, en buvant, en prenant des petites pilules pour amortir le choc. Valser, valser, valser. Franchir les épreuves qu'elle t'envoie pour te rendre plus forte, plus déterminée.​
 

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