C'est du moins ce que je pense après avoir vu le film-docu "La lune en moi" de Diana Fabiánová, diffusé dimanche soir sur Arte...
En le regardant, j'ai appris par exemple, qu'il existait un traitement pour arrêter d'avoir ses règles, ce jusqu'au moment où on désire avoir un enfant. De nombreuses femmes ont donc déjà abandonné leur ancienne vie ryhtmée par les cycles hormonaux grâce à cette pilule pour le moins radicale. La méthode peut sembler contre nature. Pour la plupart d'entre nous, le cycle menstruel est le prix à payer pour être une femme.
Ceci dit, nous avons toutes tendance à penser que les règles sont sources de bien des désagréments. C'est là qu'intervient Alexandra Pope, psychothérapeute australienne : Pour elle, le syndrome pré-menstruel n'est pas une faiblesse qui rend irritables et malades les plus malchanceuses d'entre nous, mais le signe d'une ouverture plus grande sur le monde de notre inconscient : Le cycle menstruel est une allégorie de la respiration : inspirer ( prendre de l'air pour soi, se regorger d'énergie), expirer ( donner, se vider) :
Pendant les 14 premiers jours du cycle nous sommes de plus en plus disponibles à autrui, ouvertes, généreuses et à l'écoute, jusqu'au 13ème-14ème jour de ce cycle. Nous sommes alors en ouverture maximale, expirons notre souffle à pleine puissance. Il va falloir reprendre notre souffle :
Dans les 14 derniers jours du cycle, il s'agit donc plutôt de s'économiser, penser à nous, être attentive à nos rêves et à ce que l'on sent. De l'inconscient vient l'inspiration... Les derniers jours juste avant les règles sont les jours où on est à fleur de peau car davantage exposées aux énergies invisibles qui font les intuitions.
Le sang est symbole des énergies qui nous circulent en nous. Nos blocages deviennent alors sources de douleurs (causées par le sang qui cicule mal). Ignorer les signaux que nous envoient notre inconscient nous conduit à nous sentir mal dans notre peau, voire à souffrir physiquement, car nous sommes alors déconnectées de ce que nous sommes au fond.
Mesdames, mesdemoiselles... et vous ? comment voyez vous la chose ? Moi je vais expérimenter cette nouvelle façon de voir les choses. Peut être bien que ça va me changer la vie !
En le regardant, j'ai appris par exemple, qu'il existait un traitement pour arrêter d'avoir ses règles, ce jusqu'au moment où on désire avoir un enfant. De nombreuses femmes ont donc déjà abandonné leur ancienne vie ryhtmée par les cycles hormonaux grâce à cette pilule pour le moins radicale. La méthode peut sembler contre nature. Pour la plupart d'entre nous, le cycle menstruel est le prix à payer pour être une femme.
Ceci dit, nous avons toutes tendance à penser que les règles sont sources de bien des désagréments. C'est là qu'intervient Alexandra Pope, psychothérapeute australienne : Pour elle, le syndrome pré-menstruel n'est pas une faiblesse qui rend irritables et malades les plus malchanceuses d'entre nous, mais le signe d'une ouverture plus grande sur le monde de notre inconscient : Le cycle menstruel est une allégorie de la respiration : inspirer ( prendre de l'air pour soi, se regorger d'énergie), expirer ( donner, se vider) :
Pendant les 14 premiers jours du cycle nous sommes de plus en plus disponibles à autrui, ouvertes, généreuses et à l'écoute, jusqu'au 13ème-14ème jour de ce cycle. Nous sommes alors en ouverture maximale, expirons notre souffle à pleine puissance. Il va falloir reprendre notre souffle :
Dans les 14 derniers jours du cycle, il s'agit donc plutôt de s'économiser, penser à nous, être attentive à nos rêves et à ce que l'on sent. De l'inconscient vient l'inspiration... Les derniers jours juste avant les règles sont les jours où on est à fleur de peau car davantage exposées aux énergies invisibles qui font les intuitions.
Le sang est symbole des énergies qui nous circulent en nous. Nos blocages deviennent alors sources de douleurs (causées par le sang qui cicule mal). Ignorer les signaux que nous envoient notre inconscient nous conduit à nous sentir mal dans notre peau, voire à souffrir physiquement, car nous sommes alors déconnectées de ce que nous sommes au fond.
Mesdames, mesdemoiselles... et vous ? comment voyez vous la chose ? Moi je vais expérimenter cette nouvelle façon de voir les choses. Peut être bien que ça va me changer la vie !