Je viens de refermer L'insoutenable légèreté de l'être de Kundera. Je regrette beaucoup de l'avoir laissé en suspend avant de lire les 100 dernières pages, j'étais un peu perdue du coup. Mais bon, je n'avais pas eu le choix, rentrée chargée oblige.
Sinon, j'ai bien aimé. J'ai trouvé que c'était plein d'innocence, et plein de bon sens. J'ai du mal à décrire le sentiment que j'ai après cette lecture. J'ai l'impression que Kundera pioche un peu partout dans l'expérience de la vie, de sa vie, pour nous montrer son point de vue à lui sur l'être humain, la relation amoureuse.
Je trouve aussi que c'est un livre ne s'explique pas trop, qui serait difficile à résumer. J'ai bien envie d'écrire une critique tant que c'est frais mais je ne sais pas par où commencer.
C'est peut-être la seule chose que je reprocherais à Kundera, sa tendance à être à moitié éparpillé, tout en suivant un fil conducteur. C'est assez troublant en fait, sa façon d'écrire.
Ca m'intéresserais de savoir ce que les madmoizelles qui l'ont lu en ont pensé, si elles ont réussi à y mettre des mots.
J'ai achetés deux autres Kundera aujourd'hui, La plaisanterie et La valse aux adieux, parce que je suis curieuse d'en lire plus.
Mais je pense faire un break avant d'enchaîner, peut-être avec La part de l'autre de Schmitt.
Sinon, j'ai bien aimé. J'ai trouvé que c'était plein d'innocence, et plein de bon sens. J'ai du mal à décrire le sentiment que j'ai après cette lecture. J'ai l'impression que Kundera pioche un peu partout dans l'expérience de la vie, de sa vie, pour nous montrer son point de vue à lui sur l'être humain, la relation amoureuse.
Je trouve aussi que c'est un livre ne s'explique pas trop, qui serait difficile à résumer. J'ai bien envie d'écrire une critique tant que c'est frais mais je ne sais pas par où commencer.
C'est peut-être la seule chose que je reprocherais à Kundera, sa tendance à être à moitié éparpillé, tout en suivant un fil conducteur. C'est assez troublant en fait, sa façon d'écrire.
Ca m'intéresserais de savoir ce que les madmoizelles qui l'ont lu en ont pensé, si elles ont réussi à y mettre des mots.
J'ai achetés deux autres Kundera aujourd'hui, La plaisanterie et La valse aux adieux, parce que je suis curieuse d'en lire plus.
Mais je pense faire un break avant d'enchaîner, peut-être avec La part de l'autre de Schmitt.