Hier soir, j'ai terminé Marina de Carlos Luis Zafon. C'était bien ficellé, mais ça n'égale toujours pas L'ombre du vent. Ce roman a des allures de livre jeunesse, Zafon le dit lui-même, et c'est assez vrai, dans l'aventure, les personnages adolescents.
Je suis tout de même contente qu'il se soit éloigné du thème du livre, qu'on retrouve quasiment à l'identique dans ces deux romans suivants (même si c'est plutôt l'inverse puisque Marina est celui qu'il a écrit en premier, mais bref). Enfin une nouvelle intrigue! Et sombre, qui plus est. C'était pas mal du tout. (Par contre, au secours, j'ai relevé une faute d'orthographe immonde dans les premières pages, un "pensé-je" dans un dialogue, c'est laid).
Je vais sûrement commencer La promesse de l'aube de Romain Gary, après avoir vu l'exposition le concernant hier. Je "m'oblige" (si on peut vraiment appeler ça une obligation) à avoir lu ses "grands romans" avant de m'attaquer à ceux un peu moins connus que j'ai découverts hier.