Bonjour,
Tout d'abord, veuillez m'excuser si ce n'est pas la bonne section pour le message larmoyant qui va suivre, mais je ne suis pas encore très familière avec le site, et je n'ai pas trouvé de partie du forum plus appropriée.
Place maintenant à ma triste et banale histoire : j'étais en couple depuis un peu plus d'un an (avec une femme, je suis complètement lesbienne). Cette relation ne fonctionnait pas, pour des tas de raisons. Vraiment, ça ne marchait pas. Ce n'était une relation épanouissante ni pour elle ni pour moi.
Il y'a précisément 21 jours, je l'ai quittée. Mais si je ne l'avais pas fait, c'est sans doute elle qui l'aurait fait dans peu de temps. Cette rupture s'est déroulée uniquement par messages interposés, nous n'avons pas discuté, ni de vive voix, ni au téléphone (à mon grand regret). Et depuis, silence radio.
J'ai 33 ans, ce n'est pas ma première rupture. J'ai été très amoureuse à deux reprises avant elle. J'ai été quittée, j'ai quitté.
Ma question est donc... pourquoi j'ai si mal ???
Je sais que cette rupture était nécessaire. Je sais qu'elle n'était pas heureuse, et moi non plus. Et pourtant, j'ai l'impression d'être écartelée. Je souffre du matin au soir, une douleur physique, horrible, comme si on me tordait les entrailles en permanence, et qui s'accompagne de ruminations, de regrets, d'envies folles de l'appeler (ce que je ne fais pas, de toute façon elle ne répondrait pas).
La dernière fois que j'ai quitté quelqu'un avec qui ça ne marchait pas, trois jours après je faisais la fête avec mes amis, et une semaine plus tard j'étais de nouveau en couple.
Là, je suis démolie, j'ai mal à en crever, l'impression que je vais en mourir, que je ne m'en remettrais jamais...
Je sais bien que vous n'avez pas les réponses à mes questions, mais je me suis dit que d'autres étaient peut-être dans mon cas et traversaient la même chose : une rupture dont vous savez qu'elle est nécessaire, inévitable, mais qui vous fait pourtant souffrir horriblement. Et j'ai donc pensé que nous pouvions nous serrer les coudes. Alors, éclopées de l'amour et blessées du cœur, n'hésitez pas à vous manifester !
Tout d'abord, veuillez m'excuser si ce n'est pas la bonne section pour le message larmoyant qui va suivre, mais je ne suis pas encore très familière avec le site, et je n'ai pas trouvé de partie du forum plus appropriée.
Place maintenant à ma triste et banale histoire : j'étais en couple depuis un peu plus d'un an (avec une femme, je suis complètement lesbienne). Cette relation ne fonctionnait pas, pour des tas de raisons. Vraiment, ça ne marchait pas. Ce n'était une relation épanouissante ni pour elle ni pour moi.
Il y'a précisément 21 jours, je l'ai quittée. Mais si je ne l'avais pas fait, c'est sans doute elle qui l'aurait fait dans peu de temps. Cette rupture s'est déroulée uniquement par messages interposés, nous n'avons pas discuté, ni de vive voix, ni au téléphone (à mon grand regret). Et depuis, silence radio.
J'ai 33 ans, ce n'est pas ma première rupture. J'ai été très amoureuse à deux reprises avant elle. J'ai été quittée, j'ai quitté.
Ma question est donc... pourquoi j'ai si mal ???
Je sais que cette rupture était nécessaire. Je sais qu'elle n'était pas heureuse, et moi non plus. Et pourtant, j'ai l'impression d'être écartelée. Je souffre du matin au soir, une douleur physique, horrible, comme si on me tordait les entrailles en permanence, et qui s'accompagne de ruminations, de regrets, d'envies folles de l'appeler (ce que je ne fais pas, de toute façon elle ne répondrait pas).
La dernière fois que j'ai quitté quelqu'un avec qui ça ne marchait pas, trois jours après je faisais la fête avec mes amis, et une semaine plus tard j'étais de nouveau en couple.
Là, je suis démolie, j'ai mal à en crever, l'impression que je vais en mourir, que je ne m'en remettrais jamais...
Je sais bien que vous n'avez pas les réponses à mes questions, mais je me suis dit que d'autres étaient peut-être dans mon cas et traversaient la même chose : une rupture dont vous savez qu'elle est nécessaire, inévitable, mais qui vous fait pourtant souffrir horriblement. Et j'ai donc pensé que nous pouvions nous serrer les coudes. Alors, éclopées de l'amour et blessées du cœur, n'hésitez pas à vous manifester !