Ce que je veux dire c'est que c'est trop facile de dire que "l'animal subit la connerie des hommes". En général, l'homme la subit aussi, la connerie des autres hommes. Et puis là c'était l'exemple de la guerre, mais la demoiselle parlait de nimporte quelle mort, pas nécessairement celle de la guerre. Il faut avouer que c'est quand même étonnant cette compassion devant la mort d'animaux, plus que devant celle des hommes (et on l'a tous déjà observée), et même totalement contraire à l'instinct.