@KrissdeValnor de mon point de vue le niveau de tolérance au bruit des personnes qui nous entoure est une notion très culturelle. La perception d'un son implique une interprétation et une évaluation positive ou négative. Par exemple, certaines personnes ont horreur du tic-tac d'une horloge, d'autres ne l'entendent meme pas. Je pense que notre perception des bruit de notre environnement résulte d'une intériorisation des normes sociales de la société dans laquelle on vit.
Dans notre société française il n'est pas bien vu de faire du bruit, que l'on soit adulte, enfant ou nourisson. Nous sommes donc dérangés par des personnes qui parlent fort, des enfants qui pleurent etc.
Dans son ouvrage "Psychologie sociale de l'environnement", Gustave-Nicolas Fisher étaie la thèse selon laquelle le bruit provoqué par autrui nous gêne car alors autrui occupe l'espace partagé sans que nous puissions avoir de contrôle sur cette occupation.
Du coup je trouve interessant de réfléchir aux raisons profondes et non immédiates de notre gêne face au bruit. Est ce que l'enfant qui pleure me gêne vraiment par ses cris? mon voisin arrive a ne pas être gêné puisqu'il s'est endormi pourquoi pas moi?
Dans notre société française il n'est pas bien vu de faire du bruit, que l'on soit adulte, enfant ou nourisson. Nous sommes donc dérangés par des personnes qui parlent fort, des enfants qui pleurent etc.
Dans son ouvrage "Psychologie sociale de l'environnement", Gustave-Nicolas Fisher étaie la thèse selon laquelle le bruit provoqué par autrui nous gêne car alors autrui occupe l'espace partagé sans que nous puissions avoir de contrôle sur cette occupation.
Du coup je trouve interessant de réfléchir aux raisons profondes et non immédiates de notre gêne face au bruit. Est ce que l'enfant qui pleure me gêne vraiment par ses cris? mon voisin arrive a ne pas être gêné puisqu'il s'est endormi pourquoi pas moi?