Je suis d'accord avec toi Van Kasteel sur les points que tu abordes. Je ne me sentirais pas du tout capable d'assumer un enfant aujourd'hui que ce soit financièrement ou "personnellement". J'accorde une grande importance à mes études et j'ai également envie de les finir dans les meilleures conditions possible pour par la suite trouver un métier qui m'assurera une situation financière stable. D'ailleurs au delà de l'aisance financière, je pense que c'est la stabilité financière qui importe le plus quand on a un enfant. Le plus important n'est peut-être pas de ne pas pouvoir avoir de marques mais surtout de pouvoir lui acheter des habits chauds pour l'hiver. Personnellement, je n'ai jamais eu de marques étant petite mais je n'en ai pas réellement souffert. Bien évidemment, j'aurais bien aimé en avoir mais j'ai jamais eu froid l'hiver, je n'ai jamais angoissé d'avoir une fringue qui allait se trouer...bref je n'ai pas ressenti de réel manque, juste une envie comme d'autres... qui ne sont jamais satisfaite.
En ce qui concerne, le "manque" culturel dont tu parles, je suis également d'accord. Mes parents ne m'emmenaient jamais au cinéma car trop cher et j'ai une réelle déficience cinématographique (nous n'avions pas la télé qui plus est). Je ne connais pas nan plus grand chose à l'art, etc. J'ai toujours rêvé de jouer du violon, etc. Là encore je ne peux pas dire que j'en ai souffert car mes parents nous ont toujours emmené à la bibliothèque municipale régulièrement. On pouvait emprunter 5 livres à chaque fois et ce gratuitement. Je pense donc que des moyens modestes ne sont pas forcément le principal problème. Le plus important est je crois, avoir du temps à accorder à son enfant. Il y a pas mal de musées gratuits et des balades en campagne apportent des choses différentes d'une visite ou d'un parc d'attraction. Forcément ça manque un peu quand on est enfant mais je ne crois pas qu'on puisse en souffrir réellement.
Alors bien sûr ce temps accordable à son enfant est conditionné aux revenus financiers. Mais à partir du moment où l'on parvient à satisfaire les besoins vitaux de l'enfant, pour moi le plus important reste le temps qu'on lui consacre.
Alors forcément si on a un enfant jeune, il y a un certain "sacrifice" (j'espère que ce mot ne sera pas mal pris). On ne peut plus comme tu dis partir un week-end sur un coup de tête ou des choses comme ça. Pour moi avoir un enfant, implique avant tout un véritable dévouement à celui ci...
En ce qui concerne, le "manque" culturel dont tu parles, je suis également d'accord. Mes parents ne m'emmenaient jamais au cinéma car trop cher et j'ai une réelle déficience cinématographique (nous n'avions pas la télé qui plus est). Je ne connais pas nan plus grand chose à l'art, etc. J'ai toujours rêvé de jouer du violon, etc. Là encore je ne peux pas dire que j'en ai souffert car mes parents nous ont toujours emmené à la bibliothèque municipale régulièrement. On pouvait emprunter 5 livres à chaque fois et ce gratuitement. Je pense donc que des moyens modestes ne sont pas forcément le principal problème. Le plus important est je crois, avoir du temps à accorder à son enfant. Il y a pas mal de musées gratuits et des balades en campagne apportent des choses différentes d'une visite ou d'un parc d'attraction. Forcément ça manque un peu quand on est enfant mais je ne crois pas qu'on puisse en souffrir réellement.
Alors bien sûr ce temps accordable à son enfant est conditionné aux revenus financiers. Mais à partir du moment où l'on parvient à satisfaire les besoins vitaux de l'enfant, pour moi le plus important reste le temps qu'on lui consacre.
Alors forcément si on a un enfant jeune, il y a un certain "sacrifice" (j'espère que ce mot ne sera pas mal pris). On ne peut plus comme tu dis partir un week-end sur un coup de tête ou des choses comme ça. Pour moi avoir un enfant, implique avant tout un véritable dévouement à celui ci...