— Tu as discuté avec José, l'homme qui, la dernière fois que je l'ai rencontré, essayait d'enfoncer sa langue dans ta bouche réticente alors que tu étais ivre et malade, dit-il, hargneux.
— Il ne m'a jamais frappée, lui.
— Je t'emmène manger quelque chose. Tu es en train de t'étioler devant moi. Va trouver ton copain et dis-lui au revoir.
— Je t'en prie, on ne peut pas rester encore un peu ?
— Non. Vas-y. Va lui dire au revoir.