Z
zinzoline
Guest
Je prends mon thé matinal à... 15 heures. Jusque là tout va bien. 
Hier soir et ce matin j'ai assisté à un phénomène qui m'a fait un bien fou : Ca fait plus de trois ans maintenant que je construis pas à pas l'intrigue d'un roman (historique), que j'ai la sensation d'avancer dans un brouillard énorme mais que je m'accroche à ça, en permanence. Ne pas mettre un point final à cette chose un jour (même si cela signifie à 88 ans) m'est devenu impensable. Peu m'importe que cela vienne à avoir une importance ou non pour quelqu'un d'autre que moi, que cela soit destiné ou non à un fond de tiroir, je veux simplement l'achever avec la conscience d'avoir au moins pu / su créer quelque chose doté d'un début, d'un milieu et d'une fin. D'une construction tangible. C'est vraiment quelque chose d'important pour moi et qui a su s'installer en permanence dans un coin de ma tête.
Et hier soir alors que je lisais en attendant que l'Amoureux finisse d'écrire son propre chapitre (dans un état légèrement semblable à ça :
), je me suis totalement perdue à l'intérieur de cette idée. Beaucoup de choses ont jailli, je les ai toutes soigneusement notées, et je me suis créée d'autres intrigues, d'autres personnages, d'autres physiques. Ca ne m'avait jamais fait ça, autant ça. Je bloque depuis trois ans et j'ai nettement eu la sensation que je venais d'ouvrir les vannes.
Je ne sais pas où ça va me mener, mais ça fait longtemps que je ne me suis pas sentie aussi pleine de choses.
(J'ai un peu la sensation que ce post n'a pas sa place ici mais je m'en fiche !)
Hier soir et ce matin j'ai assisté à un phénomène qui m'a fait un bien fou : Ca fait plus de trois ans maintenant que je construis pas à pas l'intrigue d'un roman (historique), que j'ai la sensation d'avancer dans un brouillard énorme mais que je m'accroche à ça, en permanence. Ne pas mettre un point final à cette chose un jour (même si cela signifie à 88 ans) m'est devenu impensable. Peu m'importe que cela vienne à avoir une importance ou non pour quelqu'un d'autre que moi, que cela soit destiné ou non à un fond de tiroir, je veux simplement l'achever avec la conscience d'avoir au moins pu / su créer quelque chose doté d'un début, d'un milieu et d'une fin. D'une construction tangible. C'est vraiment quelque chose d'important pour moi et qui a su s'installer en permanence dans un coin de ma tête.
Et hier soir alors que je lisais en attendant que l'Amoureux finisse d'écrire son propre chapitre (dans un état légèrement semblable à ça :
), je me suis totalement perdue à l'intérieur de cette idée. Beaucoup de choses ont jailli, je les ai toutes soigneusement notées, et je me suis créée d'autres intrigues, d'autres personnages, d'autres physiques. Ca ne m'avait jamais fait ça, autant ça. Je bloque depuis trois ans et j'ai nettement eu la sensation que je venais d'ouvrir les vannes.Je ne sais pas où ça va me mener, mais ça fait longtemps que je ne me suis pas sentie aussi pleine de choses.
(J'ai un peu la sensation que ce post n'a pas sa place ici mais je m'en fiche !)
- mais comme je n'ai nullement honte de ma vie sexuelle et que je ne considère pas qu'il soit légitime de me reprocher d'être open avec ça, RANAFOUT').
!
. Mais je le vis bien !
