honneurodames;1059239 a dit :
Oui et tout ce que j'en ai vu c'est les loges, le champagne et la fontaine de chocolat.... (Ah si j'ai hurlé sur "Allumer le feu"). J'imagine même pas ce que je vais faire au concert de AC/DC...
Oui et tout ce que j'en ai vu c'est les loges, le champagne et la fontaine de chocolat.... (Ah si j'ai hurlé sur "Allumer le feu"). J'imagine même pas ce que je vais faire au concert de AC/DC...
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J'en ai deux qui viennent de me revenir.
Une récente, de vendredi soir. J'étais chez deux potes, ils font à manger et donc à un moment l'un des deux arrive avec la poêle à la main,bien brûlante. Moi j'étais en train de disposer les assiettes sur la table basse. On s'était déjà attaqués assez sévèrement à coup de vodka+get+manzana (le meilleur cocktail du monde soit disant, à consommer avec modération). Il arrive avec sa poêle et mauvaise évaluation des distances il me l'a collée sur le bras. J'étais saoule, lui aussi donc le temps de réaction a été plutôt long. Du coup, qui se retrouve avec une vieille trace cloquée ovale sur le bras? Bibi.
L'autre est plus marrante. Grosse soirée médecine, une envie de faire pipi et une queue énorme aux chiottes de nanas. Je vois les chiottes des mecs vides, je me dis "cool je vais là", je me suis fait sortir comme une vieille merde par le vigile qui pensait que je voulais choper du mec dans les wc. Mon fillot me sauve de ses griffes, je lui explique que je voulais juste pisser rapidement, il me vire pas de la boîte. Je vais donc aux wc des filles, je fais la queue et je papote avec une falucharde que je connais. On arrive devant la porte avec une autre nana, les autres derrière s'impatientent et du coup elles nous ont poussé toutes les trois dans le wc. Avec ma pote on se regarde, on fait "ouais bon qui c'est qui pisse en premier?". La troisième nana ouvre des yeux ronds et commencent à taper un scandale "non mais ça va pas la tête, sortez de là, je fais pipi toute seule". On l'a donc chopée, foutue dehors et on a pissé chacune notre tour avant de sortir. La nana nous a maudit ahah. Les toilettes des boites sont de véritables jungles hinhin.
Une récente, de vendredi soir. J'étais chez deux potes, ils font à manger et donc à un moment l'un des deux arrive avec la poêle à la main,bien brûlante. Moi j'étais en train de disposer les assiettes sur la table basse. On s'était déjà attaqués assez sévèrement à coup de vodka+get+manzana (le meilleur cocktail du monde soit disant, à consommer avec modération). Il arrive avec sa poêle et mauvaise évaluation des distances il me l'a collée sur le bras. J'étais saoule, lui aussi donc le temps de réaction a été plutôt long. Du coup, qui se retrouve avec une vieille trace cloquée ovale sur le bras? Bibi.
L'autre est plus marrante. Grosse soirée médecine, une envie de faire pipi et une queue énorme aux chiottes de nanas. Je vois les chiottes des mecs vides, je me dis "cool je vais là", je me suis fait sortir comme une vieille merde par le vigile qui pensait que je voulais choper du mec dans les wc. Mon fillot me sauve de ses griffes, je lui explique que je voulais juste pisser rapidement, il me vire pas de la boîte. Je vais donc aux wc des filles, je fais la queue et je papote avec une falucharde que je connais. On arrive devant la porte avec une autre nana, les autres derrière s'impatientent et du coup elles nous ont poussé toutes les trois dans le wc. Avec ma pote on se regarde, on fait "ouais bon qui c'est qui pisse en premier?". La troisième nana ouvre des yeux ronds et commencent à taper un scandale "non mais ça va pas la tête, sortez de là, je fais pipi toute seule". On l'a donc chopée, foutue dehors et on a pissé chacune notre tour avant de sortir. La nana nous a maudit ahah. Les toilettes des boites sont de véritables jungles hinhin.
D'habitude quand je bois, je sais m'arrêter. Mais là visiblement non, donc forcément, j'ai vomis... Et puis j'ai vomis le lendemain aussi, cool devant les parents ! Juste histoire qu'ils n'aient pas du tout de soupçons sur moi^^
Enfin bon ce n'était pas la PIRE soirée de ma vie, mais je me serais bien passée de ce vomissage en public...
Enfin bon ce n'était pas la PIRE soirée de ma vie, mais je me serais bien passée de ce vomissage en public...
J'ai jamais vomi à cause de l'alcool.
Jusqu'à la fin du lycée, je tenais super bien l'alcool. J'en buvais pas non plus des litres mais plusieurs verres de vodka à la suite ne me faisaient aucun effet. J'étais trop fière.
Mais l'an dernier, j'étais chez mes "beaux-parents", et on buvait tranquillement au cours du repas (punch, divers vins ...), ça allait, puis dès que je me suis levée j'ai senti que j'étais complètement pétée. On est monté dans la chambre avec mon homme pour regarder un film dans le lit. Je me suis jeté sur lui en disant "tu veux pas enlever ton T-shiiiiirt ?" il l'a fait tout en continuant de regarder le film. "Déshabiille touaaaaa". J'avais enclenché le mode chaudasse. Je l'ai chauffé jusqu'à ce qu'il craque. Puis une fois à poil, je dis "Oooh bah j'aurai pensé que t'aurais refusé vu que je suis bourrée
hihihi tant mieux", là il me regarde avec des yeux ronds, sort du lit et se rhabille direct. Je me suis mise à pleurer à chaudes larmes "Tu veux pas de mouaaa, t'as pas envie de mouaaaa". Le pauvre a dû me consoler et se justifier en me disant qu'il ne voulait pas me faire l'amour quand j'étais bourrée.
Le même scénario s'est reproduit au Nouvel An (où il a cédé mouhahaha), et encore récemment. Mais ce qui me surprend c'est que j'enclenche le mode bourrée/chaudasse quand je bois seulement quelques verres de vins. Alors que m'enfiler plusieurs verres d'alcool fort ne me fait toujours rien.
Jusqu'à la fin du lycée, je tenais super bien l'alcool. J'en buvais pas non plus des litres mais plusieurs verres de vodka à la suite ne me faisaient aucun effet. J'étais trop fière.
Mais l'an dernier, j'étais chez mes "beaux-parents", et on buvait tranquillement au cours du repas (punch, divers vins ...), ça allait, puis dès que je me suis levée j'ai senti que j'étais complètement pétée. On est monté dans la chambre avec mon homme pour regarder un film dans le lit. Je me suis jeté sur lui en disant "tu veux pas enlever ton T-shiiiiirt ?" il l'a fait tout en continuant de regarder le film. "Déshabiille touaaaaa". J'avais enclenché le mode chaudasse. Je l'ai chauffé jusqu'à ce qu'il craque. Puis une fois à poil, je dis "Oooh bah j'aurai pensé que t'aurais refusé vu que je suis bourrée
hihihi tant mieux", là il me regarde avec des yeux ronds, sort du lit et se rhabille direct. Je me suis mise à pleurer à chaudes larmes "Tu veux pas de mouaaa, t'as pas envie de mouaaaa". Le pauvre a dû me consoler et se justifier en me disant qu'il ne voulait pas me faire l'amour quand j'étais bourrée.Le même scénario s'est reproduit au Nouvel An (où il a cédé mouhahaha), et encore récemment. Mais ce qui me surprend c'est que j'enclenche le mode bourrée/chaudasse quand je bois seulement quelques verres de vins. Alors que m'enfiler plusieurs verres d'alcool fort ne me fait toujours rien.
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Holala bon heu, inévitablement, j'ai tout plein de choses a raconter mais j'vais pas tout sortir d'un coup ...
Je sais plus quand c'était, y a pas hyper longtemps, j'étais en mode bourrée émotive.
Entre 2 pintes, je disais à environ tout le monde que je l'aimais que "tu sais, ça me rend vachement triste que tu viennes pas plus souvent à la maison, faudra vraiment qu'on s'fasse une bouffe hein, tu sais, t'es quelqu'un que j'apprécie beaucoup !" ...
Et de rajouter, comme à chaque fois "et je dis pas ça parce que je suis bourrée !".
La soirée se passe, je danse, je vole des shot de vodka a des gens au bar, je débilite, normal quoi ! Et on rentre à la maison.
Sur le chemin, il était quand même tard, on croise un petit enfant qui jouait en shootant dans une canette vide et qui après s'est fait engueuler par sa mère qui était super bourrée et vraiment pas opé quoi.
Et LA, c'est le drame.
J'me suis mise à chialer toutes les larmes de mon corps, et je répétais "mais il est tout petiiiit, c'est pas de sa faaauuute, c'est affreeeuuuuux" et j'vous assure, c'était vraiment comme si soit c'était mon propre gosse ou comme si j'me sentais comme ce gosse quoi.
J'ai chialé comme ça environ 3/4 d'heures, mon mec était trop choux, à me consoler, cela dit les gens qui passaient autour on du vraiment croire qu'il venait d'me larguer ou quoi, parce que j'en pouvais plus c'était affreux ça m'a rendu tellement triste ...
Bon, en général, j'suis pas triste comme ça hein quand j'suis bourrée, mais là, c'était vraiment trop drôle en y repensant, le mega boulet de meuf quoi !
Je sais plus quand c'était, y a pas hyper longtemps, j'étais en mode bourrée émotive.
Entre 2 pintes, je disais à environ tout le monde que je l'aimais que "tu sais, ça me rend vachement triste que tu viennes pas plus souvent à la maison, faudra vraiment qu'on s'fasse une bouffe hein, tu sais, t'es quelqu'un que j'apprécie beaucoup !" ...
Et de rajouter, comme à chaque fois "et je dis pas ça parce que je suis bourrée !".
La soirée se passe, je danse, je vole des shot de vodka a des gens au bar, je débilite, normal quoi ! Et on rentre à la maison.
Sur le chemin, il était quand même tard, on croise un petit enfant qui jouait en shootant dans une canette vide et qui après s'est fait engueuler par sa mère qui était super bourrée et vraiment pas opé quoi.
Et LA, c'est le drame.
J'me suis mise à chialer toutes les larmes de mon corps, et je répétais "mais il est tout petiiiit, c'est pas de sa faaauuute, c'est affreeeuuuuux" et j'vous assure, c'était vraiment comme si soit c'était mon propre gosse ou comme si j'me sentais comme ce gosse quoi.
J'ai chialé comme ça environ 3/4 d'heures, mon mec était trop choux, à me consoler, cela dit les gens qui passaient autour on du vraiment croire qu'il venait d'me larguer ou quoi, parce que j'en pouvais plus c'était affreux ça m'a rendu tellement triste ...
Bon, en général, j'suis pas triste comme ça hein quand j'suis bourrée, mais là, c'était vraiment trop drôle en y repensant, le mega boulet de meuf quoi !
Autant avant je me maitrisais (ou je tenais mieux l'alcool ? à voir) et j'étais celle qui ramassait ses potes, autant maintenant, c'est juste la débandade. Je fais toujours partie des plus bourrés... si ce n'est pas la plus bourrée. Des fois j'ai honte, mais après, ça passe 
Les deux dernières (ou trois en fait) assez fameuses sont :
Tout d'abord, récemment, week-end chez un pote en Belgique, on est 3, on boit dans son jardin, musique à fond, on danse beaucoup, on chante, on saute partout, on boit encore... on finit par sortir, aller dans le quartier des bars, et là j'étais trop bourrée : je suis rentrée dans un bar trois secondes et la musique me tapait tellement sur le système que je suis ressortie illico : j'ai passé pratiquement 2 heures assises sur des marches ou des perrons, toute seule, je m'endormais la tête sur les genoux (sauf quand je me suis levée pour aller vomir... devant l'entrée du bar ! 3 fois... ahem), des gens venaient me parler, le seul truc que je trouvais à répondre c'était "oui mais vous comprenez je suis française j'ai pas l'habitude" (quelle minable excuse complètement infondée
). Pour me ramener ils s'y sont mis à deux parce que je pouvais pas marcher toute seule... j'ai repris un semblant de lucidité je ne sais comment, j'ai cru que je pouvais marcher seule, et je me suis étalée de tout mon long sur le trottoir devant plein de monde \o/ Mais ça va je le vis bien.
(je précise que j'avais déjà fait un week-end de ce type au même endroit quelques mois auparavant : bourrée, je me suis vautrée dans les escaliers pour descendre dans une boite - qui se trouvait en sous-sol - je me suis étalée de tout mon long sur la piste, un pote m'a gentiment relevée, il m'a acheté une rose à un type bizarre dans la rue, je lui ai fait plein de bisous sur la bouche pour lui dire merci, et trois minutes après je partais dans mon délire : "de toute façon je suis mooooooche t'en as rien à foutre de mouaaaaaaa la rose c'était pour déconneeeeer c'est dégueulaaaaaaasse je te déteste nianiania.." pathétique, le pire étant qu'en revenant où on logeait, je me suis assise sur le canapé, et j'ai balancé ladite rose derrière mon épaule, au-dessus du canapé, juste devant lui, en disant 'je vais me coucher')
Bref.
L'autre est assez récente aussi. Soirée pour mon anniversaire, apéro chez une pote, plein de gens viennent, on s'éclate, on part à 15 quartier des bars en chantant dansant et en buvant dans la rue, à faire des danses trop pourries et à shooter dans les poubelles. Un ex m'appelle (je situe : je ne lui ai pas parlé depuis pratiquement 2 ans mais je le recroise souvent par hasard et à chaque fois je recraque), me demande où je suis, me rejoint (mon état était juste indescriptible : complètement faite et hystérique de le voir arriver). On parle de trucs pourris, il me dit qu'il rejoint des potes, me dit ensuite qu'il s'en va, je le supplie par sms "naaaaaaan je veux que tu reeeeeestes alleeeeeeez", je lui cours après (littéralement), il reste avec moi, je lui prends la main pour traverser la boite, on boit -lui était sobre je précise- ensuite je me souviens de pas grand chose, sauf de ma pote me criant en rentrant chez elle "les capotes sont sous le liiiiiiit !" et moi je me vois partir me coucher avec cet ex. Là moment critique. Je l'engueule et lui demande s'il est venu pour me sauter (texto). S'en suit une belle engueulade. Il ne s'est rien passé pcq je l'ai envoyé bouler, alors il m'a serré dans ses bras toute la nuit. Le lendemain le mal aux cheveux était indescriptible, ma tête également (c'est peut-être pour ça qu'il a jamais rappelé tiens... j'ai percé le mystère).
Y a pire. Je repasserai. Mais ces trois anecdotes font partie de la catégorie HONTE + bons souvenirs quand même, c'est pour ça que j'ai préféré les poster x)
Les deux dernières (ou trois en fait) assez fameuses sont :
Tout d'abord, récemment, week-end chez un pote en Belgique, on est 3, on boit dans son jardin, musique à fond, on danse beaucoup, on chante, on saute partout, on boit encore... on finit par sortir, aller dans le quartier des bars, et là j'étais trop bourrée : je suis rentrée dans un bar trois secondes et la musique me tapait tellement sur le système que je suis ressortie illico : j'ai passé pratiquement 2 heures assises sur des marches ou des perrons, toute seule, je m'endormais la tête sur les genoux (sauf quand je me suis levée pour aller vomir... devant l'entrée du bar ! 3 fois... ahem), des gens venaient me parler, le seul truc que je trouvais à répondre c'était "oui mais vous comprenez je suis française j'ai pas l'habitude" (quelle minable excuse complètement infondée
). Pour me ramener ils s'y sont mis à deux parce que je pouvais pas marcher toute seule... j'ai repris un semblant de lucidité je ne sais comment, j'ai cru que je pouvais marcher seule, et je me suis étalée de tout mon long sur le trottoir devant plein de monde \o/ Mais ça va je le vis bien.(je précise que j'avais déjà fait un week-end de ce type au même endroit quelques mois auparavant : bourrée, je me suis vautrée dans les escaliers pour descendre dans une boite - qui se trouvait en sous-sol - je me suis étalée de tout mon long sur la piste, un pote m'a gentiment relevée, il m'a acheté une rose à un type bizarre dans la rue, je lui ai fait plein de bisous sur la bouche pour lui dire merci, et trois minutes après je partais dans mon délire : "de toute façon je suis mooooooche t'en as rien à foutre de mouaaaaaaa la rose c'était pour déconneeeeer c'est dégueulaaaaaaasse je te déteste nianiania.." pathétique, le pire étant qu'en revenant où on logeait, je me suis assise sur le canapé, et j'ai balancé ladite rose derrière mon épaule, au-dessus du canapé, juste devant lui, en disant 'je vais me coucher'
)Bref.
L'autre est assez récente aussi. Soirée pour mon anniversaire, apéro chez une pote, plein de gens viennent, on s'éclate, on part à 15 quartier des bars en chantant dansant et en buvant dans la rue, à faire des danses trop pourries et à shooter dans les poubelles
. Un ex m'appelle (je situe : je ne lui ai pas parlé depuis pratiquement 2 ans mais je le recroise souvent par hasard et à chaque fois je recraque), me demande où je suis, me rejoint (mon état était juste indescriptible : complètement faite et hystérique de le voir arriver). On parle de trucs pourris, il me dit qu'il rejoint des potes, me dit ensuite qu'il s'en va, je le supplie par sms "naaaaaaan je veux que tu reeeeeestes alleeeeeeez", je lui cours après (littéralement), il reste avec moi, je lui prends la main pour traverser la boite, on boit -lui était sobre je précise- ensuite je me souviens de pas grand chose, sauf de ma pote me criant en rentrant chez elle "les capotes sont sous le liiiiiiit !" et moi je me vois partir me coucher avec cet ex. Là moment critique. Je l'engueule et lui demande s'il est venu pour me sauter (texto). S'en suit une belle engueulade. Il ne s'est rien passé pcq je l'ai envoyé bouler, alors il m'a serré dans ses bras toute la nuit. Le lendemain le mal aux cheveux était indescriptible, ma tête également (c'est peut-être pour ça qu'il a jamais rappelé tiens... j'ai percé le mystère).Y a pire. Je repasserai. Mais ces trois anecdotes font partie de la catégorie HONTE + bons souvenirs quand même, c'est pour ça que j'ai préféré les poster x)
Hier soir, j'ai failli frapper un mec parce qu'il touchait à ma platine ... Je m'ennerve jamais en plus, mais LA.
Et après, j'ai chialé pendant 1h avant de m'endormir parce que j'arrivais pas à faire comprendre à mon mec pourquoi ça m'a soulé.
J'ai un peu claqué la porte viteuf et j'ai squatté le salon jusqu'à ce qu'il vienne me chercher en me disant "mais tu es bourrée mon petit enfant, allez c'est ridicule, remonte" et ça a été ...
Haha le boulet la meuf, j'me rends compte que j'chiale vraiment facile dès que j'suis bourrée finalement, j'suis vraiment une merde !
(en attendant, déjà quand j'suis pas bourrée je supporte pas qu'on me manque de respect, surtout chez moi, donc dès que j'suis bourrée c'est pire, j'deviens maniaque !)
Et après, j'ai chialé pendant 1h avant de m'endormir parce que j'arrivais pas à faire comprendre à mon mec pourquoi ça m'a soulé.
J'ai un peu claqué la porte viteuf et j'ai squatté le salon jusqu'à ce qu'il vienne me chercher en me disant "mais tu es bourrée mon petit enfant, allez c'est ridicule, remonte" et ça a été ...
Haha le boulet la meuf, j'me rends compte que j'chiale vraiment facile dès que j'suis bourrée finalement, j'suis vraiment une merde !
(en attendant, déjà quand j'suis pas bourrée je supporte pas qu'on me manque de respect, surtout chez moi, donc dès que j'suis bourrée c'est pire, j'deviens maniaque !)
On s'est fait des teq' paf avec les copines hier. Des mélanges bizarroides, de la vodka, passoa, manzana, biere, et compagnie. J'étais mal, mais à la fois tellement bien. Puis j'ai un mal de crane horrible. Mais belle soirée.
Quand c'est des soirées avec quelques copines et que j'abuse sur l'alcool (j'abuse tout le temps sur l'alcool), c'est pas encore trop grave parce que soit je ris toute seule comme une abrutie, soit je m'endors donc ça reste dans le domaine de la marrade. Mais par contre, vive l'air con que je me tape dans le reste des soirées où je connais pas spécialement tout le monde aussi bien que mes meilleures copines. Alors quand je suis bien arrachée, je raconte de la merde (classique), je montre mes seins (euh oui, j'en suis pas fière de celle-là, mais faut me comprendre : un mec m'énervait vraiment beaucoup à me dire que non, c'était pas possible que je fasse du D. Alors, ben ... j'me suis levée et j'ai tout montré, en prenant les gens autour à temoin ... J'ai eu méga honte évidemment après coup), je tombe amoureuse de la bouteille de rhum (en me tapant un réel fixe dessus), j'embrasse mon soi-disant meilleur ami et je suis une vraie nympho donc prête à me le faire en pleine rue ... Enfin bref. Autant de trucs qui font bien rire les gens qui colportent tous ces petits ragots sympas dès le lendemain. Mais ma dernière soirée en date m'a vraiment calmée parce que j'étais tellement mal que c'est au retour que ça a vraiment craint : j'ai déliré et gerbé dans la voiture de mon père, je marchais pas droit du tout, c'est ma mère qui m'a collée sous la douche ... Bref, un vrai déchet, c'était pathétique. D'habitude, j'arrivais à peu près à paraître normale avec mes parents quand je rentrais mais LA ... C'était le drame.
Je me suis d'ailleurs réfugiée sur ce forum dès le lendemain matin avec ma terrible gueule de bois pour essayer de déculpabiliser un peu. J'étais vraiment mal.
Mais je sais pas si je pourrais arrêter de boire
Je me suis d'ailleurs réfugiée sur ce forum dès le lendemain matin avec ma terrible gueule de bois pour essayer de déculpabiliser un peu. J'étais vraiment mal.
Mais je sais pas si je pourrais arrêter de boire
Mes exploits en soirées avec la bande de la fac sont devenus tellement fréquents que j'ai la joie de porter les charmants surnoms de "vomito", "fukushima" ou encore "coma" (je suis qd même jamais arrivée à ce point heureusement).. 
ooh:
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