Oui, j'aime bien le parallèle avec le veganisme @Anechka !
Je suis persuadé que le mouvement a une grande importance dans le débat sur notre consommation de viande, de part sa radicalité.
Mais, quand bien même je m'y penche, et je me nourris des réflexions lancée, je reste en désaccord fondamental avec le veganisme, et l'antispecisme.
De discussions en conférence, j'en viens même a penser, quand elle propose une rupture avec lui, se place dans une mise à distance du sauvage pour le protéger, que c'est une posture néfaste à notre rapport au vivant.
De la même manière, je me nourris de ses réflexion du lesbianisme politique que je découvre, ça va sûrement relancer des réflexions que ai déjà eu dans ma place dans cette société hétéro, mais je reste en désaccord fondamental avec la solution apportée d'un mise à distance, d'une misandrie, comme force motrice du féminisme.
Par ailleurs, le parallèle se prête bien à la dimension "évangélisation" de l'affaire, avec les vegans qui présentent leur solution comme réponse à notre problème avec la viande. Que chacun questionne sa consommation et la face évolué s'il y a lieu, oui.
Que tout ceux qui mangent de la viande sont de cruel personnages qui déteste les animaux et sont insensibles à leur bien être, aliéné par la propagande carniste, non (je grossit le trait).
Mon opinion sur le mouvement n'a rien a voir avec une crainte ou un" dégoût" de devenir lesbienne, mais oui, quand il est défendu que toute les hétéro sont par nature aliéné, je me sent attaqué, et donc me défend personnellement, car je ne me reconnais pas dans cette attitude, je me suis questionné sur l'influence de la société dans ma sexualité, et une des conclusions qui en est sortie, c'est que je suis attiré par les hommes. Donc que chacune se questionne, oui, que chaque hétéro est aliéné et a besoin de voir sont sort amélioré, non.
Je suis persuadé que le mouvement a une grande importance dans le débat sur notre consommation de viande, de part sa radicalité.
Mais, quand bien même je m'y penche, et je me nourris des réflexions lancée, je reste en désaccord fondamental avec le veganisme, et l'antispecisme.
De discussions en conférence, j'en viens même a penser, quand elle propose une rupture avec lui, se place dans une mise à distance du sauvage pour le protéger, que c'est une posture néfaste à notre rapport au vivant.
De la même manière, je me nourris de ses réflexion du lesbianisme politique que je découvre, ça va sûrement relancer des réflexions que ai déjà eu dans ma place dans cette société hétéro, mais je reste en désaccord fondamental avec la solution apportée d'un mise à distance, d'une misandrie, comme force motrice du féminisme.
Par ailleurs, le parallèle se prête bien à la dimension "évangélisation" de l'affaire, avec les vegans qui présentent leur solution comme réponse à notre problème avec la viande. Que chacun questionne sa consommation et la face évolué s'il y a lieu, oui.
Que tout ceux qui mangent de la viande sont de cruel personnages qui déteste les animaux et sont insensibles à leur bien être, aliéné par la propagande carniste, non (je grossit le trait).
Mon opinion sur le mouvement n'a rien a voir avec une crainte ou un" dégoût" de devenir lesbienne, mais oui, quand il est défendu que toute les hétéro sont par nature aliéné, je me sent attaqué, et donc me défend personnellement, car je ne me reconnais pas dans cette attitude, je me suis questionné sur l'influence de la société dans ma sexualité, et une des conclusions qui en est sortie, c'est que je suis attiré par les hommes. Donc que chacune se questionne, oui, que chaque hétéro est aliéné et a besoin de voir sont sort amélioré, non.
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