A
AnonymousUser
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Addiction;
Tu hèles son nom. Il se retourne, comme ça, de son côté droit. Un peu plus, tu vois? Comme ça. Parfait. Et là, il lève les yeux vers toi, fais son sourire en coin. Il te toise. Mais tu fonds. Parce que voilà, sans lui, tu as l?impression que rien ne serait possible. Parce qu?avec lui, tout est possible. Même si voilà, tu le sais, ça ne durera pas, parce que vous êtes trop jeune, qu?on ne rencontre pas l?amour de sa vie, le père de ses enfants aussi tôt. Pas à dix-huit ans. Mais qui sait? C?est la fin des cours. Il part.
En attendant le bus, tu t?allumes une cigarette. Les volutes de fumée bleues s?échappent de ta bouche. Tu regardes ton téléphone toutes les cinq secondes. Tu n?oses pas lui envoyer un message pour lui dire. Lui dire à quel point il te manque. Que tu as envie d?être dans ses grands bras puissants. Qu?il y a un vide là, juste à l?estomac. Que tu es amoureuse. Que sans lui, la vie n?a plus de couleur.
Et ce bus qui ne vient pas.
Son regard charmeur, ses fossettes qui marquent si bien son visage, ses mains si fines, ses yeux si verts, sa peau si matte, son nez si droit. Il est si parfait. Tu rêves éveillée. Il te manque.
Oh mon Dieu, tu pourrais passer des heures à le regarder, rester éveillée toute la nuit pour pouvoir l?admirer. Chaque action, chaque chose qu?il entreprend te laisse rêveuse.
Mais voilà. Tes copines te disent de le laisser tomber, qu?il ne te mérite pas. Mais tu es accro. Il t?habite. Tu vis à travers lui.
Ce qui devait arriver, arriva. Un jour, il te laisse dans ton coin, sans se retourner. Il est parti.
Et pendant un an, tu penses à lui, tu vis toujours pour lui. Mais au fils du temps, ça passera, hein, on dit toujours ça.
Il a été ta drogue. Mais maintenant, c?est fini. Fini.
Tu hèles son nom. Il se retourne, comme ça, de son côté droit. Un peu plus, tu vois? Comme ça. Parfait. Et là, il lève les yeux vers toi, fais son sourire en coin. Il te toise. Mais tu fonds. Parce que voilà, sans lui, tu as l?impression que rien ne serait possible. Parce qu?avec lui, tout est possible. Même si voilà, tu le sais, ça ne durera pas, parce que vous êtes trop jeune, qu?on ne rencontre pas l?amour de sa vie, le père de ses enfants aussi tôt. Pas à dix-huit ans. Mais qui sait? C?est la fin des cours. Il part.
En attendant le bus, tu t?allumes une cigarette. Les volutes de fumée bleues s?échappent de ta bouche. Tu regardes ton téléphone toutes les cinq secondes. Tu n?oses pas lui envoyer un message pour lui dire. Lui dire à quel point il te manque. Que tu as envie d?être dans ses grands bras puissants. Qu?il y a un vide là, juste à l?estomac. Que tu es amoureuse. Que sans lui, la vie n?a plus de couleur.
Et ce bus qui ne vient pas.
Son regard charmeur, ses fossettes qui marquent si bien son visage, ses mains si fines, ses yeux si verts, sa peau si matte, son nez si droit. Il est si parfait. Tu rêves éveillée. Il te manque.
Oh mon Dieu, tu pourrais passer des heures à le regarder, rester éveillée toute la nuit pour pouvoir l?admirer. Chaque action, chaque chose qu?il entreprend te laisse rêveuse.
Mais voilà. Tes copines te disent de le laisser tomber, qu?il ne te mérite pas. Mais tu es accro. Il t?habite. Tu vis à travers lui.
Ce qui devait arriver, arriva. Un jour, il te laisse dans ton coin, sans se retourner. Il est parti.
Et pendant un an, tu penses à lui, tu vis toujours pour lui. Mais au fils du temps, ça passera, hein, on dit toujours ça.
Il a été ta drogue. Mais maintenant, c?est fini. Fini.