Sale coup pour le lobby nucléaire et le gouvernement français : huit militants de Greenpeace sont parvenus à s'introduire ce matin au coeur de la centrale atomique de Nogent-sur-Seine située à 95 kilomètres de Paris.
Objectif de l'organisation écologiste : démontrer que "le nucléaire sûr n'existe pas".
C'est fait...
Dans son communiqué, Greenpeace rappelle que "le gouvernement, en charge de la sécurité des sites nucléaires, se targue d'avoir des plans à toutes épreuves pour sécuriser le parc atomique français, telle que l'intervention d'avions de chasse en maximum 15 minutes sur tous les sites nucléaire, la présence continue d'un peloton spécial de Gendarmerie sur chacun des sites, des dispositifs de radar aérien de détections au dessus de certaines installations, une double clôture électrifiée et vidéo surveillance autour de chacun des sites, un espace aérien interdit au dessus des sites ou encore un accès soumis à “autorisation spéciale”."
Face au ridicule de la situation, le ministre de l'Industrie Eric Besson a déclaré sur France Info que si l'enquête confirme les faits "cela veut dire qu'il y a eu dysfonctionnements et qu'il faudra prendre des dispositions pour que ça ne se reproduise pas". Sans blague ?
Sur twitter, la patronne des Verts rigole :
Pendant que le journaliste Jean-Michel Apathie persifle...
Objectif de l'organisation écologiste : démontrer que "le nucléaire sûr n'existe pas".
C'est fait...
Dans son communiqué, Greenpeace rappelle que "le gouvernement, en charge de la sécurité des sites nucléaires, se targue d'avoir des plans à toutes épreuves pour sécuriser le parc atomique français, telle que l'intervention d'avions de chasse en maximum 15 minutes sur tous les sites nucléaire, la présence continue d'un peloton spécial de Gendarmerie sur chacun des sites, des dispositifs de radar aérien de détections au dessus de certaines installations, une double clôture électrifiée et vidéo surveillance autour de chacun des sites, un espace aérien interdit au dessus des sites ou encore un accès soumis à “autorisation spéciale”."
Face au ridicule de la situation, le ministre de l'Industrie Eric Besson a déclaré sur France Info que si l'enquête confirme les faits "cela veut dire qu'il y a eu dysfonctionnements et qu'il faudra prendre des dispositions pour que ça ne se reproduise pas". Sans blague ?
Sur twitter, la patronne des Verts rigole :
Pendant que le journaliste Jean-Michel Apathie persifle...