J'adore partir en vacances en amoureux la première semaine de Septembre. J'adore etre couper du monde, des informations, d'internet, hors du temps, loin des centres commerciaux et de la foule. Et vivre au rythme du soleil, du vent et des bruits de la nature. :test
J'adore...
- Initiateur de la discussion Barbe Bleue
- Date de début
bonniebutler;4334455 a dit :
Je suis interpellée par ce passage parce que j'adore aussi Paris mais je n'y vis pas (pas encore
)J'y ai passé les meilleurs moments / vacances de ma vie et j'y pense encore tous les jours, cette ville me manque énormément. J'y ai rencontré des personnes géniales, dont un monsieur qui y avait toujours vécu et qui m'a dit "J'en ai fait des villes et des pays, mais je reviens toujours à Paris, rien ne vaut Paris." C'est à cette seconde que j'ai décidé que je mettrai tout en oeuvre pour y vivre
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(ne pas citer)
@Ashes. ça me fait tellement plaisir quand quelqu'un vient clamer son amour pour Paris! Aujourd'hui alors que j'émergeais d'une bouche de métro, je voyais le haut d'un immeuble haussmannien, avec son balcon filant et les feuilles d'un arbre avoisinant, et la lumière du soir qui en éclairant une partie (ce qui dorait la pierre de taille). Alors que c'est pour moi un spectacle quotidien j'ai trouvé ça tellement beau et typique, je me disais que je ne pourrai jamais vraiment quitter cette ville.
Sinon, je venais dire que j'adore chercher un mot dans un dictionnaire (à l'ancienne). D'une part parce que quand je le trouve, le simple fait d'avoir une définition claire en noir sur blanc circonscrit un terme qui m'était flou et ça me procure une satisfaction intense. D'autre part, je trouve ça bandant de tomber pendant ma recherche sur des dizaines de mots inconnus alors qu'il s'agit de ma langue maternelle et de mon champs d'étude. Me dire que quelque chose de si proche reste étranger et infini attise gravement ma soif de connaissance et c'est là une des meilleures sensations du monde.
(Et puis quand je referme le dico deux heures après l'avoir ouvert alors que je ne cherchais qu'une définition, je me sens moins coupable que quand j'ai fini par atterrir sur la page wiki concernant l'apiculture moldave des années soixante alors que je voulais taper un paragraphe sur Word.)
Sinon, je venais dire que j'adore chercher un mot dans un dictionnaire (à l'ancienne). D'une part parce que quand je le trouve, le simple fait d'avoir une définition claire en noir sur blanc circonscrit un terme qui m'était flou et ça me procure une satisfaction intense. D'autre part, je trouve ça bandant de tomber pendant ma recherche sur des dizaines de mots inconnus alors qu'il s'agit de ma langue maternelle et de mon champs d'étude. Me dire que quelque chose de si proche reste étranger et infini attise gravement ma soif de connaissance et c'est là une des meilleures sensations du monde.
(Et puis quand je referme le dico deux heures après l'avoir ouvert alors que je ne cherchais qu'une définition, je me sens moins coupable que quand j'ai fini par atterrir sur la page wiki concernant l'apiculture moldave des années soixante alors que je voulais taper un paragraphe sur Word.)
Dernière édition :
B
boreale-2
Guest
@BonnieButler : Tu décris vraiment bien ce que je ressens aussi avec Paris 
Depuis que j'y vis et qu'il fait vraiment beau, j'adore marcher en soirée dans Paris c'est tellement agréable. La dernière fois j'ai marché de Palais Royal à Répu (bon c'est pas si looong mais ça fait déjà une petite balade) en prenant des petites rues etc et j'arrête pas de m'extasier sur tout ce que je voyais. J'aurais pu prendre le métro, mais à chaque fois que je passais devant une bouche de métro, j'avais qu'une envie c'était de continuer de marcher, avec ma musique et ces rues
Bref, Paris
Depuis que j'y vis et qu'il fait vraiment beau, j'adore marcher en soirée dans Paris c'est tellement agréable. La dernière fois j'ai marché de Palais Royal à Répu (bon c'est pas si looong mais ça fait déjà une petite balade) en prenant des petites rues etc et j'arrête pas de m'extasier sur tout ce que je voyais. J'aurais pu prendre le métro, mais à chaque fois que je passais devant une bouche de métro, j'avais qu'une envie c'était de continuer de marcher, avec ma musique et ces rues Bref, Paris
J'adore porter du rouge à lèvres voyant quand je suis habillée "à l'arrache" genre gros pull / leggings / bottes motardes. Je me sens sure de moi, prête à conquérir le monde, et j'adore le contraste style décontracté + maquillage voyant.
J'adore m'amuser à trouver l'interprète et le titre d'un morceau dès les premières notes 
Et j'adore entendre un nouveau morceau d'un groupe/artiste que je connais par hasard, reconnaître la voix du chanteur/de la chanteuse et identifier directement le groupe dont il s'agit. Ça me donne un peu l'impression qu'il y a un lien invisible et implicite qui me relie à ce groupe, un peu comme si j'avais compris quelque chose de particulier. J'adore la petite sensation que ça me procure
Et j'adore entendre un nouveau morceau d'un groupe/artiste que je connais par hasard, reconnaître la voix du chanteur/de la chanteuse et identifier directement le groupe dont il s'agit. Ça me donne un peu l'impression qu'il y a un lien invisible et implicite qui me relie à ce groupe, un peu comme si j'avais compris quelque chose de particulier. J'adore la petite sensation que ça me procure
J'adore croiser un ou une inconnu(e), puis le/la recroiser plus tard, à un autre endroit.
Je parle surtout pour la capitale. Voir quelqu'un dans le métro le matin, et revoir cette personne le soir à l'autre bout de la capitale. Même si l'endroit est bondé, qu'il y a une foule.
Par exemple, cet été, avec une amie, on a été dans une ville pour une soirée à l'étranger.
La semaine dernière, une autre amie vient nous voir pour nous demander si on y était le même jour qu'elle. On y était bien le même jour qu'elle, à la même heure, on a vu les mêmes choses (qui n'ont pu arriver qu'une fois), on est passées dans les mêmes rues à quelques minutes d'intervalle... Et on s'est loupées.
Mais j'adore ça.
Dire que "le monde est petit" !
Je parle surtout pour la capitale. Voir quelqu'un dans le métro le matin, et revoir cette personne le soir à l'autre bout de la capitale. Même si l'endroit est bondé, qu'il y a une foule.
Par exemple, cet été, avec une amie, on a été dans une ville pour une soirée à l'étranger.
La semaine dernière, une autre amie vient nous voir pour nous demander si on y était le même jour qu'elle. On y était bien le même jour qu'elle, à la même heure, on a vu les mêmes choses (qui n'ont pu arriver qu'une fois), on est passées dans les mêmes rues à quelques minutes d'intervalle... Et on s'est loupées.
Mais j'adore ça.
Dire que "le monde est petit" !
J'adore ce moment le dimanche soir, quand je me couche dans mes draps fraîchement lavés qui sortent juste du sèche lingue. C'est l'unique soir où mon lit est fait aussi.
Je me sens alors comme une petite fille, tellement en sécurité.
Et ce soir cerise sur le gâteau, dehors il y a beaucoup de vent, j'adore ça
Je me sens alors comme une petite fille, tellement en sécurité.
Et ce soir cerise sur le gâteau, dehors il y a beaucoup de vent, j'adore ça
J'adore ça aussi, l'an passé j'étais en erasmus ma ville d'échange était de taille moyenne et presque tous les jours je croisais quelqu'un dans la rue, les supermarchés s'étaient presque amusant.kafkanorexia;4360268 a dit :J'adore croiser un ou une inconnu(e), puis le/la recroiser plus tard, à un autre endroit.
Je parle surtout pour la capitale. Voir quelqu'un dans le métro le matin, et revoir cette personne le soir à l'autre bout de la capitale. Même si l'endroit est bondé, qu'il y a une foule.
Par exemple, cet été, avec une amie, on a été dans une ville pour une soirée à l'étranger.
La semaine dernière, une autre amie vient nous voir pour nous demander si on y était le même jour qu'elle. On y était bien le même jour qu'elle, à la même heure, on a vu les mêmes choses (qui n'ont pu arriver qu'une fois), on est passées dans les mêmes rues à quelques minutes d'intervalle... Et on s'est loupées.
Mais j'adore ça.
Dire que "le monde est petit" !
Et quand je vivais a Paris c'était encore suprenant vu que c'est une grande ville, par exemple j'avais decouvert que un gars aec qui j'avais travaillé lors d'un de mes jobs d'été habitait l'immeuble juste à côté de chez moi, ou quand je croisais les gamins que je gardais par surprise en allant au bureau de vote, puis reconnaitre des inconnus par exemple se rendre compte qu'on prends le metro en meme temps qu'une autre personne.
Et si j'adore ces moments complétement imprévus qu'on aurait pas du tout prévoir.Certaine srencontres qu'on aurait pas fait si on avait pas fait telle chemin ce jour là ou fait telle chose, parfois le hasard est surprenant.
J'adore être agréablement surprise après avoir appréhendé quelque chose.
Je crois que j'ai des tendances vraiment pessimistes : si je m'écoutais, je ne serais pas capable de grand chose et l'avenir serait assez gris. Souvent, je m'auto-blase : j'aimerais bien pouvoir faire des plans sur la comète, m'emballer pour des situations que je n'ai pas encore expérimentées, avoir confiance en mes capacités et avoir une vision sereine de l'avenir. En fait j'ai l'impression que je suis incapable de rêver, et je me trouve rabat-joie avec moi-même
. Quand je me lance vers l'inconnu (que ce soit à grande ou à petite échelle -ça peut aller d'un virage important dans ma vie à une soirée hors de ma zone de confort), je le fais assez souvent à reculons. Mais je le fais quand même, je me botte fréquemment le cul pour faire des choses qui ne m'inspirent pas trop, parce que justement je sais que je suis pessimiste et qu'il y a des chances pour que je flippe à tort.
Et c'est ça que j'adore : finalement, « grâce » à ma tendance à flipper, j'ai régulièrement des bonnes surprises une fois que je suis devant le fait accompli. J'adore ce soulagement, c'est comme si ma joie était décuplée par le fait que je ne l'attendais pas Très souvent, l'expérience me rassure et contredit mes peurs, et c'est rarement le contraire : Je suis assez peu déçue par les situations, puisque j'ai plutôt tendance à imaginer le pire. C'est vrai qu'il y a des périodes où je suis morose, où je ne crois en pas grand chose et où je suis léthargique, mais une fois que je suis lancée sur quelque chose et que je réalise que tout va bien, je me sens particulièrement bien.
Voilà, tout ça pour dire que j'adore quand la réalité contredit mes scénarios déprimants 
. Bon je suis de bonne humeur quoi 
Pourvu que ça dure
Je crois que j'ai des tendances vraiment pessimistes : si je m'écoutais, je ne serais pas capable de grand chose et l'avenir serait assez gris. Souvent, je m'auto-blase : j'aimerais bien pouvoir faire des plans sur la comète, m'emballer pour des situations que je n'ai pas encore expérimentées, avoir confiance en mes capacités et avoir une vision sereine de l'avenir. En fait j'ai l'impression que je suis incapable de rêver, et je me trouve rabat-joie avec moi-même
. Quand je me lance vers l'inconnu (que ce soit à grande ou à petite échelle -ça peut aller d'un virage important dans ma vie à une soirée hors de ma zone de confort), je le fais assez souvent à reculons. Mais je le fais quand même, je me botte fréquemment le cul pour faire des choses qui ne m'inspirent pas trop, parce que justement je sais que je suis pessimiste et qu'il y a des chances pour que je flippe à tort.Et c'est ça que j'adore : finalement, « grâce » à ma tendance à flipper, j'ai régulièrement des bonnes surprises une fois que je suis devant le fait accompli. J'adore ce soulagement, c'est comme si ma joie était décuplée par le fait que je ne l'attendais pas
Très souvent, l'expérience me rassure et contredit mes peurs, et c'est rarement le contraire : Je suis assez peu déçue par les situations, puisque j'ai plutôt tendance à imaginer le pire. C'est vrai qu'il y a des périodes où je suis morose, où je ne crois en pas grand chose et où je suis léthargique, mais une fois que je suis lancée sur quelque chose et que je réalise que tout va bien, je me sens particulièrement bien.
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. Bon je suis de bonne humeur quoi Pourvu que ça dure
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_hazel_
Guest
C'est plus un j'ai adoré (et puis passé l'effet de surprise..):
La première fois que j'ai utilisé le nouveau séchage pour les mains dans les centres commerciaux, la machine (j'ose pas citer la marque) où on glisse les menottes dans la fente et fouuuuu en 10 secondes c'est tout sec. Bref la première fois ça m'a tellement surprise que j'ai eu un fou rire nerveux et j'ai voulu le refaire plusieurs fois comme une gosse qui découvre un nouveau manège à sensation dans une fête foraine. PLus besoin d'attendre trois plombes pour au final des mains encore humides ou trop sèches et brulantes.. C'était un peu ma révolution dans les WC.
La première fois que j'ai utilisé le nouveau séchage pour les mains dans les centres commerciaux, la machine (j'ose pas citer la marque) où on glisse les menottes dans la fente et fouuuuu en 10 secondes c'est tout sec. Bref la première fois ça m'a tellement surprise que j'ai eu un fou rire nerveux et j'ai voulu le refaire plusieurs fois comme une gosse qui découvre un nouveau manège à sensation dans une fête foraine. PLus besoin d'attendre trois plombes pour au final des mains encore humides ou trop sèches et brulantes.. C'était un peu ma révolution dans les WC.
