J'ai hésité à répondre à cette discussion. Je ne remercie pas l'auteure. J'ai du mal avec cet article car je trouve que c'est une sorte de victimisation qui n'aide en rien toutes les personnes qui veulent avancer et trouver de l'espoir par rapport au psoriasis. Je vous explique :
On a découvert que j'avais du Psoriasis à 8-9ans (Je suis noire et cela se voit beaucoup). On m'a emmené au dermatologue qui a tout de suite conseillé à mes parents de me faire voir un psy. Oui j'étais angoissé déjà à cet âge (histoire familiale si je me rappelle bien). De là le Psoriasis ne m'a pas lâché. Ma mère en avait marre et a proposé de ma faire couper les cheveux. La dermatologue lui a dit que ça me ferait un stress en plus (vu que j'adorais mes longs cheveux). Les shampoings puants pour les croûtes de la têtes. Les crèmes et gel douches puants pour le reste du corps.Tout le tin touin. C'était particulier quand les autres de ma classe me demandaient ce que j'avais derrière les oreilles. Bah j'expliquais. Mes amis de la primaire se rappellent de mes crises de Psoriasis.
Après quelques années avec peu de Psoriasis d'autres grandes crises se sont faits pendant mon adolescence. Mes premiers copains s'en foutaient. Mes amies et moi essayions de découvrir des formes de pays dans mes tâches. Ma classe, pour les sortie plage, me demandait comment ça se passait.
a côté de ça j'ai eu à faire des mots pour la piscine par ma dermatologue. Certaines personnes ont eu du mal je pense. Mais je l'ai bien vécu et je pense que c'est en partageant/expliquant et en le prenant pour quelque chose de normal que l'on avance. J'ai vécu dans à l?île Maurice et vraiment on est pas aussi à la pointe et aussi ouvert sur les "maladies" comme en France et je trouve que je ne suis pas traumatisée de ma vie avec mon Psoriasis.
Il y a encore une année je faisais une crise monstrueuse et j'avais juste peur que ce soit un problème pour mon boulot d'étudiant ( oui le serveuse a des croûtes genre pellicule c'est pas hygiénique) mais bon ça s'est bien passé. Même mes coiffeurs, quand on en parle, trouvent normal. Le Psoriasis n'est pas une fin. Faut apprendre à vivre avec.
Je comprends l'auteur mais je comprendrais encore mieux si on faisait tout pour mieux avancer avec quelque chose qui ne nous lâchera surement pas toute notre vie. Mon Psoriasis je le remercie pour ce qu'il m'a appris dans l'acceptation de "moi-même".
On a découvert que j'avais du Psoriasis à 8-9ans (Je suis noire et cela se voit beaucoup). On m'a emmené au dermatologue qui a tout de suite conseillé à mes parents de me faire voir un psy. Oui j'étais angoissé déjà à cet âge (histoire familiale si je me rappelle bien). De là le Psoriasis ne m'a pas lâché. Ma mère en avait marre et a proposé de ma faire couper les cheveux. La dermatologue lui a dit que ça me ferait un stress en plus (vu que j'adorais mes longs cheveux). Les shampoings puants pour les croûtes de la têtes. Les crèmes et gel douches puants pour le reste du corps.Tout le tin touin. C'était particulier quand les autres de ma classe me demandaient ce que j'avais derrière les oreilles. Bah j'expliquais. Mes amis de la primaire se rappellent de mes crises de Psoriasis.
Après quelques années avec peu de Psoriasis d'autres grandes crises se sont faits pendant mon adolescence. Mes premiers copains s'en foutaient. Mes amies et moi essayions de découvrir des formes de pays dans mes tâches. Ma classe, pour les sortie plage, me demandait comment ça se passait.
a côté de ça j'ai eu à faire des mots pour la piscine par ma dermatologue. Certaines personnes ont eu du mal je pense. Mais je l'ai bien vécu et je pense que c'est en partageant/expliquant et en le prenant pour quelque chose de normal que l'on avance. J'ai vécu dans à l?île Maurice et vraiment on est pas aussi à la pointe et aussi ouvert sur les "maladies" comme en France et je trouve que je ne suis pas traumatisée de ma vie avec mon Psoriasis.
Il y a encore une année je faisais une crise monstrueuse et j'avais juste peur que ce soit un problème pour mon boulot d'étudiant ( oui le serveuse a des croûtes genre pellicule c'est pas hygiénique) mais bon ça s'est bien passé. Même mes coiffeurs, quand on en parle, trouvent normal. Le Psoriasis n'est pas une fin. Faut apprendre à vivre avec.
Je comprends l'auteur mais je comprendrais encore mieux si on faisait tout pour mieux avancer avec quelque chose qui ne nous lâchera surement pas toute notre vie. Mon Psoriasis je le remercie pour ce qu'il m'a appris dans l'acceptation de "moi-même".