freakycat;4658254 a dit :@Lenehän...euh à tout le monde en fait
Je vois... Le truc qui m'angoisse, là maintenant, c'est la confiance en soi. Je suis de nature timide donc déjà pour me faire des amis "dans la classe" ça n'a jamais été mon fort. Je sais pas trop comment sa se passe dans une prépa, peut être que les gens sont plus open et sont plus désireux à créer rapidement des liens ?
Ensuite, j'ai pas un orgueil démesurée mais je sais que je ferai partie des gens qui auront du mal sur le plan psychologique parce que je stress et angoisse très facilement. Et les résultats des D.S et surtout les exposés ( la hantise du timide ) me font faire des cauchemars ._. bref. Je sens que je vais vieillir de vingt ans en seulement un an.
En tous cas malgré quelques points négatifs, j'ai comme même envie de relever le défi
Ah ! et une dernière question que l'on ne pose pas souvent mais qui a son intérêt ( à Paris ) : Est ce que les prépas ont une mixité sociale ? Parce que me retrouver avec des bobos tout ça...je risque de ne pas me sentir à ma place.
Certes il y a des khôlles mais pour ma part il n'y a pas d'exposé (à part en philo mais c'est sur la base du volontariat) et les khôlles niveau timidité ça passe déjà mieux que les exposés
Alors je ne suis pas à Paris mais à Lille et déjà clairement, la mixité sociale ce n'est pas ça (enfin plutôt). Alors qu'en socio on n'arrête pas de parler d’inégalités tout ça, on devrait prendre la classe comme exemple.
La prépa littéraire type est une fille de 17-18 ans, blanche et dont les parents sont cadres - souvent profs. C'est le cas de plus de la moitié de ma classe pour les filles de profs et 75% de ma classe si on élargit aux cadres. Beaucoup ont des proches qui ont fait une prépa ou une grande école aussi.
Mais après j'aime bien les bobos perso
Même si la mixité ne ferait pas de mal, clairement.