Au cas où cette info vous a échappé, Beyonce a sorti son 6eme album studio en avril. C'est son deuxième album visuel, un film de 1h05 rendant hommage à la femme noire.
Cet album est bourré de références au cinéma, à la mythologie, à son mariage, son père...
Loin de moi l'idée de trouver et analyser toutes les références toute seule et il est évident que j'en loupe plein donc je me suis dit qu'un sujet participatif serait une meilleure idée.
Dès le début, Beyonce pose les bases en samplant un discours de Malcolm X:
The most disrespected person in America is the black woman.
The most unprotected person in America is the black woman.
The most neglected person in America is the black woman
Et avec cet album elle décide donc de rendre sa superbe à la femme noire, ou plutot de l'afficher à la face du monde. Tous les personnages de ce "film" sont des femmes noires, connues ou pas.
Beaucoup ont découvert que Bey etait noire à l'écoute de cet album mais, scoop international, elle l'a toujours été. Dans ces précédents albums, elle se concentre sur la face lumineuse de la femme noire, la "Survivor", la femme belle et sexy qui veut un mariage heureux, la femme heureuse de rendre son mari heureux, la femme noire et fière. Avec cet album, elle continue dans la lignée de 7/11 ou Feeling myself pour nous parler de la part "sombre" de la femme noire. Elle nous parle des doutes, peurs, douleurs de la femme noire, elle sort des stéréotypes de la "angry black woman" ou plutot elle se les réapproprie. Elle passe plus d'une heure à dire aux femmes noires qu'elles ont le droit d'être tout ça, sombre et lumineuse en utilisant sa vie perso comme médium.
On retrouve donc beaucoup de références à son mariage à Jay Z ("Big Homie better grow up"), à sa prétendue liaison avec "Becky with the good hair" et il apparaît meme à la fin du film avec la plus belle personne que cette terre ait porté, j'ai nommé Blue Ivy. On retrouve également "Daddy's Lessons" un de mes morceaux préférés où elle parle de son père. Sa mere et son mari apparaissent également dans le film.
Et enfin, ce film est bourre de références historiques, cinématographiques, poétiques. La plus évidente étant l'utilisation de la poésie écrite par Warsan Shire ou peut être l'allusion à Oshun.
Ça me semble pas mal pour introduire cet album, à vous maintenant.
Cet album est bourré de références au cinéma, à la mythologie, à son mariage, son père...
Loin de moi l'idée de trouver et analyser toutes les références toute seule et il est évident que j'en loupe plein donc je me suis dit qu'un sujet participatif serait une meilleure idée.
Dès le début, Beyonce pose les bases en samplant un discours de Malcolm X:
The most disrespected person in America is the black woman.
The most unprotected person in America is the black woman.
The most neglected person in America is the black woman
Et avec cet album elle décide donc de rendre sa superbe à la femme noire, ou plutot de l'afficher à la face du monde. Tous les personnages de ce "film" sont des femmes noires, connues ou pas.
Beaucoup ont découvert que Bey etait noire à l'écoute de cet album mais, scoop international, elle l'a toujours été. Dans ces précédents albums, elle se concentre sur la face lumineuse de la femme noire, la "Survivor", la femme belle et sexy qui veut un mariage heureux, la femme heureuse de rendre son mari heureux, la femme noire et fière. Avec cet album, elle continue dans la lignée de 7/11 ou Feeling myself pour nous parler de la part "sombre" de la femme noire. Elle nous parle des doutes, peurs, douleurs de la femme noire, elle sort des stéréotypes de la "angry black woman" ou plutot elle se les réapproprie. Elle passe plus d'une heure à dire aux femmes noires qu'elles ont le droit d'être tout ça, sombre et lumineuse en utilisant sa vie perso comme médium.
On retrouve donc beaucoup de références à son mariage à Jay Z ("Big Homie better grow up"), à sa prétendue liaison avec "Becky with the good hair" et il apparaît meme à la fin du film avec la plus belle personne que cette terre ait porté, j'ai nommé Blue Ivy. On retrouve également "Daddy's Lessons" un de mes morceaux préférés où elle parle de son père. Sa mere et son mari apparaissent également dans le film.
Et enfin, ce film est bourre de références historiques, cinématographiques, poétiques. La plus évidente étant l'utilisation de la poésie écrite par Warsan Shire ou peut être l'allusion à Oshun.
Ça me semble pas mal pour introduire cet album, à vous maintenant.