Les opposants au mariage pour tous sont de retour sur le pavé parisien cet après-midi.
Leur leader Frigide Barjot vise une mobilisation au moins égale à celle du 13 janvier dernier.
Largement portée par l'Eglise catholique, la manifestation est par ailleurs soutenue par l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), le Conseil national des évangéliques de France (CNEF) mais aussi par l'Ump de Jean-François Copé.
La nouveauté du jour, des slogans dans lesquels les organisateurs voient une "dimension sociale" : "On veut du
boulot, pas du mariage homo", "La priorité c'est Aulnay, c'est pas le mariage gay".
Cette fois, les manifestants ne défileront pas. Ils sont appelés à stationner sur l'Avenue de la Grande Armée, entre le parvis de La Défense et la Place de l'Etoile, histoire de pouvoir se compter plus facilement.
Rappelons que la loi a déjà été votée à l'Assemblée nationale puis adoptée en commission des lois au Sénat ou elle sera examinée à partir du 4 avril.
On voit mal désormais ce qui pourrait empêcher son adoption définitive...
Leur leader Frigide Barjot vise une mobilisation au moins égale à celle du 13 janvier dernier.
Largement portée par l'Eglise catholique, la manifestation est par ailleurs soutenue par l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), le Conseil national des évangéliques de France (CNEF) mais aussi par l'Ump de Jean-François Copé.
La nouveauté du jour, des slogans dans lesquels les organisateurs voient une "dimension sociale" : "On veut du
boulot, pas du mariage homo", "La priorité c'est Aulnay, c'est pas le mariage gay".
Cette fois, les manifestants ne défileront pas. Ils sont appelés à stationner sur l'Avenue de la Grande Armée, entre le parvis de La Défense et la Place de l'Etoile, histoire de pouvoir se compter plus facilement.
Rappelons que la loi a déjà été votée à l'Assemblée nationale puis adoptée en commission des lois au Sénat ou elle sera examinée à partir du 4 avril.
On voit mal désormais ce qui pourrait empêcher son adoption définitive...
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