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AnonymousUser
Guest
En 1ere, la mienne était allemande et s'appelait Pia. Elle avait un frère jumeau et un grand frère adorables.
Elle m'a fait pas mal de sales coups en quinze jours : elle m'a emmenée à une espèce de "discothèque pour pré-ados", en après-midi, m'a planté devant le bar, et est partie je ne sais pas trop où avec ses copines. J'étais la seule française, je ne connaissais personne, et je ne parlais même pas vraiment allemand. Elle m'a lâchée vers 13h, m'a récupérée à 20h. Gé-ni-al.
Qelques jours après, elle m'a emmenée au cinéma. J'étais déjà peu emballée à l'idée de voir un film en allemand sans sous-titres, mais quand j'ai vu qu'elle se contentait de payer ma place et filer, une nouvelle fois, avec ses copines, j'ai vraiment eu du mal à avaler la pilule.
Quand elle est venue en France, il fallait tous les soirs l'emmener chez des Français que je ne connaissais même pas mais qu'elle avait rencontrés je ne sais pas où ; on lui servait de taxi, et elle refusait toutes les sorties que je proposais. C'était lamentable.
Ma deuxième correspondante allemande, en terminale, s'appelait Pia aussi. Elle avait une s?ur un an plus jeune que nous, et un petit frère, Simon, qui avait 11 ans. Il apprenait l'anglais et était trop mignon : chaque fois qu'on arrivait devant une porte, il faisait une petite courbette et me disait avec beaucoup de sérieux :"Ladies first !" C'était adorable. On passait des après-midis entiers dans la cave de Pia, avec sa soeur et ses amies, à manger des Kinder, faire des jeux et parler. C'était très drôle et elle essayait vraiment de communiquer avec moi. Ses parents étaient adorable. Elle et sa soeur étaient souvent absentes les après-midis parce qu'elles faisaient de la danse, et allaient préparer des trucs avec un groupe religieux ; mais je jouais aux dinosares avec le petit frère. C'était débile mais j'adorais et je garde un très bon souvenir de cette Pia-là qui était vraiment une chouette fille.
Elle m'a fait pas mal de sales coups en quinze jours : elle m'a emmenée à une espèce de "discothèque pour pré-ados", en après-midi, m'a planté devant le bar, et est partie je ne sais pas trop où avec ses copines. J'étais la seule française, je ne connaissais personne, et je ne parlais même pas vraiment allemand. Elle m'a lâchée vers 13h, m'a récupérée à 20h. Gé-ni-al.
Qelques jours après, elle m'a emmenée au cinéma. J'étais déjà peu emballée à l'idée de voir un film en allemand sans sous-titres, mais quand j'ai vu qu'elle se contentait de payer ma place et filer, une nouvelle fois, avec ses copines, j'ai vraiment eu du mal à avaler la pilule.
Quand elle est venue en France, il fallait tous les soirs l'emmener chez des Français que je ne connaissais même pas mais qu'elle avait rencontrés je ne sais pas où ; on lui servait de taxi, et elle refusait toutes les sorties que je proposais. C'était lamentable.
Ma deuxième correspondante allemande, en terminale, s'appelait Pia aussi. Elle avait une s?ur un an plus jeune que nous, et un petit frère, Simon, qui avait 11 ans. Il apprenait l'anglais et était trop mignon : chaque fois qu'on arrivait devant une porte, il faisait une petite courbette et me disait avec beaucoup de sérieux :"Ladies first !" C'était adorable. On passait des après-midis entiers dans la cave de Pia, avec sa soeur et ses amies, à manger des Kinder, faire des jeux et parler. C'était très drôle et elle essayait vraiment de communiquer avec moi. Ses parents étaient adorable. Elle et sa soeur étaient souvent absentes les après-midis parce qu'elles faisaient de la danse, et allaient préparer des trucs avec un groupe religieux ; mais je jouais aux dinosares avec le petit frère. C'était débile mais j'adorais et je garde un très bon souvenir de cette Pia-là qui était vraiment une chouette fille.