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AnonymousUser
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Léontine;2259451 a dit :
J'avais adoré son autobiographie, c'est une des meilleures bio de politiques que j'ai lue. J'admire son parcours et sa force de caractère.
En ce moment c'est L'arbre des possibles de Bernard Werber, je l'ai découvert pendant mes vacances dans le sud grâce à Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu que je vous conseille vraiment, ce livre est juste génial (c'est une accumulation de plein d'infos, c'est vraiment super intéressant) 
J'ai fini Les racines du ciel de Gary. Je ne sais pas trop quoi en penser. J'ai beaucoup aimé le thème, le style, définitivement la préservation de la planète est une source inépuisable d'inspiration pour plusieurs générations. D'ailleurs, son discours n'est pas démodé à mon sens, il reste actuel même si de l'eau a coulé sous les ponts. On veut tous les mêmes choses.
Enfin, ça m'a plu, mais je n'arrive décidément pas à cerner Gary. Je suis toujours conquise par ses romans, mais on croirait lire un auteur différent à chaque fois. Et je ne parle pas de la différence marqué entre le style Ajar et le style Gary. J'ai l'impression que c'est encore plus poussé. C'est d'ailleurs ce qui m'avait marqué en voyant certains de ses manuscrits lors d'une exposition. D'un manuscrit à l'autre, il change complètement d'écriture. Un coup les lettres sont rondes, grandes, et puis la fois d'après petites, ramassées. Cet homme me trouble profondément, par les sujets qu'il aborde qui me touchent toujours, et par sa personnalité, son style, que je suis toujours aussi incapable de décrire.
J'ai relu d'une traite Nadja de Breton ce soir. Je l'ai retrouvé chez mes parents, en me souvenant qu'il m'avait beaucoup marqué à la première lecture. Je suis toujours aussi bouleversée par ses mots. A croire qu'il n'y a que Nadja qui me fait ça, car L'amour fou m'est tombé des mains. C'est assez indescriptible encore une fois. Cet homme me parle.
Décidément ce soir, je ne trouve pas mes mots....
Enfin, ça m'a plu, mais je n'arrive décidément pas à cerner Gary. Je suis toujours conquise par ses romans, mais on croirait lire un auteur différent à chaque fois. Et je ne parle pas de la différence marqué entre le style Ajar et le style Gary. J'ai l'impression que c'est encore plus poussé. C'est d'ailleurs ce qui m'avait marqué en voyant certains de ses manuscrits lors d'une exposition. D'un manuscrit à l'autre, il change complètement d'écriture. Un coup les lettres sont rondes, grandes, et puis la fois d'après petites, ramassées. Cet homme me trouble profondément, par les sujets qu'il aborde qui me touchent toujours, et par sa personnalité, son style, que je suis toujours aussi incapable de décrire.
J'ai relu d'une traite Nadja de Breton ce soir. Je l'ai retrouvé chez mes parents, en me souvenant qu'il m'avait beaucoup marqué à la première lecture. Je suis toujours aussi bouleversée par ses mots. A croire qu'il n'y a que Nadja qui me fait ça, car L'amour fou m'est tombé des mains. C'est assez indescriptible encore une fois. Cet homme me parle.
Décidément ce soir, je ne trouve pas mes mots....
Je suis entrain de lire Pars vite et reviens tard de Fred Vargas. Bon je vous avoue que je ne connaissais pas du tout c'est une amie qui me l'a offert. Après un début un peu laborieux, j'aime assez. Bon après je suis pas difficile en ce qui concerne les policiers. C'est prenant et facile à lire.
Après je me remet aux derniers (?) tomes de la Compagnie noire de Glen Cook. C'est parfois assez bizarre à lire et même dur à suivre mais il y a un de ces dénouement, ça me fout sur le cul à chaque fin de tome.
Après je me remet aux derniers (?) tomes de la Compagnie noire de Glen Cook. C'est parfois assez bizarre à lire et même dur à suivre mais il y a un de ces dénouement, ça me fout sur le cul à chaque fin de tome.
Soie de Alessandro Baricco
un livre très court et poétique
je l'ai acheté d'occasion et j'ai découvert en le lisant que les marges étaient recouvertes d'annotations au crayon à papier en chinois, ce qui a accentué encore plus le coté mystérieux du livre x)
un livre très court et poétique
je l'ai acheté d'occasion et j'ai découvert en le lisant que les marges étaient recouvertes d'annotations au crayon à papier en chinois, ce qui a accentué encore plus le coté mystérieux du livre x)
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AnonymousUser
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A moveable feast, de Hemingway. Je préfère le titre français, Paris est une fête, je lui trouve une autre saveur. Je l'ai déjà lu en français, je voulais le lire en anglais, je ne suis pas déçue. C'est facile à lire, c'est beau, ça vend du rêve - Paris, les années 20, Fitzgerald, James Joyce, les petits cafés où on refait le monde, l'art, le Louvre, l'alcool. Il parle pas mal de l'écriture, aussi - il retrace ses années de jeune écrivain/journaliste fauché et débutant, ses découvertes, ses interrogations, qu'est-ce qu'écrire, qu'est-ce que bien écrire, comment s'y prendre, à quelle discipline se tenir?
Bref, c'est un délice.
Bref, c'est un délice.
A
AnonymousUser
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J'ai commencé "autant en emporte le vent" de Margaret Mitchell. Je ne l'avais encore jamais lu alors que je connais le film presque par coeur. D'ailleurs, c'est assez bizzare de lire un livre dont on connait autant le film mais c'est encore mieux car j'ai l'impression de découvrir dans ses détails l'histoire.
Sur ma table de nuit: La couleur des sentiments de kathryn stockett
mini-résumé-juste-pour-savoir-de-quoi-ça parle:
Non ce n'est pas un livre niais contrairement à ce que laisse penser le titre! ça se passe dans les années 60 aux états unis, on suit la vie de plusieurs bonnes noires aux services de riches familles blanches, puis ça se complique ( évidemment!).
Conclusion: à lire!
mini-résumé-juste-pour-savoir-de-quoi-ça parle:
Non ce n'est pas un livre niais contrairement à ce que laisse penser le titre! ça se passe dans les années 60 aux états unis, on suit la vie de plusieurs bonnes noires aux services de riches familles blanches, puis ça se complique ( évidemment!).
Conclusion: à lire!
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