Après l'affaire Alten, l'agence de relations publiques Hopscotch a eu la bonne idée de réaliser une étude consacrée à la critique des entreprises, par leurs salariés, sur les médias sociaux.
15% des salariés français parlent de leur entreprise sur Facebook, Twitter et autres. Les hommes plus que les femmes (18,9% contre 11,9%), les jeunes plus que les vieux (26,4% des 18-24 ans contre 5,8% des 50-64 ans), les cadres plus que les ouvriers (21,1% contre 8,4%) et les salariés du privé plus que les fonctionnaires (16,6% contre 13,3%).
Excellente nouvelle pour les entreprises : 67% des salariés qui parlent d'elles sur les médias sociaux le font positivement !
Reste 21% de fortes têtes qui critiquent patrons, hiérarchie ou conditions de travail tout en étant conscients, pour 86% d'entre eux, des risques qu'ils prennent désormais !
Les salariés les plus critiques sont les 25-34 ans (32,9%) et les ouvriers (38,2%). Les moins critiques sont les 18-24 ans (9,3%) et les cadres (11,6%).
Quid de l'avenir ? 64% des sondés pensent que les critiques des entreprises par leurs salariés seront de plus en plus répandues sur les réseaux sociaux, malgré les sanctions encourues.
Les plus jeunes sont aussi les plus convaincus que le phénomène ira en s'amplifiant (78,4% des 18-24 ans).
Le net est donc (encore) perçu comme un espace de liberté. Bonne nouvelle non ?
15% des salariés français parlent de leur entreprise sur Facebook, Twitter et autres. Les hommes plus que les femmes (18,9% contre 11,9%), les jeunes plus que les vieux (26,4% des 18-24 ans contre 5,8% des 50-64 ans), les cadres plus que les ouvriers (21,1% contre 8,4%) et les salariés du privé plus que les fonctionnaires (16,6% contre 13,3%).
Excellente nouvelle pour les entreprises : 67% des salariés qui parlent d'elles sur les médias sociaux le font positivement !
Reste 21% de fortes têtes qui critiquent patrons, hiérarchie ou conditions de travail tout en étant conscients, pour 86% d'entre eux, des risques qu'ils prennent désormais !
Les salariés les plus critiques sont les 25-34 ans (32,9%) et les ouvriers (38,2%). Les moins critiques sont les 18-24 ans (9,3%) et les cadres (11,6%).
Quid de l'avenir ? 64% des sondés pensent que les critiques des entreprises par leurs salariés seront de plus en plus répandues sur les réseaux sociaux, malgré les sanctions encourues.
Les plus jeunes sont aussi les plus convaincus que le phénomène ira en s'amplifiant (78,4% des 18-24 ans).
Le net est donc (encore) perçu comme un espace de liberté. Bonne nouvelle non ?