Sinon, bien que moi non plus je saurais pas définir queerbaiting (juste la définition wikipédia, je suis pas sûre de la comprendre), mais si ça intéresse des madz il y a plein de vidéos youtube et d'articles (en anglais ) sur le sujet. Que ça soit sur Sherlock ou pas.
Après c'est plus agréable d'en discuter ici, mais je me permets au cas où d'autres aient comme moi la flemme de se faire un avis ou de se justifier pour le moment .
Edit : Je me demande si le public non-hétéro voit pas plus de subtext qu'un public hétéro . J'ai beaucoup aimé un documentaire sur la représentation des personnages homos dans le cinéma états-unien, qui s'appelle The celluloid closet. Ils y expliquaient que le code Hays (1933-1966 selon wikipédia ) réglementait les représentations, notamment de l'homosexualité. Donc soit le personnage homo était mauvais et/ou destiné à mourir (il y avait un très beau montage de toutes les morts les unes à la suite des autres, c'était fascinant ). Soit le réalisateur sous-entendait l'homosexualité grâce à un subtext parfois infime (genre deux mecs s'échangent des pistolets, ou s'allument les cigarettes de l'un l'autre). Du coup peut être que ça façonne toujours nos perceptions à chercher des sous-entendus. Ou qu'on est toujours à la recherche de représentations.
Après c'est plus agréable d'en discuter ici, mais je me permets au cas où d'autres aient comme moi la flemme de se faire un avis ou de se justifier pour le moment .
Edit : Je me demande si le public non-hétéro voit pas plus de subtext qu'un public hétéro . J'ai beaucoup aimé un documentaire sur la représentation des personnages homos dans le cinéma états-unien, qui s'appelle The celluloid closet. Ils y expliquaient que le code Hays (1933-1966 selon wikipédia ) réglementait les représentations, notamment de l'homosexualité. Donc soit le personnage homo était mauvais et/ou destiné à mourir (il y avait un très beau montage de toutes les morts les unes à la suite des autres, c'était fascinant ). Soit le réalisateur sous-entendait l'homosexualité grâce à un subtext parfois infime (genre deux mecs s'échangent des pistolets, ou s'allument les cigarettes de l'un l'autre). Du coup peut être que ça façonne toujours nos perceptions à chercher des sous-entendus. Ou qu'on est toujours à la recherche de représentations.
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