Au risque de me faire pendre en place publique:
Je ne pense pas que le cas du jeune qui donne son avis sur l'avortement soit a classer dans "perle du bac". Je vois pas en quoi cela est risible. C'est juste contraire à l'idéologie dominante qui veut qu'on dise " L'avortement c'est bien, c'est un progrès incontestable."
Je vois que beaucoup de jeunes filles ont eu le cerveau lavé au féminisme.
Alors que, si on s'interresse à cette question sérieusement, et surtout honnêtement (c'est à dire en cherchant ailleurs que dans les contes pour enfants de Fernand Nathan), on apprend que le mouvement féministe est né aux Etats Unis, financé par la famille Rockefeller: Oui, la moitié des citoyens ne payaient pas de taxes et ne consommaient pas.
(Quoi? Vous croyez vraiment que c'était par sympathie???!)
Il fallait donc que les femmes travaillent pour avoir accès au porte monnaie et donc :à la consommation.
D'une pierre, il est possible de faire plusieurs coups: cela a aussi permi aux femmes de se démettre plus rapidement de leur rôle d'éducation, et ainsi de livrer leurs charmants enfants au système scolaire où le lavage de cerveau serait effectif bien plus tôt pour un contrôle mental bien plus efficace.
En France, la lutte féministe à été mené par des bourgeoises qui s'ennuyaient à la maison, et rêvaient d'accédé à un autre statut social: être avocate,médecin... Mais pour les même raisons qu'aux Etats unis.
Pour la femme issue de la classe populaire c'est une autre histoire. Avant, on la libérait soit disant, "des chaînes du mâle". Aujourd'hui concrètement, c'est la double journée, et si je suis le raisonnement des féministes hystériques, "c'est la double alliénation au mââââleee" puisque Madame supporte désormais le patron et le mari en rentrant le soir.
Si on parle concret, et pas masturbation politique, le féminisme n'existe pas. Si le patron d'une boîte est une patronnne, elle ne traitera jamais mieux ses ouvrières, encore moins sous couvert du féminisme.
Petites réflexions faites. Sur le cas de l'avortement:
la procréation n'est pas une tare, n'est pas un boulet, c'est un don !
Bernard Nathanson, médecin gynécologue américain, à effectuer bon nombre d'avortements. Un jour, lors d'un avortement par aspiration, il a eu l'idée de filmer, tout comme on le fait avec l'échographie, puis il s'est rendu compte que le foetus ("chose" que vous rapprochez souvent à un "morceau de steak"...) se débattait, et était dans un état de panique monstrueux. Oui, cela tient du sacré, au sens religieux certes, mais à la conscience de n'importe quel être humains s'il en reste.
( Etudiez de près la grossesse et l'allaitement, c'est juste DIVIN, sans mauvais jeu de mots, on ne comprends encore même pas tous les mécanismes!)
800 000 avortements par an ? Votre modernité nous coûtent cher, sur le plan moral, je précise. J'appelle ça un génocide silencieux.
Je pense que ma Mère s'est bien plus épanouïe humainement et spirituellement à élever ses enfants qu'une femme de bureau dont la seule liberté ne se résume, au final, qu'à faire du shopping le samedi, capitalisme oblige.
Le mot "perverti" est peut être un peu fort dans cette copie, mais les épithètes que l'on attribuent aux personnes qui pensent comme Moi sont bien plus virulents.
C'est tout le charme de cette époque: l'intolérance au nom de la tolérance...
Enfin, vous pouvez toujours continuer à vous renier vous même, n'empèche que le mois prochain, vos règles viendront vous rappeler qui vous êtes...