@Cépamoi @jjul @Kornel Esti je trouve que ce qui est intéressant dans cet angle, ce n'est pas la valorisation de telles ou telles pratiques de classe, mais plutôt le rapport à l'échelle, et effectivement se remettre les yeux en face des trous.
Je m'explique : de la même manière que """""les assisté.es"""" coûtent en fait vachement moins chers à l'état que la fraude fiscale, et bah le mode de vie discount des pauvres et opprimé.es, qui peut être pointé du doigt car non-écolo (fringues discount, nourriture pas bio, objets du quotidien en plastique qui cassent vite et qu'il faut jeter/remplacer souvent), a tout de même - à mon avis - moins d'impact sur la planète que le mode de vie des 1 ou 10% les + riches, qui prennent l'avion comme si c'était la même chose que prendre le métro, ont des yachts, plusieurs voitures, plusieurs propriétés à entretenir, etc etc - ou bien que le mode de production des entreprises qui produisent à bas prix.
Je trouve que c'est important de se rappeler de l'échelle des choses, et d'où se trouvent les facteurs vraiment problématiques et la responsabilité, en fait : à savoir, rarement chez les plus pauvres.
C'est pour ça que pour ma part, même si je trouve ça important d'avoir des pratiques quotidiennes écologiquement réfléchies à mon échelle, je trouve ça extrêmement important aussi de ne pas oublier que ça ne suffit pas, et que ce qui fait / fera vraiment la différence, c'est de mettre en place des politiques écolos qui permettent à tout le monde de vivre écolo, sans faire peser la responsabilité sur les invidivus à part égal comme si on était tous égaux face à la surconsommation / consommation "non-réfléchie" - ce qui n'est pas le cas comme je dis plus haut - mais sur la collectivité, en obligeant du coup les + consommateurs (à l'échelle générale, pas à l'échelle individuelle) à réduire leur conso ou en payer le privilège.
Je m'explique : de la même manière que """""les assisté.es"""" coûtent en fait vachement moins chers à l'état que la fraude fiscale, et bah le mode de vie discount des pauvres et opprimé.es, qui peut être pointé du doigt car non-écolo (fringues discount, nourriture pas bio, objets du quotidien en plastique qui cassent vite et qu'il faut jeter/remplacer souvent), a tout de même - à mon avis - moins d'impact sur la planète que le mode de vie des 1 ou 10% les + riches, qui prennent l'avion comme si c'était la même chose que prendre le métro, ont des yachts, plusieurs voitures, plusieurs propriétés à entretenir, etc etc - ou bien que le mode de production des entreprises qui produisent à bas prix.
Je trouve que c'est important de se rappeler de l'échelle des choses, et d'où se trouvent les facteurs vraiment problématiques et la responsabilité, en fait : à savoir, rarement chez les plus pauvres.
C'est pour ça que pour ma part, même si je trouve ça important d'avoir des pratiques quotidiennes écologiquement réfléchies à mon échelle, je trouve ça extrêmement important aussi de ne pas oublier que ça ne suffit pas, et que ce qui fait / fera vraiment la différence, c'est de mettre en place des politiques écolos qui permettent à tout le monde de vivre écolo, sans faire peser la responsabilité sur les invidivus à part égal comme si on était tous égaux face à la surconsommation / consommation "non-réfléchie" - ce qui n'est pas le cas comme je dis plus haut - mais sur la collectivité, en obligeant du coup les + consommateurs (à l'échelle générale, pas à l'échelle individuelle) à réduire leur conso ou en payer le privilège.