Chères lectrices,
Comme vous le savez peut-être, je tiens une nouvelle rubrique hebdo intitulée « Le Petit Reportage », dont vous avez eu un aperçu la semaine passée avec le camp d'entraînement FEMEN.
Cette semaine, j'ai choisi de plancher sur la vie privée sur Internet, débat remis au goût du jour malgré nous avec le Facebookgate (on va l'appeler comme ça).
Tout ce ramdam m'a donné envie de me pencher sur les différents rapports à Internet que nous entretenons tous, en tout cas en terme de vie privée. Je serais ravie de recueillir vos témoignages sur ce sujet si vous le souhaitez, ou par e-mail si (puisqu'on en parle !) vous préférez rester dans la confidence : laystary[MENTION=50788]madmoizelle.com[/MENTION]
=> Possédez-vous un compte Facebook, Twitter, Instagram ? Tenez-vous un blog ?
À celles qui n'ont pas de compte Facebook : est-ce que ça a toujours été le cas ou est-ce que vous avez choisi de le fermer à la suite d'un incident ?
À celles qui ont en un, mais le sur-verrouillent : que consentez-vous à partager ? Que refusez-vous de mettre en ligne ?
=> De façon générale, que partagez-vous sur vos réseaux sociaux ? Que permet, selon vous, la construction d'une e-identité ? Trouvez-vous que ces épanchements - que la technologie permet aujourd'hui de ne pas laisser mariner dans les pages d'un journal intime - sont salvateurs (on apprend à communiquer différemment, quelque part, on a davantage de moyens mis à notre disposition pour « partager ») OU malsains (on dit tout et n'importe quoi, on perd de son intimité et on ne fait plus le tri entre "contacts" et "amis") ?
=> Tenez-vous un blog, et si oui, qu'y racontez-vous ? Parler de soi sur Internet, est-ce égocentrique ou une forme contemporaine d'échanges ?
Voilà, vous l'aurez compris : je cherche avant tout à vous faire réagir sur votre rapport à ce décloisonnement vie privée / vie publique.
Si vous voulez bien m'en dire plus, je lirai vos témoignages avec grande attention, et en citerai certain dans mon papier, si vous m'y autorisez (précisez "témoignage anonyme" si vous ne voulez pas que votre nom apparaisse dans l'article).
Merci
Comme vous le savez peut-être, je tiens une nouvelle rubrique hebdo intitulée « Le Petit Reportage », dont vous avez eu un aperçu la semaine passée avec le camp d'entraînement FEMEN.
Cette semaine, j'ai choisi de plancher sur la vie privée sur Internet, débat remis au goût du jour malgré nous avec le Facebookgate (on va l'appeler comme ça).
Tout ce ramdam m'a donné envie de me pencher sur les différents rapports à Internet que nous entretenons tous, en tout cas en terme de vie privée. Je serais ravie de recueillir vos témoignages sur ce sujet si vous le souhaitez, ou par e-mail si (puisqu'on en parle !) vous préférez rester dans la confidence : laystary[MENTION=50788]madmoizelle.com[/MENTION]
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À celles qui n'ont pas de compte Facebook : est-ce que ça a toujours été le cas ou est-ce que vous avez choisi de le fermer à la suite d'un incident ?
À celles qui ont en un, mais le sur-verrouillent : que consentez-vous à partager ? Que refusez-vous de mettre en ligne ?
=> De façon générale, que partagez-vous sur vos réseaux sociaux ? Que permet, selon vous, la construction d'une e-identité ? Trouvez-vous que ces épanchements - que la technologie permet aujourd'hui de ne pas laisser mariner dans les pages d'un journal intime - sont salvateurs (on apprend à communiquer différemment, quelque part, on a davantage de moyens mis à notre disposition pour « partager ») OU malsains (on dit tout et n'importe quoi, on perd de son intimité et on ne fait plus le tri entre "contacts" et "amis") ?
=> Tenez-vous un blog, et si oui, qu'y racontez-vous ? Parler de soi sur Internet, est-ce égocentrique ou une forme contemporaine d'échanges ?
Voilà, vous l'aurez compris : je cherche avant tout à vous faire réagir sur votre rapport à ce décloisonnement vie privée / vie publique.
Si vous voulez bien m'en dire plus, je lirai vos témoignages avec grande attention, et en citerai certain dans mon papier, si vous m'y autorisez (précisez "témoignage anonyme" si vous ne voulez pas que votre nom apparaisse dans l'article).
Merci