Depuis peu, je n'ai plus que mes deux grands-mères (Voilà encore une preuve que les femmes sont les plus résistantes!)
Mes relations avec mes grands-parents paternels sont des plus banales : visite régulière une fois tous les deux trois mois, bonjour au revoir, bisou bisou, et à la prochaine. J'aurai aimé connaître mon grand-père davantage : il aimait l'écriture, et voulait lire ce que je faisais. Quand je jouais aux échecs avec lui, il avait un air si concentré, il était fascinant. Ma grand-mère a Alzheimer. Alors effectivement, c'est plus compliqué.
Mes grands-parents maternels m'ont vu grandir. Ma grand-mère, c'était ma nourrice. Mon grand-père parlait peu, mais il nous construisait pleins de choses. Et puis, c'était mon modèle de courage : pendant 25 ans, il a lutté, contre plusieurs cancers. Quand il est parti le mois dernier... Ce fut.. Douloureux. Ma grand-mère est encore là. Et j'y vais le plus souvent possible. On discute autour d'un thé et d'une coupelle de fraises. Les premières françaises.
Mes relations avec mes grands-parents paternels sont des plus banales : visite régulière une fois tous les deux trois mois, bonjour au revoir, bisou bisou, et à la prochaine. J'aurai aimé connaître mon grand-père davantage : il aimait l'écriture, et voulait lire ce que je faisais. Quand je jouais aux échecs avec lui, il avait un air si concentré, il était fascinant. Ma grand-mère a Alzheimer. Alors effectivement, c'est plus compliqué.
Mes grands-parents maternels m'ont vu grandir. Ma grand-mère, c'était ma nourrice. Mon grand-père parlait peu, mais il nous construisait pleins de choses. Et puis, c'était mon modèle de courage : pendant 25 ans, il a lutté, contre plusieurs cancers. Quand il est parti le mois dernier... Ce fut.. Douloureux. Ma grand-mère est encore là. Et j'y vais le plus souvent possible. On discute autour d'un thé et d'une coupelle de fraises. Les premières françaises.