A
AnonymousUser
Guest
Je vais parler au passé.
Mes grands parents paternels sont décédés quand j'étais bébé. Je n'en garde donc aucun souvenir.
Ma grand-mère maternelle est décédée quand j'étais petite, je devais avoir autour des 4 ans, je ne sais pas exactement. J'en parle très peu avec ma mère parce que je ne veux pas l'amener sur un terrain que je sais douloureux.
Mon enfance est associée à mon grand-père maternel chez qui j'ai passé bon nombre de week-end et de vacances. Tous mes souvenirs d'enfance sont liés à lui, à sa maison et à son jardin. Il est décédé quand j'avais 18 ans je crois (j'ai une mémoire spatio-temporelle assez mauvaise), pendant une de mes années de concours médecine. Lorsque mon père m'a annoncé son décès au téléphone, j'ai vraiment eu la sensation de l'enfance qui mourrait. Il n'y avait plus rien qui me rattachait à cette période. J'étais extrêmement proche de lui, j'étais son petit-enfant préféré (sur les quatre qu'il avait). Il l'avait d'ailleurs écrit dans un carnet que l'on a retrouvé en rangeant sa maison. Les derniers temps ont été très durs (maladie puis refus de vivre) donc j'en ai profité au maximum en allant le voir dès que je pouvais. Et aujourd'hui il me manque encore terriblement, c'est très douloureux pour moi d'y penser.
(désolée pour ce post pas très gai)
Mes grands parents paternels sont décédés quand j'étais bébé. Je n'en garde donc aucun souvenir.
Ma grand-mère maternelle est décédée quand j'étais petite, je devais avoir autour des 4 ans, je ne sais pas exactement. J'en parle très peu avec ma mère parce que je ne veux pas l'amener sur un terrain que je sais douloureux.
Mon enfance est associée à mon grand-père maternel chez qui j'ai passé bon nombre de week-end et de vacances. Tous mes souvenirs d'enfance sont liés à lui, à sa maison et à son jardin. Il est décédé quand j'avais 18 ans je crois (j'ai une mémoire spatio-temporelle assez mauvaise), pendant une de mes années de concours médecine. Lorsque mon père m'a annoncé son décès au téléphone, j'ai vraiment eu la sensation de l'enfance qui mourrait. Il n'y avait plus rien qui me rattachait à cette période. J'étais extrêmement proche de lui, j'étais son petit-enfant préféré (sur les quatre qu'il avait). Il l'avait d'ailleurs écrit dans un carnet que l'on a retrouvé en rangeant sa maison. Les derniers temps ont été très durs (maladie puis refus de vivre) donc j'en ai profité au maximum en allant le voir dès que je pouvais. Et aujourd'hui il me manque encore terriblement, c'est très douloureux pour moi d'y penser.
(désolée pour ce post pas très gai)