Envie d'écrire. Ecrire encore et pour toujours. La seule condition: avoir de l'inspiration.Ou pas. Salvateur. C'est ça. Juste ça. Exactement celà. Mes seuls compagnons de route dans la vie, le stylo, le carnet et le livre. Imaginaire, imagination. Fantasmatisation. Délivrance.Ouvrir un carnet et se laisser aller à écrire.Plus c'est long, plus je jubile. Je n'arrive plus à m'arrêter. Cette douce musique à mes oreilles, cette chose qui m'emporte avec elle.La musique. Ah... cette mélodie. Envie de fermer les yeux, de m'allonger, là, devant tout le monde. Aux yeux de tous. Imaginer la scène, la stupeur. La moquerie, puis une fois la surprise passée, l'assourdissement dans ma tête, le froid de dehors qui pénétrait mon corps, ma chair, mes os, mes organes. Puis je lèverai les yeux.Non, la porte est maintenant fermée. Ce n'était que mon imagination. Fermer les yeux encore une fois et attendre que la magie opère. Blondeur. Terne. Ses yeux qui me fuient. A la quête d'un signe, d'un sourire, d'une parole, quelque chose plutôt que rien. "Il se fait désirer". Je l'attendrais. Je le possèderais. Jusqu'à ma mort. Physiquement ou spirituellement. Symboliquement. Parce que je l'aime. Lui, vraiment, sérieusement? Exclusivement? Ah bon? Haha!Et pour combien de temps encore? Quand il m'éconduira?Oui.
Vos textes libres
- Initiateur de la discussion Yana
- Date de début
Agitation du soir. Indifférente au fait qu'ils soient indifférents. Ai bien rempli ma journée grâce à RN. Lumières du soir. Devantures illuminées. Passants-piétons. Nonnes qui font du kung-fu. Bruit des clients, raclements, bruissement des verres, passages des véhicules, courants d'air. "FSSS". Accord avec moi-même. Musique dans les lumières. Pu couverte. Vent froid. Une part de lui. Un Bonjour. Des bonjours. Un sourire...puis des sourires. Cette fille. Une présence.Mon élan vers elle. La lune qui brille dans le ciel. Puis un éclair. C'est possible ça? Oui, un craquement, un déchirement dans le ciel.Cet air dans son regard. "Incroyable qu'une fille me dise ça!"Oui, Madame, j'ai fait preuve d'audace, d'originalité. Une rencontre.Si furtive qu'elle fut. Mémorable. Ré-opérable? Opération des dents.Une vis dans la dent.
Une ombre passa. Alluma la touche du premier étage de l'ascenseur. L'Homme, paniqué et sujet à des hallucinations (auditives et visuelles), ressentit un léger frissonnement. Une sueur froide l'envahit. Il appuya convulsivement sur la touche qui ouvrirait les portes de cette cage. Des perles de sueur gouttaient sur sa nuque. Une pensée le traversa. "Alors c'est içi que je vais mourir". Dehors c'était le chaos. Il était le seul hibou de la ville. Oui oui, vous avez bien lu. Le seul hibou. Les mastodontes leurs avaient attribué à tous le patronyme d'un animal. Parce-que c'est ce qu'on est tous, au bout du compte. Les portes s'ouvrirent enfin. Devant lui, un spectre noir. En un éclair, tout était fini. Les portes se refermèrent sur un tas de cendres.
Première chanson que j'essaye d'écrire, inspiré de la rencontre avec mon copain
Dans la nuit lumineuse pleine de possibilité
Au bout de moi mon corps s’envole sans pensée
Ma frénésie papillonne fière d’être enfin sortie
Quand ton regard me parle dans les sources colorées
La langue se délie et ton esprit me fait envie
Ta tendresse qui rayonne jusque dans mon cœur
Les vagues me hurlent de gouter tes lèvres ici
Mon destin serait de rester t’écouter des heures
Tempête, urgence, désir fou que tu balance
Immense, bouleversant, mais si fou si marrant
Mon pas assuré, geste audacieux de vérité
Tu sombre dans mon ombre, tu sors de ton décors
Le parfum brûlant de la force du moment
Consume nos pensées et réveille nos ardeurs
Le tourbillon infini de nouveaux sentiments
Qui ne laisse passé que l’instant avec ampleur
Dans la nuit lumineuse pleine de possibilité
Au bout de moi mon corps s’envole sans pensée
Ma frénésie papillonne fière d’être enfin sortie
Quand ton regard me parle dans les sources colorées
La langue se délie et ton esprit me fait envie
Ta tendresse qui rayonne jusque dans mon cœur
Les vagues me hurlent de gouter tes lèvres ici
Mon destin serait de rester t’écouter des heures
Tempête, urgence, désir fou que tu balance
Immense, bouleversant, mais si fou si marrant
Mon pas assuré, geste audacieux de vérité
Tu sombre dans mon ombre, tu sors de ton décors
Le parfum brûlant de la force du moment
Consume nos pensées et réveille nos ardeurs
Le tourbillon infini de nouveaux sentiments
Qui ne laisse passé que l’instant avec ampleur
Attention il est violent... et morbide
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Je relance le topic avec un (tout) petit texte. 
J'adore écrire, ça me soulage. J'espère que ce petit texte vous plaira. 
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Une vague de liberté emplit son corps. Elle ne s'était jamais sentie aussi bien. En paix avec elle-même et le monde. Puis, elle respira une grande bouffée d'air frais, empoigna son journal, passa son panier sous son bras, se leva du banc public et entama une petite promenade. Elle avait besoin de se dégourdir les jambes. De se sentir vivante. Elle était dans sa bulle. Tout avait commencé la veille,quand elle avait déniché dans une brochure une petite annonce qui allait transformer sa vie. Un éditeur très avant-gardiste avait glissé dans le journal le message selon lequel il paierai grassement quiconque avait assez de talent pour écrire l'autobiographie romancée la plus surprenante de sa carrière vieille maintenant de quelques décennies.
Coucou. Je viens de découvrir ce topic, je me suis remise à l'écriture il y a quelques temps. Je suis hyper enthousiaste!
Comment vous faites pour poster vos textes? J'aimerai en soumettre un, mais il fait au moins deux pages...
Comment vous faites pour poster vos textes? J'aimerai en soumettre un, mais il fait au moins deux pages...
Elle marchait seule, comme dans la chanson. La démarche incertaine, des pas vacillants. Un camion poids lourds passa; puis un autre. Des frissons parcourent son corps. Elle se maudit intérieurement. Puis ses jambes flagonnèrent. Son corps frappa lourdement le sol. Elle vit 36 chandelles, comme on dit. Puis son âme, immotelle, s'éleva dans les airs. Elle était condamnée à errer dans les lymbes du pacifique 
https://www.fanfictions.fr/fanficti...et-comment-celui-ci-fut-malmene/chapters.html
Ceci est un dérivé de l'oeuvre de Voltaire, un devoir où il fallait dénoncer quelque chose. Donc les personnages de Candide et de Cunégonde appartiennent entièrement à Voltaire. Il faut savoir que dans son livre le philosophe critique la théorie de Leibniz: "Les malheurs particuliers font le bien général; de sorte que plus il y a de malheurs particuliers, et plus tout est bien." (phrase extrait du chapitre IV de Candide).
4 ans après l'avoir écrit je pense toujours que c'est le meilleur texte que j'ai écrit donc voilà ^^
Ceci est un dérivé de l'oeuvre de Voltaire, un devoir où il fallait dénoncer quelque chose. Donc les personnages de Candide et de Cunégonde appartiennent entièrement à Voltaire. Il faut savoir que dans son livre le philosophe critique la théorie de Leibniz: "Les malheurs particuliers font le bien général; de sorte que plus il y a de malheurs particuliers, et plus tout est bien." (phrase extrait du chapitre IV de Candide).
4 ans après l'avoir écrit je pense toujours que c'est le meilleur texte que j'ai écrit donc voilà ^^
Faire semblant de ne rien ressentir, quand ta remarque me blesse profondément, rire en disant que ce n’est rien, alors que je te déteste profondément. Et, intérieurement, je sais que toi-même tu souffres... Pourquoi être deux à souffrir en silence, et ne pas plutôt s’entraider ?
L’orgueil nous empoisonne, nous force à nous taire.
Pourquoi dire aux autres que rien ne m’atteint ? Peut-être que c’est vrai, mais ces blessures finissent toujours par revenir à la surface.
Voilà
Ce n’est pas très bien écrit, c'est assez impulsif, mais bon !
L’orgueil nous empoisonne, nous force à nous taire.
Pourquoi dire aux autres que rien ne m’atteint ? Peut-être que c’est vrai, mais ces blessures finissent toujours par revenir à la surface.
Voilà
Ce n’est pas très bien écrit, c'est assez impulsif, mais bon !
