Pour ton premier point, j'ai bien précisé qu'entre les intérêts financiers et la science en elle-même (et ceux qui la pratiquent du coup) il y a un fossé. Là pour moi c'est surtout une question d'intégrité et de respect de ses propres valeurs. Encore une fois pour moi ce n'est pas le résultat qui compte mais bien la façon dont on y est amené. Et encore une fois, je fais ce que je peux au quotidien pour respecter mes valeurs et "faire avec" une société où de toutes façons, "tout" est mal fait (en achetant du lait en grande surface, quelque part on cautionne tout le système agro alimentaire qui est derrière - j'achète pas que du bio ni que directement au producteur car je n'en ai pas les moyens ni la disponibilité, mais eh, j'ai conscience que je fais aussi partie du problème, comme tout le monde ). Après on fait les choix qui nous parlent personnellement, ceux dont on se sent capable, etc.
Tu parles de "protéger la population", oui, après on a aussi le droit d'avoir une opinion différente sur ce que ça veut dire.
Je dis que chaque maladie physique tire son origine d'une cause émotionnelle. Ça veut pas dire pour autant que la maladie physique n'existe pas t'as une grippe, tu soignes ta grippe (ou pas d'ailleurs, ça peut passer tout seul), tu peux aussi t'intéresser à ce que ça veut dire d'un point de vue émotionnel pour éviter que ça ressorte à nouveau sous des symptômes différents.
Quand j'ai dit que pour moi les virus sont aussi liés à une cause émotionnelle, c'est plutôt : le fait d'être sensible à un virus (ou autre), ça vient de notre état émotionnel : encore une fois c'est pas une attaque ni une culpabilisation, c'est ce que moi je prends pour explication à "pourquoi on tombe malade", quel est le sens d'une maladie.
Je pense qu'on tourne en rond dans la conversation car je parle d'une partie de nous qui est encore largement sous-explorée, incomprise et/ou ignorée. Les mécanismes inconscients en psychologie, ça fait peu de temps qu'on les connaît et je pense que beaucoup de "conclusions" sont erronées ou partielles. Néanmoins elles ont le mérite d'exister et de nous laisser entrevoir un champs de possibilités qui, je pense, serait constructif beaucoup plus globalement dans notre société (et dans les sociétés humaines en général). Ma propre expérience me pousse à vouloir explorer ça encore +, le partager avec d'autres car sincèrement je pense que c'est super enrichissant.
Tu dis que je manque de nuance, je comprends que cela puisse ressortir de mes posts, pourtant c'est loin d'être le cas. Une très proche amie à moi m'a dit qu'elle allait se faire vacciner, elle connaît très exactement mon point de vue sur la question, et je n'ai en aucun cas tenté de la faire changer d'avis, tout simplement car c'est un choix qui appartient à chacun.e et que je ne me permettrais jamais de dire à quelqu'un ce qu'il ou elle doit faire. J'aimerais que l'inverse soit vrai, que la question de la vaccination ne crée pas un clivage entre ceux qui sont ok et ceux qui ne veulent pas.
Tu parles de "protéger la population", oui, après on a aussi le droit d'avoir une opinion différente sur ce que ça veut dire.
Ce n'est pas ce que je dis !...Mais pourquoi est-ce que le fait que ces symptômes là existent reviendraient à nier qu'il existe des maladies qui sont juste le fait d'un virus, d'une bactérie ?
Je dis que chaque maladie physique tire son origine d'une cause émotionnelle. Ça veut pas dire pour autant que la maladie physique n'existe pas t'as une grippe, tu soignes ta grippe (ou pas d'ailleurs, ça peut passer tout seul), tu peux aussi t'intéresser à ce que ça veut dire d'un point de vue émotionnel pour éviter que ça ressorte à nouveau sous des symptômes différents.
Quand j'ai dit que pour moi les virus sont aussi liés à une cause émotionnelle, c'est plutôt : le fait d'être sensible à un virus (ou autre), ça vient de notre état émotionnel : encore une fois c'est pas une attaque ni une culpabilisation, c'est ce que moi je prends pour explication à "pourquoi on tombe malade", quel est le sens d'une maladie.
Sincèrement j'essaie de développer mes idées mais là j'ai vraiment l'impression que mes propos sont déformés à aucun moment dans mon raisonnement je ne sous entends que "la conscience de ses actes" peut éviter une contamination (bien que l'hypothèse est intéressante, pour le coup je pense qu'on n'en est pas là humainement parlant).Que fais-tu d'une maladie comme le VIH ? Acceptes-tu de prendre un inhibiteur pour protéger ses partenaires ou bien suffit-il de faire l'amour en conscience pour éviter la contagion ?
Je pense qu'on tourne en rond dans la conversation car je parle d'une partie de nous qui est encore largement sous-explorée, incomprise et/ou ignorée. Les mécanismes inconscients en psychologie, ça fait peu de temps qu'on les connaît et je pense que beaucoup de "conclusions" sont erronées ou partielles. Néanmoins elles ont le mérite d'exister et de nous laisser entrevoir un champs de possibilités qui, je pense, serait constructif beaucoup plus globalement dans notre société (et dans les sociétés humaines en général). Ma propre expérience me pousse à vouloir explorer ça encore +, le partager avec d'autres car sincèrement je pense que c'est super enrichissant.
Tu dis que je manque de nuance, je comprends que cela puisse ressortir de mes posts, pourtant c'est loin d'être le cas. Une très proche amie à moi m'a dit qu'elle allait se faire vacciner, elle connaît très exactement mon point de vue sur la question, et je n'ai en aucun cas tenté de la faire changer d'avis, tout simplement car c'est un choix qui appartient à chacun.e et que je ne me permettrais jamais de dire à quelqu'un ce qu'il ou elle doit faire. J'aimerais que l'inverse soit vrai, que la question de la vaccination ne crée pas un clivage entre ceux qui sont ok et ceux qui ne veulent pas.