@lazaretto Je n'ai pas l'impression que tu me contredises tant que ça en fait
J'ai pris l'exemple des cancers, car ce sont des mutations qui sont à l'origine de la tumeur, mais pour certaines maladies, c'est effectivement bien plus complexe. Et oui, les facteurs environnementaux sont essentiels pour les cancers, mais ils sont justement mutagènes. Ce que je réfute surtout, c'est l'idée de dire que l'inconscient est responsable de la maladie. car justement, dans l'exemple du cancer, je ne vois pas comment il pourrait provoquer des mutations (à moins que ce soit parce que l'inconscient nous le dicte qu'on s'expose beaucoup trop au soleil sans crème). Du coup, comme le dit @Musaraigne plus bas, j'ai choisi cet exemple parce qu'on a un mécanisme physio très bien identifié.
Par rapport à ton dernier paragraphe, je ne crois pas avoir dit qu'il n'y avait qu'une seule manière de se soigner, je ne le pense pas du tout.
Et si j'ai fait du cerveau un outil puissant par rapport au corps, c'est surtout en pensant à des exemples tels que le déni de grossesse. Ça me fascine de voir à quel point la pensée peut avoir un effet physiologique. Mais justement, à la fin, le bébé est toujours là. Cela dit, je suis plutôt d'accord avec toi là-dessus.
J'ai pris l'exemple des cancers, car ce sont des mutations qui sont à l'origine de la tumeur, mais pour certaines maladies, c'est effectivement bien plus complexe. Et oui, les facteurs environnementaux sont essentiels pour les cancers, mais ils sont justement mutagènes. Ce que je réfute surtout, c'est l'idée de dire que l'inconscient est responsable de la maladie. car justement, dans l'exemple du cancer, je ne vois pas comment il pourrait provoquer des mutations (à moins que ce soit parce que l'inconscient nous le dicte qu'on s'expose beaucoup trop au soleil sans crème). Du coup, comme le dit @Musaraigne plus bas, j'ai choisi cet exemple parce qu'on a un mécanisme physio très bien identifié.
Par rapport à ton dernier paragraphe, je ne crois pas avoir dit qu'il n'y avait qu'une seule manière de se soigner, je ne le pense pas du tout.
Et si j'ai fait du cerveau un outil puissant par rapport au corps, c'est surtout en pensant à des exemples tels que le déni de grossesse. Ça me fascine de voir à quel point la pensée peut avoir un effet physiologique. Mais justement, à la fin, le bébé est toujours là. Cela dit, je suis plutôt d'accord avec toi là-dessus.