@Griffith
Dis-toi que l'ex mentionné à la fin de mon commentaire, considérait que j'étais nulle en cuisine parce que j'ai fait crâmer accidentellement des patates une seule fois. J'étais occupée en même temps, elles ont fini avec un peu de noir sur un côté. Et bah ça a suffit pour me releguer au rang de quelqu'un qui ne savait pas cuisiner, contrairement à lui, car lui se considérait comme quelqu'un qui savait. Alors qu'à côté, il ne savait pas éplucher des légumes et 99% de sa cuisine consistait en beaucoup trop de pâtes cuites (donc il mangeait des quantités énormes et en jetait une bonne partie). Et dans ces pâtes, il mettait trois fois trop de fromage et autres trucs, ce qui rendait les pâtes très lourdes et indigestes. J'ai dû lui apprendre quelques trucs, comme l'existence de l'outil de cuisine dénommé "éplucheur" parce qu'il ne savait pas éplucher correctement ses légumes, il enlevait une bonne partie avec la peau.
Mais à part ça, lui savait cuisiner et pouvait se moquer de moi. Qu'est-ce que j'étais bête d'accepter ça en réalité.
Et effectivement, quand on sait pas, on peut apprendre, mais tout est l'attitude pour moi. Y a une différence entre quelqu'un qui ne sait pas et est disposé à se sortir les doigts du cul, qui va chercher à apprendre, etc... Et quelqu'un qui ne sait pas, mais va être agressivement méprisant ou tellement dépendant de papa-maman qu'à 25 ans, il n'est pas un adulte fonctionnel. Parce que y a aussi une différence entre celui qui sait mais a la flemme, et celui qui ne sait pas parce qu'il se repose encore sur maman pour lui faire ses corvées. Dans le dernier cas, on est sur un homme-enfant et là : fuyez. Loin.
J'avais commencé à écrire beaucoup plus, mais ce sont beaucoup d'exemples personnels qui, en toute franchise, peuvent se résumer par ce qui a déjà été dit. Il y a effectivement une différence de traitement quand on parle de cuisine, en fonction des hommes et des femmes. C'est le retour de mon expérience personnelle. Un homme "sait cuisiner" aux yeux des gens quand il fait un steak avec des pâtes au beurre. Une femme, quand elle sait cuisiner, elle doit faire les pâtes maison, aller cueillir des tomates et des herbes aromantiques dans son jardin pour faire une sauce elle-même, puis elle doit acheter de la viande hâchée chez le boucher et faire elle-même un steak avec deux viandes différentes et probablement un oeuf et des herbes aussi. Et là, ça passe. On peut dire qu'elle "sait cuisiner".
En vrai, toute la discussion me fait aussi penser à des vidéos tiktok où des femmes montrent le repas qu'elles font pour leur homme qui va rentrer du travail. Encore une fois, on parle de cuisine, pas de cuisine gastronomique. Elles vont au plus simple, parce que je sais pas, à tout hasard, peut-être qu'elles travaillent, qu'elles ont d'autres trucs à gérer, bref. Et bah ça ne loupe pas, y a toujours, TOUJOURS, des commentaires pour dire que, "si j'étais lui je retournerai au taf", "motif de divorce"/"motif de rupture", voir même "Je retourne chez ma mère" ou encore "palais de doberman" et j'en passe. Alors que... Je sais pas, dire merci ? Se cuisiner son propre plat ? Apparemment non.
Dis-toi que l'ex mentionné à la fin de mon commentaire, considérait que j'étais nulle en cuisine parce que j'ai fait crâmer accidentellement des patates une seule fois. J'étais occupée en même temps, elles ont fini avec un peu de noir sur un côté. Et bah ça a suffit pour me releguer au rang de quelqu'un qui ne savait pas cuisiner, contrairement à lui, car lui se considérait comme quelqu'un qui savait. Alors qu'à côté, il ne savait pas éplucher des légumes et 99% de sa cuisine consistait en beaucoup trop de pâtes cuites (donc il mangeait des quantités énormes et en jetait une bonne partie). Et dans ces pâtes, il mettait trois fois trop de fromage et autres trucs, ce qui rendait les pâtes très lourdes et indigestes. J'ai dû lui apprendre quelques trucs, comme l'existence de l'outil de cuisine dénommé "éplucheur" parce qu'il ne savait pas éplucher correctement ses légumes, il enlevait une bonne partie avec la peau.
Mais à part ça, lui savait cuisiner et pouvait se moquer de moi. Qu'est-ce que j'étais bête d'accepter ça en réalité.
Et effectivement, quand on sait pas, on peut apprendre, mais tout est l'attitude pour moi. Y a une différence entre quelqu'un qui ne sait pas et est disposé à se sortir les doigts du cul, qui va chercher à apprendre, etc... Et quelqu'un qui ne sait pas, mais va être agressivement méprisant ou tellement dépendant de papa-maman qu'à 25 ans, il n'est pas un adulte fonctionnel. Parce que y a aussi une différence entre celui qui sait mais a la flemme, et celui qui ne sait pas parce qu'il se repose encore sur maman pour lui faire ses corvées. Dans le dernier cas, on est sur un homme-enfant et là : fuyez. Loin.
J'avais commencé à écrire beaucoup plus, mais ce sont beaucoup d'exemples personnels qui, en toute franchise, peuvent se résumer par ce qui a déjà été dit. Il y a effectivement une différence de traitement quand on parle de cuisine, en fonction des hommes et des femmes. C'est le retour de mon expérience personnelle. Un homme "sait cuisiner" aux yeux des gens quand il fait un steak avec des pâtes au beurre. Une femme, quand elle sait cuisiner, elle doit faire les pâtes maison, aller cueillir des tomates et des herbes aromantiques dans son jardin pour faire une sauce elle-même, puis elle doit acheter de la viande hâchée chez le boucher et faire elle-même un steak avec deux viandes différentes et probablement un oeuf et des herbes aussi. Et là, ça passe. On peut dire qu'elle "sait cuisiner".
En vrai, toute la discussion me fait aussi penser à des vidéos tiktok où des femmes montrent le repas qu'elles font pour leur homme qui va rentrer du travail. Encore une fois, on parle de cuisine, pas de cuisine gastronomique. Elles vont au plus simple, parce que je sais pas, à tout hasard, peut-être qu'elles travaillent, qu'elles ont d'autres trucs à gérer, bref. Et bah ça ne loupe pas, y a toujours, TOUJOURS, des commentaires pour dire que, "si j'étais lui je retournerai au taf", "motif de divorce"/"motif de rupture", voir même "Je retourne chez ma mère" ou encore "palais de doberman" et j'en passe. Alors que... Je sais pas, dire merci ? Se cuisiner son propre plat ? Apparemment non.