A
Ancien membre
Guest
Je veux un amoureux. Je voudrais bien que ce soit toi mon amoureux.
Mais c'est trop le bordel.
Mais c'est trop le bordel.
Ce que j'aimerais lui dire...
- Initiateur de la discussion Abelys
- Date de début
J'aurais aimé rester en bons termes avec toi peu importe que l'on soit juste des amis ou davantage.
J'aurais voulu pouvoir t'aider. Je ne sais pas quelle blessure tu caches mais je sais que tu souffres.
J'aurais voulu être ce soutien que tu sembles chercher.
Tu aurais beau nier, je sais que je t'ai bouleversé comme tu m'as bouleversée.
J'aurais voulu pouvoir t'aider. Je ne sais pas quelle blessure tu caches mais je sais que tu souffres.
J'aurais voulu être ce soutien que tu sembles chercher.
Tu aurais beau nier, je sais que je t'ai bouleversé comme tu m'as bouleversée.
J'aurais voulu être comme toi. Savoir profiter de chaque moment. Vivre au présent.
J'aurai voulu savoir relativiser. Ne pas faire d'une petite chose une montagne.
Accepter l'idée d'un mauvais moment à passer, ne pas gâcher le présent pour autant. Contradictoirement j'aurais voulu savoir me projeter, penser déjà que ce sera bientôt terminer, un mauvais moment de passer.
J'aurais voulu savoir faire la part des choses, comprendre que certaines choses sont inévitables, qu'elles sont juste normal, que tout n'est pas grave.
J'aurais voulu être comme toi, et savoir rire en tout temps. Peut être que ça m'aurait aider.
J'aurais voulue pouvoir juste profiter de tout ce qui nous aie donner, ne pas me torturer pour tout et surtout pour rien.
J'aurai voulu avoir cette capacité ne pas tout le temps tout décortiqué.
Savoir me projeter dans le passé et pour une fois faire "les choses à l'envers", voir tout ce que j'aie que je n'avais pas avant, me souvenir de ce dont je rêvais et ne pas oublier que je l'aie aujourd'hui.
Je voudrais voir tout le temps que je vis aujourd'hui mes rêves de petite filles. Je voudrais ne pas toujours penser qu'une vilaine sorcière viendra tout me retirer.
Peut être que c'est pas de ma faute tout ça, a quelle gamine aujourd'hui n'a t-on pas répéter que le prince charmant n'existait pas ? Que le beau cheval blanc ne vivait que dans nos songes ?
C'est bien beau tout ça, mais à trop l'entendre on finit pas y croire, y croire trop peut être, sûrement.
Non dans le fond je pense que tout n'est pas ma faute. Sous mes airs de fille au caractère bien trempée, une toute petite fille qui a grandi bien trop vite, qui n'a pas encore tout comprit. Une petite fille à qui ont a demander bien trop vite d'être une femme. Une parmi tant d'autre, parmi toute ces autres que l'on pousse vers la sortie.
J'aurais voulu savoir concilier le tout . Ne pas être tout l'un ou tout l'être. Un juste milieu. Ne pas être aigrie avant l'âge.
J'aurais voulu savoir profiter encore , ne pas avoir toujours si peur.
J'aurais voulu savoir encore m'inventer de jolies fins à de jolies histoires amour. De celles ou le prince et la princesse vivent heureux et ont beaucoup d'enfant, pour s'éteindre au crépuscule de leur vie, la main dans la main.
J'aurais voulue croire que tout est possible, que rien n'est écrit d'avance.
J'aurais voulu comprendre que même quand tout ne ce passe pas comme on l'aurait voulue , le drame n'est pas toujours derrière la porte, que la fin ne nous attend pas toujours au tournant.
J'aurais voulue être comme toi, oui c'est ça.
Dis tu crois qu'avec le temps j'y arriverais ? Tu crois qu'un jour je comprendrais?
J'aie peur, encore, mais dans le fond j'aie peur de moi.
Et puis c'est bête tu vois mais je déteste ces gens qui font sans cesse de grandes phrases et qui donnent à tout des airs de mélodrames. C'est bête ouais...
J'aurai voulu savoir relativiser. Ne pas faire d'une petite chose une montagne.
Accepter l'idée d'un mauvais moment à passer, ne pas gâcher le présent pour autant. Contradictoirement j'aurais voulu savoir me projeter, penser déjà que ce sera bientôt terminer, un mauvais moment de passer.
J'aurais voulu savoir faire la part des choses, comprendre que certaines choses sont inévitables, qu'elles sont juste normal, que tout n'est pas grave.
J'aurais voulu être comme toi, et savoir rire en tout temps. Peut être que ça m'aurait aider.
J'aurais voulue pouvoir juste profiter de tout ce qui nous aie donner, ne pas me torturer pour tout et surtout pour rien.
J'aurai voulu avoir cette capacité ne pas tout le temps tout décortiqué.
Savoir me projeter dans le passé et pour une fois faire "les choses à l'envers", voir tout ce que j'aie que je n'avais pas avant, me souvenir de ce dont je rêvais et ne pas oublier que je l'aie aujourd'hui.
Je voudrais voir tout le temps que je vis aujourd'hui mes rêves de petite filles. Je voudrais ne pas toujours penser qu'une vilaine sorcière viendra tout me retirer.
Peut être que c'est pas de ma faute tout ça, a quelle gamine aujourd'hui n'a t-on pas répéter que le prince charmant n'existait pas ? Que le beau cheval blanc ne vivait que dans nos songes ?
C'est bien beau tout ça, mais à trop l'entendre on finit pas y croire, y croire trop peut être, sûrement.
Non dans le fond je pense que tout n'est pas ma faute. Sous mes airs de fille au caractère bien trempée, une toute petite fille qui a grandi bien trop vite, qui n'a pas encore tout comprit. Une petite fille à qui ont a demander bien trop vite d'être une femme. Une parmi tant d'autre, parmi toute ces autres que l'on pousse vers la sortie.
J'aurais voulu savoir concilier le tout . Ne pas être tout l'un ou tout l'être. Un juste milieu. Ne pas être aigrie avant l'âge.
J'aurais voulu savoir profiter encore , ne pas avoir toujours si peur.
J'aurais voulu savoir encore m'inventer de jolies fins à de jolies histoires amour. De celles ou le prince et la princesse vivent heureux et ont beaucoup d'enfant, pour s'éteindre au crépuscule de leur vie, la main dans la main.
J'aurais voulue croire que tout est possible, que rien n'est écrit d'avance.
J'aurais voulu comprendre que même quand tout ne ce passe pas comme on l'aurait voulue , le drame n'est pas toujours derrière la porte, que la fin ne nous attend pas toujours au tournant.
J'aurais voulue être comme toi, oui c'est ça.
Dis tu crois qu'avec le temps j'y arriverais ? Tu crois qu'un jour je comprendrais?
J'aie peur, encore, mais dans le fond j'aie peur de moi.
Et puis c'est bête tu vois mais je déteste ces gens qui font sans cesse de grandes phrases et qui donnent à tout des airs de mélodrames. C'est bête ouais...
J'essaie de prendre les choses une minute après l'autre. ça pourrait fonctionner , mais n'arrêtes pas de m'aider. ça commençait plutôt bien tu sais, du moins, moins mal que je ne me l'étais imaginer. Mais juste grâce à ton aide.
N'arrête pas s'il te plait.
N'arrête pas s'il te plait.
Je vais mieux tu sais. Je suis passé à autre chose. Tellement rapidement.
Je reve de te dire ça, qu'aujourd'hui je peux te regarder droit dans les yeux sans souffrir, que je ne t'aime plus.
On a dit qu'on en rirai un jour, t'inquietes pas ce jour arrive.
On en rira et je rirai aussi un peu de toi .
Je reve de te dire ça, qu'aujourd'hui je peux te regarder droit dans les yeux sans souffrir, que je ne t'aime plus.
On a dit qu'on en rirai un jour, t'inquietes pas ce jour arrive.
On en rira et je rirai aussi un peu de toi .
A
Ancien membre
Guest
Je ne suis pas amoureuse de toi, tu sais.
En réalité, je suis juste une petite fille, un peu paumée, perdue ici, et surtout très seule. Je suis juste une petite fille qui a besoin de s'accrocher à quelqu'un, de se relier à quelqu'un.
Je suis désolée si tu es arrivé au mauvais moment. Mais j'ai besoin de toi, maintenant, tout le temps, je veux pas te lâcher, je veux pas te perdre, je veux pas te sentir partir.
En réalité, je suis juste une petite fille, un peu paumée, perdue ici, et surtout très seule. Je suis juste une petite fille qui a besoin de s'accrocher à quelqu'un, de se relier à quelqu'un.
Je suis désolée si tu es arrivé au mauvais moment. Mais j'ai besoin de toi, maintenant, tout le temps, je veux pas te lâcher, je veux pas te perdre, je veux pas te sentir partir.
:cry:Merci mon amour. J'aie l'impression de te demander beaucoup, beaucoup trop.
Et toi, tu trouves ça normal, naturel. Tu me le propose, le fait avant que je n'aie eu le temps de te le demander.
Comme ça, tout simplement , comme si il n'y avait rien de "trop" là dedans.
Je pourrais penser que ça vient du fait que tu me connais, que tu anticipes.
Mais c'est bien plus que ça. Tu agis comme ça depuis le début, le tout début. Bien avant d'avoir pu voir à quel point j'avais besoin de ça.
Alors bien sûr maintenant tu sais, mais ça n'enlève rien au fait que ce soit si naturel pour toi. Quand je te demande quand même quelque chose, tu as cet air étonné de celui qui ne comprend pas que je demande, qui trouve ça tellement évident.
C'est bien rare que j'aie à le faire, vraiment rare. Mais dans ces moments là, quand je me trouve lourde au possible, que je m'en veut à moi même de formuler de tels souhaits, toi tu est là à me sourire, à me serrer tout contre toi, et à me répéter que de toute façon tu l'aurais fait.
Je ne sais pas si tu sauras vraiment un jour à quel point tu est tout pour moi. Cette phrase malheureusement cliché que certain prononcent bien trop facilement légèrement, comme si ce n'était rien. Alors je te le dis, et puis tu le vois au quotidien. Mais je ne sais pas, si il est possible de voir à quel point c'est vrai.
Je me dis que c'est possible , peut être. Tant pis si je passe pour la pire des égocentriques en disant qu'il m'apparait comme une évidence que la réciprocité est vraie, mais c'est pourtant le cas. Au delà de tes mots, tout de toi me le crie, me le murmure, me le souffle.
Je ne sais pas pourquoi je tremble encore, je ne me l'explique pas. J'espère juste que ça me passera.
Mais je voulais juste de dire merci d'être toi , et d'être tant pour moi.
Reviens vite mon amour , que je puisse te le dire en face, que je puisse revivre au creux de tes bras. C'est tellement vide ici sans toi.
Tu me manque passionnément, tendrement, cruellement .
Tu me manques mon amour, je t'aime tant.
Et toi, tu trouves ça normal, naturel. Tu me le propose, le fait avant que je n'aie eu le temps de te le demander.
Comme ça, tout simplement , comme si il n'y avait rien de "trop" là dedans.
Je pourrais penser que ça vient du fait que tu me connais, que tu anticipes.
Mais c'est bien plus que ça. Tu agis comme ça depuis le début, le tout début. Bien avant d'avoir pu voir à quel point j'avais besoin de ça.
Alors bien sûr maintenant tu sais, mais ça n'enlève rien au fait que ce soit si naturel pour toi. Quand je te demande quand même quelque chose, tu as cet air étonné de celui qui ne comprend pas que je demande, qui trouve ça tellement évident.
C'est bien rare que j'aie à le faire, vraiment rare. Mais dans ces moments là, quand je me trouve lourde au possible, que je m'en veut à moi même de formuler de tels souhaits, toi tu est là à me sourire, à me serrer tout contre toi, et à me répéter que de toute façon tu l'aurais fait.
Je ne sais pas si tu sauras vraiment un jour à quel point tu est tout pour moi. Cette phrase malheureusement cliché que certain prononcent bien trop facilement légèrement, comme si ce n'était rien. Alors je te le dis, et puis tu le vois au quotidien. Mais je ne sais pas, si il est possible de voir à quel point c'est vrai.
Je me dis que c'est possible , peut être. Tant pis si je passe pour la pire des égocentriques en disant qu'il m'apparait comme une évidence que la réciprocité est vraie, mais c'est pourtant le cas. Au delà de tes mots, tout de toi me le crie, me le murmure, me le souffle.
Je ne sais pas pourquoi je tremble encore, je ne me l'explique pas. J'espère juste que ça me passera.
Mais je voulais juste de dire merci d'être toi , et d'être tant pour moi.
Reviens vite mon amour , que je puisse te le dire en face, que je puisse revivre au creux de tes bras. C'est tellement vide ici sans toi.
Tu me manque passionnément, tendrement, cruellement .
Tu me manques mon amour, je t'aime tant.
Ton silence, ta froideur m'étouffe.
Demain je veux que t'accepte que je vienne. Et comme ça je te déballerai le truc. Je voudrais que ça tourne bien, mais ça m'étonnerait.
Voilà, tu me fais stresser, j'ai pas faim, et je me sens nulle.
Demain je veux que t'accepte que je vienne. Et comme ça je te déballerai le truc. Je voudrais que ça tourne bien, mais ça m'étonnerait.
Voilà, tu me fais stresser, j'ai pas faim, et je me sens nulle.
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