@Manuella.
Ces exemples servent à montrer, que dans le cadre de la prison, l'auto-détermination ne fonctionne pas. Sauf si on considère que quelques viols de femmes c'est un prix correct à payer.
Je préfèrerais toujours favoriser les femmes qui sont vulnérables.
Je n'imagine pas l'horreur que ce serait si je devais aller en prison, déjà, et qu'en plus la personne partageant la couchette d'à côté avait un pénis. Même sans agressions, j'aurais pas envie de voir un pénis tous les jours, j'aurais pas envie de me déshabiller devant cette personne. Je pense que je suis loin d'être la seule femme avec ce genre de besoin. C'est une question d'intimité.
La séparation des sexes en prison n'a jamais vraiment été une question de genre. C'est plus une question de biologie. Un des sexes peut violer et forcer une grossesse sur l'autre. Ce n'est pas égal. Et prétendre le contraire et faire des mesures contraires ça ne fait que rajouter de la souffrance des femmes qui arrivent déjà victimes de violence masculine.
Je trouve qu'il faut être très privilégié pour adopter la position contraire. Les femmes vivant en refuge ou en prison n'ont pas envie d'être en compagnie d'un être humain mâle. Alors prendre la parole qu'elles n'ont pas pour dire qu'elles doivent faire avec (subir quoi) ou sinon c'est des sales transphobes c'est justement pas mon idée du féminisme ou du soutient des femmes.
Encore une fois je parlais du cadre de la prison. Dans la vie de tous les jours c'est sur que le risque de se faire agresser par une personne trans est assez faible. Et qu'on se fout bien du sexe de la caissière.
Ces exemples servent à montrer, que dans le cadre de la prison, l'auto-détermination ne fonctionne pas. Sauf si on considère que quelques viols de femmes c'est un prix correct à payer.
Je préfèrerais toujours favoriser les femmes qui sont vulnérables.
Je n'imagine pas l'horreur que ce serait si je devais aller en prison, déjà, et qu'en plus la personne partageant la couchette d'à côté avait un pénis. Même sans agressions, j'aurais pas envie de voir un pénis tous les jours, j'aurais pas envie de me déshabiller devant cette personne. Je pense que je suis loin d'être la seule femme avec ce genre de besoin. C'est une question d'intimité.
La séparation des sexes en prison n'a jamais vraiment été une question de genre. C'est plus une question de biologie. Un des sexes peut violer et forcer une grossesse sur l'autre. Ce n'est pas égal. Et prétendre le contraire et faire des mesures contraires ça ne fait que rajouter de la souffrance des femmes qui arrivent déjà victimes de violence masculine.
Je trouve qu'il faut être très privilégié pour adopter la position contraire. Les femmes vivant en refuge ou en prison n'ont pas envie d'être en compagnie d'un être humain mâle. Alors prendre la parole qu'elles n'ont pas pour dire qu'elles doivent faire avec (subir quoi) ou sinon c'est des sales transphobes c'est justement pas mon idée du féminisme ou du soutient des femmes.
Encore une fois je parlais du cadre de la prison. Dans la vie de tous les jours c'est sur que le risque de se faire agresser par une personne trans est assez faible. Et qu'on se fout bien du sexe de la caissière.