(C'est pas Madame, mais je sais qu'ignorer cela et modifier ton message pour qu'il ne me mégenre plus pourrait en réduire sa portée condescendante).Voir ma réponse précédente, madame le juge.
Ta réponse précédente ne rend pas moins nocives et éclairantes tes premières réactions. L'impact de la sexualisation des enfants par les adultes sur les futures victimes de pédocriminalité, même dans l'art, est explorée par la recherche scientifique. Beaucoup de ces pédophiles et éphébophiles (artistes ou auteurs de BD ou de lolicon qui produisent ce contenu) sont satisfaits à l'idée d'avoir contribué à "mâcher le travail" pour leurs frères pédocriminels, en posant la première pierre d'un processus communément appelé "grooming" : le conditionnement menant l'enfant à accepter le fait de mettre son corps à disposition sexuelle d'adultes. Ce n'est pas pour rien qu'il se déclare impatient à l'idée que de très jeunes enfants tombent sur ses oeuvres "sur la table basse du salon" et qu'ils "voient une fellation" : il déclare ensuite qu'ils ne pourront en tirer que du plaisir.
Tu seras sans doute ravi-e d'apprendre que je ne suis pas juge, mais chercheurse et également victime