Je suis tombée sur ce forum et j'avoue que j'ai attentivement lu vos réactions.
Personnellement, je ne comprends pas qu'on puisse dépénaliser les unions incestueuses. En effet, ayant un père victîme d'inceste par son frère, je peux vous dire que ça détruit une vie. Et même si je sais qu'il lui en veut au fond, il n'a rien fait. Je pense qu'il y a cette crainte de perdre un être cher si on dénonce/refuse.
Je me mets à la place d'une gamine qui a une relation incestueuse avec son père (c'est un exemple) je pense que psychologiquement la gamine sait que c'est mal , mais nous avons tous une certaine admiration ou crainte pour nos parents et/ou grand-frère de façon inconsciente.
Je pense que les gens qui vivent une relation amoureuse avec un membre de leur famille en ligne directe sont des personnes qui se plaisent dans ce cocon familial, parce que c'est sécurisant, on ne les perdra jamais, etc. Et puis il y a le cas des dérives où la "victime" d'inceste craint justement de décevoir en refusant cette union.
C'est un sujet qui me touche, car pour ma part je vois très bien les conséquences que ça a eut sur mon père. Il ne ressent même pas de haine (en tout cas ça ne se voit pas le moins du monde, puisqu'il l'a toujours invité en vacances chez nous) envers celui qui l'a détruit, il reste bloqué à cette image admirative qu'il avait pour lui avant l'inceste, parce que je crois que psychologiquement on doit faire un blocage.
Bien sûr ce n'est que mon point de vue et ça n'engage que moi. Certains de mes propos sont évidemment à nuancer, mais je voulais quand même vous part de "mon" vécut face à ce "problème". Car si on accepte l'inceste "consenti par deux adultes" (y en aura toujours un plus mûr que l'autre) on autorise également l'inceste non-consenti car sous la crainte ou l'admiration une "victime" pourra toujours dire qu'elle est consentante et que cette situation lui plait.
Personnellement, je ne comprends pas qu'on puisse dépénaliser les unions incestueuses. En effet, ayant un père victîme d'inceste par son frère, je peux vous dire que ça détruit une vie. Et même si je sais qu'il lui en veut au fond, il n'a rien fait. Je pense qu'il y a cette crainte de perdre un être cher si on dénonce/refuse.
Je me mets à la place d'une gamine qui a une relation incestueuse avec son père (c'est un exemple) je pense que psychologiquement la gamine sait que c'est mal , mais nous avons tous une certaine admiration ou crainte pour nos parents et/ou grand-frère de façon inconsciente.
Je pense que les gens qui vivent une relation amoureuse avec un membre de leur famille en ligne directe sont des personnes qui se plaisent dans ce cocon familial, parce que c'est sécurisant, on ne les perdra jamais, etc. Et puis il y a le cas des dérives où la "victime" d'inceste craint justement de décevoir en refusant cette union.
C'est un sujet qui me touche, car pour ma part je vois très bien les conséquences que ça a eut sur mon père. Il ne ressent même pas de haine (en tout cas ça ne se voit pas le moins du monde, puisqu'il l'a toujours invité en vacances chez nous) envers celui qui l'a détruit, il reste bloqué à cette image admirative qu'il avait pour lui avant l'inceste, parce que je crois que psychologiquement on doit faire un blocage.
Bien sûr ce n'est que mon point de vue et ça n'engage que moi. Certains de mes propos sont évidemment à nuancer, mais je voulais quand même vous part de "mon" vécut face à ce "problème". Car si on accepte l'inceste "consenti par deux adultes" (y en aura toujours un plus mûr que l'autre) on autorise également l'inceste non-consenti car sous la crainte ou l'admiration une "victime" pourra toujours dire qu'elle est consentante et que cette situation lui plait.