@Jinko donc on a bien la même définition de valorisation 
mais en revanche pas la même de ce qu'est une entreprise éthique
je suis exigeante sur ce point, sinon je qualifie simplement de "moins pire" (genre j'ai donné toutes mes fringues à oxfam et oups en fait 2 semaines après j’apprends que la notion de consentement chez eux c'est un truc vachement relatif. 
super, ça fait toujours plaisir)
je m'intéresse pas mal à la grille des salaires aussi, du coup je me méfie quand elle n'est pas publique , et aussi quand l'asso est dirigé par un mec qui semble gagner teeeeeellement plus que moi (là je pense à Emmaüs puisque c'était ton exemple )
sinon l'insertion c'est très bien, quand c'est bien fait, et malheureusement c'est pas souvent le cas... et typiquement, le relai est assez réputé dans le genre catastrophe inhumaine (je pensais que tout le monde le savais parce qu'à chaque fois que j'évoque le relai les gens autour de moi font la grimace, en fait en cherchant des sources je trouve vraiment pas grand chose, donc du coup je ne peux plus retrouver précisément ce qui posait problème ni prouver ce que je raconte... ça m'ennuie, mais pourtant je suis sûre que c'était eux !
)
mais je pense que c'est important de savoir que dans les entreprises qui utilisent des salariées en réinsertion pour faire "social", il n'est pas rare qu'on se retrouve avec des salariés sous payés, exploités, parce qu'ils ont pas le choix en fait, et le métier qu'on leur apprend leur sert à tout sauf à se réinsérer. (typiquement mon copain avait visité une entreprise où des ex-détenus cueillaient des fruits. c'est super mais ils vivent en ville en fait, du coup sur leur cv ça va pas leur servir à grand chose, et ça ne leur apprend pas un métier leur permettant de vivre décemment non plus... + ils étaient sous payés, avaient un manager maltraitant bien trop payé, et l'entreprise mettait fort en avant son côté "regardez on est trop sympa on fait de la réinsertion!" ... et donc quand ils ressortaient de là ben ils étaient insérés dans rien du tout à part une dépression peut être. alors maintenant quand je vois réinsertion, ça me fait plus peur qu'autre chose malheureusement...)
mais en revanche pas la même de ce qu'est une entreprise éthique
je suis exigeante sur ce point, sinon je qualifie simplement de "moins pire" (genre j'ai donné toutes mes fringues à oxfam et oups en fait 2 semaines après j’apprends que la notion de consentement chez eux c'est un truc vachement relatif. super, ça fait toujours plaisir)je m'intéresse pas mal à la grille des salaires aussi, du coup je me méfie quand elle n'est pas publique , et aussi quand l'asso est dirigé par un mec qui semble gagner teeeeeellement plus que moi (là je pense à Emmaüs puisque c'était ton exemple
)sinon l'insertion c'est très bien, quand c'est bien fait, et malheureusement c'est pas souvent le cas... et typiquement, le relai est assez réputé dans le genre catastrophe inhumaine (je pensais que tout le monde le savais parce qu'à chaque fois que j'évoque le relai les gens autour de moi font la grimace, en fait en cherchant des sources je trouve vraiment pas grand chose, donc du coup je ne peux plus retrouver précisément ce qui posait problème ni prouver ce que je raconte... ça m'ennuie, mais pourtant je suis sûre que c'était eux !
)mais je pense que c'est important de savoir que dans les entreprises qui utilisent des salariées en réinsertion pour faire "social", il n'est pas rare qu'on se retrouve avec des salariés sous payés, exploités, parce qu'ils ont pas le choix en fait, et le métier qu'on leur apprend leur sert à tout sauf à se réinsérer. (typiquement mon copain avait visité une entreprise où des ex-détenus cueillaient des fruits. c'est super mais ils vivent en ville en fait, du coup sur leur cv ça va pas leur servir à grand chose, et ça ne leur apprend pas un métier leur permettant de vivre décemment non plus... + ils étaient sous payés, avaient un manager maltraitant bien trop payé, et l'entreprise mettait fort en avant son côté "regardez on est trop sympa on fait de la réinsertion!" ... et donc quand ils ressortaient de là ben ils étaient insérés dans rien du tout à part une dépression peut être. alors maintenant quand je vois réinsertion, ça me fait plus peur qu'autre chose malheureusement...)
). Parfois c'est compliqué de savoir à qui se fier... J'imagine que le mieux pour donner/revaloriser ça reste les associations locales ?
Ce qui veut dire que les paires oubliées peuvent être "désencombrées" 
Ça me semble beaucoup et en même temps à part une paire dont je vais me séparer les autres je les utilises soit plusieurs fois dans le mois soit de façon ponctuelle mais régulièrement quand même, donc je pense que c'est pas trop mal.
)
), et à priori c'est pas eux non plus qui sont allé violer des gens en Haïti. donc bon. jvais faire avec, mais c'est chiant de devoir toujours vérifier tout, et en plus avoir encore des mauvaises surprises derrière quoi... 
(après dans ma famille on a tendance à se refiler les fringues sur 25 générations de cousins jusqu'à ce qu'elles ne ressemblent vraiment plus à rien du tout 
