Ca m'intéresse aussi !cherubin;4031953 a dit :Et ya des témoignages de la dépression post erasmus? ça fait flippé moi je veux pas rentrer
J'ai pas trop mal vécu mon retour d'Erasmus dans la mesure où je me suis occupée le plus possible : job étudiant, sport, cours, etc.
Du coup, je n'ai pas eu le temps de trop y penser même si bon, ça m'a un peu déprimé.
Je pense repartir en M2 en Erasmus, en Hollande ou en France puis faire le stage obligatoire dans un pays d'Amérique latine.
J'ai déjà hâte.
Du coup, je n'ai pas eu le temps de trop y penser même si bon, ça m'a un peu déprimé.
Je pense repartir en M2 en Erasmus, en Hollande ou en France puis faire le stage obligatoire dans un pays d'Amérique latine.
J'ai déjà hâte.
Dites les filles, est ce que certaines d'entre vous ont fait des universités d'été? Ca m'intéresse vraiment, j'ai envie de partir cet été mais j'ai plus de 18 ans, alors les échanges avec une correspondante c'est un peu mort.
Sinon certaines connaissent activa lingua?
Merci!
Sinon certaines connaissent activa lingua?
Merci!
cherubin;4031953 a dit :Et ya des témoignages de la dépression post erasmus? ça fait flippé moi je veux pas rentrer
Moi je n'ai pas fais de dépression, mais il faut disons quelques jours d'adaptation après c'est plus ou moins facile si tu es restée très longtemps dans ton pays d'échange, si la culture était très différente, si tu avais des attaches très fortes dans ton pays d'échange( amoureux(se), meilleurs amis), mais on s'en remet.
Dans mon cas j'ai eu quelques jours à me remettre dans la vie parisienne (le premier jour j'ai fais une crise d'angoisse dans le métro) après avoir quitter ma petite ville espagnole, après tu retrouve des amis, ta langue, des habitudes que tu avais dans ton pays donc ça va.
Salut salut
J'ai pas eu le courage de lire tous les messages ^^.
Je suis parti l'année dernière à Salamanca en Espagne. C’était super bien. C'est une très belle ville, étudiante et pas chère du tout.
Et ba moi j'ai déprimé!
Salamanca est une ville piétonne alors en 6mois je prenais jamais de bus ni de train...
En plus je pouvais faire ma petite sieste entre les cours (2h de pause).
Et la fête commence tard.
En gros si je voulais sortir à 1h du mat ba je pouvais sans problème.
Sans compter les entrées gratuites dans les bars et discothèques...
En plus j'étais en coloc façon l'auberge espagnole! Alors le retour chez les parents ça fait un choc. Et prendre un transilien pour aller a bar sur Paris pleurer en payant son verre et s’inquiéter de l'heure ou on va rentrer ça m'a caremment déprimée.
J'ai pas eu le courage de lire tous les messages ^^.
Je suis parti l'année dernière à Salamanca en Espagne. C’était super bien. C'est une très belle ville, étudiante et pas chère du tout.
Et ba moi j'ai déprimé!
Salamanca est une ville piétonne alors en 6mois je prenais jamais de bus ni de train...
En plus je pouvais faire ma petite sieste entre les cours (2h de pause).
Et la fête commence tard.
En gros si je voulais sortir à 1h du mat ba je pouvais sans problème.
Sans compter les entrées gratuites dans les bars et discothèques...
En plus j'étais en coloc façon l'auberge espagnole! Alors le retour chez les parents ça fait un choc. Et prendre un transilien pour aller a bar sur Paris pleurer en payant son verre et s’inquiéter de l'heure ou on va rentrer ça m'a caremment déprimée.
M
madamebonheur
Guest
Pour ma part, mon retour d'un an en erasmus a été difficile mais en deux temps :
Le retour fin juin/début juillet s'est étonnamment bien passé (alors que je m'attendais au pire), car j'avais un super programme de vacances, un job d'été, j'ai retrouvé mes amis, il faisait beau, on sortait pas mal...
Mais la rentrée a été un énorme contrecoup et j'ai passé plusieurs mois dans le brouillard à réellement déprimer... tous mes amis d'eramsus on plus ou moins vécu la même chose à un moment donné. Le plus dur c'est d'avoir vécu tant de choses de manière si intenses et de revenir au strict rythme et aux habitudes d'avant, reprendre la vie où on l'avait laissé, c'est glaçant et très dur. Dans l'idéal, il faut essayer de changer son rythme trouver de nouvelles activités, s'investir dans une assoc étudiante, etc etc pour éviter ce sentiment.
Le retour fin juin/début juillet s'est étonnamment bien passé (alors que je m'attendais au pire), car j'avais un super programme de vacances, un job d'été, j'ai retrouvé mes amis, il faisait beau, on sortait pas mal...
Mais la rentrée a été un énorme contrecoup et j'ai passé plusieurs mois dans le brouillard à réellement déprimer... tous mes amis d'eramsus on plus ou moins vécu la même chose à un moment donné. Le plus dur c'est d'avoir vécu tant de choses de manière si intenses et de revenir au strict rythme et aux habitudes d'avant, reprendre la vie où on l'avait laissé, c'est glaçant et très dur. Dans l'idéal, il faut essayer de changer son rythme trouver de nouvelles activités, s'investir dans une assoc étudiante, etc etc pour éviter ce sentiment.
bizijess;4039691 a dit :
Mais tu es moi j'étais la bas le semestre dernier, et j'ai ressentis la même chose.J'ai eu du mal au début à me réhabituer aux transports en commun francilien et ça me manque de tout faire à pieds.Je regrette un peu la vie nocturne était beaucoup plus accessible que ce soit pour l'ragent, l'ambiance plus détendue et pareille pas la galère pour rentrer à Paris.Et de même j'ai du revivre chez mes parents bon même si j'étais en coloc, tu perds un peu d'indépendace quand même parce tes colocs te laissent plus tranquile que tes parents.Et je trouves que le s locaux de la USAL sont beaucoup mieux que ceux de mon université parisienne où on a cours dans des amphis sans chauffages sans fenêtre.
Je conseilles la coloc pour l'erasmus je préfère vivre seule mais clairement la coloc ça m'a permit de rencontrer du monde parce que en cours moins, c'est grâce à une de mes colocs que je me suis fais des amis où je me suis lié d'amitié avec ses amis, pu faire certaines fêtes.Enfin dans mon cas ça m' a aidé même si je préfères vivre seule.
Moi j'ai trouvé sur un site mais du coup je connaissais pas mes colocs avant c'est la proprio qui nous a choisis mais dans beaucoup d'appart c'est les locataires qui te choisissent donc ils te rencontrent avant, en général ça se passe mieux dans ces cas là.
Dernière édition :
Coucou. Je suis nouvelle sur ce topic 
Je suis en 1ère année, et j'envisage très sérieusement de partir en 3ème année.
Déjà je n'arrive pas à me décider sur le pays : Angleterre, Ecosse, ou USA
? Si des madz sont parties dans ces pays, j'apprécierais beaucoup de savoir comment ça s'est passé en général.
Et enfin, si vous vouliez bien me donner quelques conseils pour avoir le maximum de chances que mon dossier soit accepté, ce serait super nice.
Merciii
Je suis en 1ère année, et j'envisage très sérieusement de partir en 3ème année.
Déjà je n'arrive pas à me décider sur le pays : Angleterre, Ecosse, ou USA
? Si des madz sont parties dans ces pays, j'apprécierais beaucoup de savoir comment ça s'est passé en général.Et enfin, si vous vouliez bien me donner quelques conseils pour avoir le maximum de chances que mon dossier soit accepté, ce serait super nice.
Merciii
alecto;4078827 a dit :
Patience, patience...y'a peut-être des choses qui sont en train de se décider pour certaines!
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Dernière édition :
Ces temps-ci je pense beaucoup à faire un WH canadien. Ça fait longtemps que je veux en faire un, de façon certaine, mais je pensais, au départ, le faire quand j'aurai la trentaine (c'est 18-35 ans et j'en ai 24).
Sauf que là, j'ai pas grand chose qui me retient à Paris (si ce n'est la famille et les amis, mais je reviendrai), et j'ai vraiment envie de partir, de retourner en Amérique du Nord.
Du coup, je me dis que si à l'ouverture des dossiers WH Canada à l'automne prochain je n'ai toujours pas trouvé de travail, je déposerai un dossier pour 2014. Mon copain est d'accord pour vivre ça avec moi.
Bon, si ça se trouve, j'aurai un boulot d'ici là, et je remettrai ce projet à plus tard, mais en ce moment j'y pense énormément.
Sauf que là, j'ai pas grand chose qui me retient à Paris (si ce n'est la famille et les amis, mais je reviendrai), et j'ai vraiment envie de partir, de retourner en Amérique du Nord.
Du coup, je me dis que si à l'ouverture des dossiers WH Canada à l'automne prochain je n'ai toujours pas trouvé de travail, je déposerai un dossier pour 2014. Mon copain est d'accord pour vivre ça avec moi.
Bon, si ça se trouve, j'aurai un boulot d'ici là, et je remettrai ce projet à plus tard, mais en ce moment j'y pense énormément.