@Martha Casserole @Onirinaute extra sensible sensorielle ici. Enceinte je m’étais embrouillée avec un type parceque je lui avait demandé de ne pas hurler au téléphone dans le train. Le mec l’avait mal vécu. La routine. Après niveau volume sonore je supporte bien les bruits d’enfants. J’en viens même à sincèrement compatir avec la maman.
C’est vrai que même en tant que maman on peut trouver ça pénible de ne pas pouvoir avoir de conversation si il y a des enfants autour, j’ai deja été soûlée par ca mais d’ailleurs pas forcément parceque c’est chiant mais parceque dans certain cas j’ai l’impression que l’enfant n’avait pas nécessairement besoin de cette attention (typiquement l’enfant jouait dans son coin) et que c’est juste que les parents n’en avaient rien à faire de ce que je leur disait. Il y avait 30 secondes d’interruption et déjà ils avaient oublié de quoi on parlait. Pour moi encore une fois il ne s’agit pas d’un aléa de la parentalité mais d’un manque flagrant d’intérêt (avéré et assumé) pour son interlocuteur. Un aléa de la parentalité c’est quand ton petit t’interromp, que évidemment tu lui répond, avant de revenir à la conversation en te rappelant de quoi on parlait, voire en relançant ton interlocuteur si c’est lui qui a été interrompu. Du coup oui sur le coup c’est peut être chiant, ça me mortifie parceque forcément avec une petite 1 an ça arrive tout le temps. En même temps c’est schizoïde parceque je ne veux pas non plus que ma fille sente mon malaise et pense qu’elle est moins importante que ma bonne figure, c’est mon bébé et par définition c’est mon rôle de toujours être là pour elle et ça me semble primordial d’agir en cohérence avec ça... du coup ça me mortifie mais en même temps je dois le faire pour elle car ma mortification et ce que peuvent potentiellement penser les gens c’est beaucoup beaucoup moins important qu’elle. MAL DE TÊTE DU MERCREDI MATIN.
Cela dit si j’ai pu être dans les chaussures de la personne un peu soûlée, ça n’a jamais remis quoi que ce soit en question, je ne les ai pas vu moins, je suis toujours amie avec les gens avec qui c’est arrivé. Et comme les enfants sont plus grands ca n’arrive plus. Enfin bref même si temporairement l’echange est altéré on s’en fou, ça dure pas.
C’est vrai que même en tant que maman on peut trouver ça pénible de ne pas pouvoir avoir de conversation si il y a des enfants autour, j’ai deja été soûlée par ca mais d’ailleurs pas forcément parceque c’est chiant mais parceque dans certain cas j’ai l’impression que l’enfant n’avait pas nécessairement besoin de cette attention (typiquement l’enfant jouait dans son coin) et que c’est juste que les parents n’en avaient rien à faire de ce que je leur disait. Il y avait 30 secondes d’interruption et déjà ils avaient oublié de quoi on parlait. Pour moi encore une fois il ne s’agit pas d’un aléa de la parentalité mais d’un manque flagrant d’intérêt (avéré et assumé) pour son interlocuteur. Un aléa de la parentalité c’est quand ton petit t’interromp, que évidemment tu lui répond, avant de revenir à la conversation en te rappelant de quoi on parlait, voire en relançant ton interlocuteur si c’est lui qui a été interrompu. Du coup oui sur le coup c’est peut être chiant, ça me mortifie parceque forcément avec une petite 1 an ça arrive tout le temps. En même temps c’est schizoïde parceque je ne veux pas non plus que ma fille sente mon malaise et pense qu’elle est moins importante que ma bonne figure, c’est mon bébé et par définition c’est mon rôle de toujours être là pour elle et ça me semble primordial d’agir en cohérence avec ça... du coup ça me mortifie mais en même temps je dois le faire pour elle car ma mortification et ce que peuvent potentiellement penser les gens c’est beaucoup beaucoup moins important qu’elle. MAL DE TÊTE DU MERCREDI MATIN.
Cela dit si j’ai pu être dans les chaussures de la personne un peu soûlée, ça n’a jamais remis quoi que ce soit en question, je ne les ai pas vu moins, je suis toujours amie avec les gens avec qui c’est arrivé. Et comme les enfants sont plus grands ca n’arrive plus. Enfin bref même si temporairement l’echange est altéré on s’en fou, ça dure pas.
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