@Hyste De mémoire, les dernières études estiment la proportion de résistants "actifs" à 2% environ. Cela laisse de côté les gens qui
1) ne se sont jamais manifestés après guerre (il y en a pas mal, notamment chez les femmes)
2) les "aidants" occasionnels : hébergeurs, ravitailleurs... (Il y en a pas mal, notamment chez les femmes... Vous me voyez venir, là ? )
Mais même en en tenant compte on peut estimer que c'était à peine 10% de la population, dont 30% de femmes "enregistrées" (proportion peut-être sous évaluée, donc).
Par ailleurs, comme en 14-18, un certain nombre de gens ont migré dès les débuts de la guerre (avant l'invasion), vers la Suisse par exemple. Même s'il n'y a pas eu (il me semble) d'envoi à l'étranger de femmes et d'enfants par exemple aussi organisés qu'en 14-18. Mais il y a eu un exode massif vers le sud lors de l'invasion. Les gens n'ont pas attendu l'ennemi stoïquement sur place (d'autant que, pour les populations de Belgique et du Nord de la France, cela avait comme un air de déjà-vu).
1) ne se sont jamais manifestés après guerre (il y en a pas mal, notamment chez les femmes)
2) les "aidants" occasionnels : hébergeurs, ravitailleurs... (Il y en a pas mal, notamment chez les femmes... Vous me voyez venir, là ? )
Mais même en en tenant compte on peut estimer que c'était à peine 10% de la population, dont 30% de femmes "enregistrées" (proportion peut-être sous évaluée, donc).
Par ailleurs, comme en 14-18, un certain nombre de gens ont migré dès les débuts de la guerre (avant l'invasion), vers la Suisse par exemple. Même s'il n'y a pas eu (il me semble) d'envoi à l'étranger de femmes et d'enfants par exemple aussi organisés qu'en 14-18. Mais il y a eu un exode massif vers le sud lors de l'invasion. Les gens n'ont pas attendu l'ennemi stoïquement sur place (d'autant que, pour les populations de Belgique et du Nord de la France, cela avait comme un air de déjà-vu).
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