Je serai heureuse de partager mon vécu avec toi (et avec les autres aussi hein)
J'ai moi-même vécu une IVG à l'âge de 16 ans. Et je n'ai pas eu le courage d'en parler avec mes parents, ni à l'époque, ni plus tard J'ai été accompagnée de mon copain de l'époque et de sa mère, qui m'ont bien soutenue dans cette période pas évidente à vivre... Je ne me sentais pas prête à avoir un enfant à cet âge-là, et pas avec cette personne en particulier (même si on est restés ensemble plus de 3 ans).
J'ai fait partie des 0.3% sur qui la pilule n'a pas fonctionné, alors même que je la prenais depuis plus d'un an (pour dire que ce n'était pas non plus très récent quand même).
J'ai assez mal vécu ce passage de mon adolescence, et je ne dirai pas que je m'en veux, mais j'aurai voulu en parler à l'époque (avec mes parents ou quelqu'un d'autre), entendre dire que ce n'était pas de ma faute, et pleurer un coup... Plutôt que de rentrer chez moi et de juste dire "j'ai mal au ventre, j'ai pas faim, laisse moi tranquille"
Comme on peut deviner, j'en ai jamais parlé avec ma mère. Mais mon actuel copain est au courant depuis le début, et il a su trouver les bons mots pour me dire que je ferais une bonne mère... Le moment venu
Si vous ne vous sentez pas prêtes, ne culpabilisez surtout pas! Vous serez toujours, et vous êtes quelqu'un de bien, ne laissez pas quelqu'un d'autre vous dictez vos actes
J'ai moi-même vécu une IVG à l'âge de 16 ans. Et je n'ai pas eu le courage d'en parler avec mes parents, ni à l'époque, ni plus tard J'ai été accompagnée de mon copain de l'époque et de sa mère, qui m'ont bien soutenue dans cette période pas évidente à vivre... Je ne me sentais pas prête à avoir un enfant à cet âge-là, et pas avec cette personne en particulier (même si on est restés ensemble plus de 3 ans).
J'ai fait partie des 0.3% sur qui la pilule n'a pas fonctionné, alors même que je la prenais depuis plus d'un an (pour dire que ce n'était pas non plus très récent quand même).
J'ai assez mal vécu ce passage de mon adolescence, et je ne dirai pas que je m'en veux, mais j'aurai voulu en parler à l'époque (avec mes parents ou quelqu'un d'autre), entendre dire que ce n'était pas de ma faute, et pleurer un coup... Plutôt que de rentrer chez moi et de juste dire "j'ai mal au ventre, j'ai pas faim, laisse moi tranquille"
Comme on peut deviner, j'en ai jamais parlé avec ma mère. Mais mon actuel copain est au courant depuis le début, et il a su trouver les bons mots pour me dire que je ferais une bonne mère... Le moment venu
Si vous ne vous sentez pas prêtes, ne culpabilisez surtout pas! Vous serez toujours, et vous êtes quelqu'un de bien, ne laissez pas quelqu'un d'autre vous dictez vos actes