Salut les madz
J'ai 26 ans ,Je travaille comme assistante de communication dans une salle de musique, depuis 10 mois maintenant. J'ai de suite éprouvé quelques difficulté de rapport avec ma responsable.
Aujourd'hui, je crois que je fais une sorte de dépression...je pleure matin midi et soir, et je n'ai plus aucune motivation dans mon travail.
J'ai entendu parlé du harcèlement moral, autour de moi, mais je ne suis pas sure, je suis peut être parano...Ma responsable à l'air tellement sympa, surtout en ce moment, elle va plutôt bien, et rigole tout le temps. Pourtant, c'est bien là, en moi, cette douleur, qui m'obsède.
Lors de mes moments de grande colère et d'indignation, j'ai tenu un carnet de bord (jai arrêté ensuite par ce j'ai surtout envie de ne plus y penser (mais je recommence en vous en parlant) : voici donc mon carnet de bord, qui décrit la situation que je vis, et si vous le lisez jusqu'au bout, vous pourrez peut être me conseiller.
J'ai donc tenu ce carnet de bord à peine 3 jours il y a 6 mois. J'avais cette espèce de volonté farouche que justice soit faîte.
Peut allez vous lire ces lignes et me dire qu'il n'y a rien d’exceptionnel dans ma relation avec ma responsable, et que c'est la loi du travail.
Je vous épargne pour le moment une liste que j'ai faite, car je vais bientôt en parler avec mon directeur.
Pour ajouter quelques points important, cette personne est syndiquée, et assez peu de gens l’apprécie dans ma boite, ma predecesseur m'a avoué qu'il en avait été de même pour elle.
Et j'ai dejà essayé de lui parler (à B) et elle se mets à pleurer...me faisant culpabilisé ou passer pour le bourreau.
à l'heure qu'il est, je me rends malade, je ne veux vraiment plus travailler. Son moindre comportement manipulateur me donne envie de vomir. Qu'elle me caresse dans le sens du poil, ou l'inverse. Je ne peux plus. Je n'ai aucun recours, je vais en parler à mon dir, mais je ne sais pas ce qu'il va faire sachant sa réaction il y à 6 mois.
bref help
J'ai 26 ans ,Je travaille comme assistante de communication dans une salle de musique, depuis 10 mois maintenant. J'ai de suite éprouvé quelques difficulté de rapport avec ma responsable.
Aujourd'hui, je crois que je fais une sorte de dépression...je pleure matin midi et soir, et je n'ai plus aucune motivation dans mon travail.
J'ai entendu parlé du harcèlement moral, autour de moi, mais je ne suis pas sure, je suis peut être parano...Ma responsable à l'air tellement sympa, surtout en ce moment, elle va plutôt bien, et rigole tout le temps. Pourtant, c'est bien là, en moi, cette douleur, qui m'obsède.
Lors de mes moments de grande colère et d'indignation, j'ai tenu un carnet de bord (jai arrêté ensuite par ce j'ai surtout envie de ne plus y penser (mais je recommence en vous en parlant) : voici donc mon carnet de bord, qui décrit la situation que je vis, et si vous le lisez jusqu'au bout, vous pourrez peut être me conseiller.
- Depuis mon intégration dans cette salle, ma responsable B. m'informe qu'il est nécessaire contenu de mon peu d'expérience qu'elle ait accès à ma boite mail.
- Au fil des mois, elle me rappelle fréquemment qu'il est encore nécessaire qu'elle ait accès à ma boite mail compte tenue de mes compétences organisationnelles à ce jour.
- Elle me rappelle très fréquemment avec gentillesse mon manque d'expérience dans le domaine, mon incompétence, mon étourderie, et n'est satisfaite que lorsque j’acquiesce.
- Les premières semaine du mois de mai (j'ai pris mon post en janvier) B .est en vacance jusqu'au 10. Ma collègue et supérieure hiérarchique et DRH A. m’envoie un mail à titre personnel. Elle reçoit alors le mail « réponse automatique » indiquant que B. est en congés. Elle en conclue alors que B. reçoit tous mes mails et décide d'en référer à notre Directeur à son retour de vacances
- Je dois pendant ses vacances m'atteler à la tâche des tickets vidéo de notre programmation produite. Lors de son absence, O, le programmateur , supérieur hiérarchique de B et de moi même m'informe qu'il serait plus intéressant de faire ces tickets pour toute la programmation, de plus nous en convenons ensemble en réunion Diffusion où A et V était présente. Je m’attelle donc à faire ces tickets.
- Lors de son retour le lundi matin, B. découvre dans le compte rendu de réunion ce qu'il a été convenu de faire. Elle se met en colère me reprochant de ne pas l'avoir tenue au courant (pour rappel nous somme Lundi matin), je m'excuse alors, et lui dit qu'il est vrai que O. m'avait chargé de le faire, je ne pense alors, pas être en tord. Elle me dit alors que tout dois passer par elle, et que je ne dois pas écouter O., elle me conseille même d' acquiescer à ses demandes mais de ne pas les exécuter. Elle me reproche de tout faire dans son dos. J'essaie avec calme de lui expliquer qu'il n'est pas aisé pour moi lorsqu'un responsable me dit noir, et l'autre blanc. Toujours très en colère elle me répète « qui est ta responsable ? » toujours avec calme j'essaie de lui expliquer mon sentiment, mais elle me coupe « qui est ta responsable » à 3 reprises. Je me tais de guerre las, mais refuse de répondre à sa question.
- Le mercredi, B. est absente, mais O est revenu, ayant été blessé par les propos de B., je me permets de lui en faire part. À ce moment, notre directeur passe dans notre bureau et entre 2 portes, nous lui expliquons la situation et l'engueulade dont j'ai été victime. Il me promet alors que nous allons en discuter
- Vendredi 16 Mai A.informe notre directeur, et je suis donc convoquer dans son bureau, à 17h. Je me rends alors à ma convocation au côté de A., et lui exprime mon sentiment. Celui d'être « fliquer » en permanence, de me sentir dévalorisé, de ne pouvoir prendre aucune initiative. Je lui explique que je ne m'attendais pas à être l'assistante de B. au regard de mon profil de poste. Que je pensais avoir la responsabilité des tâches de communication Web et numérique, sous la responsabilité de la responsable de communication. Or, il n'y a aucune séparation entre nos postes étant donné qu'elle fait aussi ce que je fais, de temps en temps. Je lui explique alors ma difficulté à connaître mes tâches précises dans ce cas là. De plus, à l'arrivé d'un nouveau support numérique (qui rentre dans mon profile de poste) elle insiste pour être formée et en faire à mes côtés. Son argument principal étant mes absences/congés éventuelles. J'explique à mon directeur que sa façon de tout contrôler et de me laisser aucune tâches propre est dévalorisante et m'interroge sur la confiance qu'elle me porte. Mon directeur m'informe d'abord que le fait de consulter mes mails est une faute grave qui portera conséquence. Il m'informe aussi que ce n'est pas la première fois qu'il est confronté à ce problème vis à vis de B. et qu'il sait que c'est une des raisons principales du départ de son assistante précédente E. Il me dit alors que B. sera convoqué pour répondre de ces actes, le lundi suivant et qu'un technicien désactivera les mails. Je suis rassurée d'avoir été entendue, et me sent soutenue.
- Lundi, C, délégué du personnel m'invite à lui parler, je me confie alors, mais les émotions que j'ai jusqu'alors retenu font surface. J'éprouve un grand stress et une grande fatigue émotionnelle. Je lui explique encore ma situation. C'est difficile, car j'ai peu de faits avérés, tant la pression est constante et discrète.
- Je suis ensuite appelée chez le directeur, en compagnie de B. Je vois très vite que la situation n'est pas en ma faveur. J'ai peine à m'exprimer, l'émotion me submerge. On me reproche de ne pas confier à B. mon sentiment. Le directeur me dit qu'il conclue que c'est un sentiment non fondé sur des faits réels. Que B. est bienveillante et ne souhaite que m'apprendre. Elle insiste sur mon manque d'expérience, mes oublies, et m'accuse de ne rien lui dire et de ne pas la mettre en copie. Je lui avoue que je ne l'ai pas mise en copie sur certain mail et me voit donc fautive. Or je n'ai pas la présence d'esprit de dire que c'est par ce qu'elle reçoit mes réponses que je ne prends pas la peine de lui envoyé mes demandes (mail). De dépit je ne sais plus quoi leur répondre puisque la conclusion est mon manque d’expérience et ma jeunesse. B. n'hésite pas à dire qu'elle voulait désactiver la réception de mes mails, et qu'elle m'en avait fait part, ce que je nie, puisqu'elle ne l'a jamais fait, lorsque je nie, elle se défend vigoureusement et répète que j'ai tord. Elle ajoute aussi qu'elle n'arrivait pas à faire que je reçoivent ces mails lors de ces congés, or je les ai bien reçu mais insiste méchamment. Cela semble convenir à note directeur. Pendant l'entretien, B. nous fait part qu'un ami en commun (un intermittent du spectacle) l'aurais abordé au festival ou elle travaillait durant son absence, en lui disant que ce n'était pas « cool » qu'elle me malmène ainsi (je ne me souviens plus de l'exactitude des termes, mais en gros, ça voulait dire ça). Je suis extrêmement surprise, car je sais ne m'être JAMAIS confié à cette personne sur ce sujet, sachant leur liens d'amitié. Je suis donc très déstabilisé par cette information. Je quitte le bureau effondrée. et en larme.
- J'informe la personne concernée de cette information. Cette personne nie complètement, et apprend au moment où je lui dis les difficultés que je rencontre avec B.
- N'ayant plus aucun recourt pour me sortir de cette situation difficile, je décide de tenir un carnet de bord, avec un date automatique.
- Semaine du 19 mai. Il a été décidé que B. me laissait gérer mon travail cette semaine, elle me demande cependant par mail, une liste des tâches que je dois accomplir. Je lui transmet.
- Je la mets en copies de me mails et la tiens au courant dés réception d'infos. Des mardi, elle me fait remarquer que je n'ai pas enregistrer correctement une photo, qui soit dit en passant n'est pas définitive et pour une date en octobre prochain. Je m'en excuse et lui explique qu'il doit s'agir d'un bug lors de mon enregistrement et que je l'avais moi même remarquer ayant été en copie d'un mail avec cette même photos en haute définition, j'avais donc prévue de mettre ces infos à jour. Malgrè tout, elle termine son mail par « sois vigilante »
- Je m'absente jeudi en déplacement
- vendredi je reçois de nouveau un mail me disant que elle et J avait remarquer l'emploi trop fréquent du « je » dans mes posts de jeux facebook. Je lui concède. Cependant je trouve la remarque étrange puisque lors de mon premier jeu sur facebook, elle m'avait proposé de signer mes post par mon prénom. Je m'apperçois par la même occasion qu'elle a publié bcp de chose sur fb en mon absence. (je n'ai donc plus rien a poster pour le WE)
- Elle me dit encore, ce qu'elle m'avait déjà dit, de poster au nom de La salle, et non de "mon prenom"
- Je lui répond en direct (pour la 3ème fois) : que ce n'est pas possible de publier au nom de La salle, et lui fait remarqué que c'est la même chose sur les posts qu'elle a publié jeudi (c'est signé "mon prénom")
- Je lui dis que je suis d'accord sur le fait de dire « nous vous faisons gagner » mais lui fait remarquer en revanche que cela cassera la proximité avec les gens de ne plus employer le « je ». Je lui propose par exemple de dire « j'espere que vous aller bien aujourd'hui, ça tombe bien car au la salle, Nous vous offrons...etc J'argumente poliment. Elle me répond séchement que de toute façon « on a décidé que ce serait comme ça avec j ». et me fait comprendre que ça n'est pas moi qui décide. Encore une fois, je ne comprend pas ce genre de réaction, je ne souhaite pas décider des choses, j'argumente simplement mon point de vue, étant très souvent sur les réseaux sociaux. De plus il avait été décidé que au sujet des jeux, je pouvais m'exprimer comme cela. Sur les autres posts, je n'ai jamais emplyer le « je » B. a changé » ma publication « Nous espérons que vous êtes ... » « Nous vous donnons rdv demain à 12h30 ! » voici un post de B. du 8 novembre 2013 : "..." je ne vais pas vous le mettre mais elle utilise 2 fois le "je"
- Vendredi 23 mai, N entre dans le bureau et nous questionne sur ce que nous voulons faire au sujet du bureau commandé. B. tombe des nues car elle n'est au courant de rien. C'est vrai, la semaine passeé notre dir est entré dans le bureau et a trouvé que cela prenais trop de place, je lui explique alors que N. a commander un bureau encore plus grand. Me sentant concerné, je lui propose éventuellement l'idée de n'avoir qu'un pc et qu'un bureau, car 1 plus pratique pour moi, et 2 notre dirr m'a confirmé que B ne s'en servirai que lorsque je suis absente. S'en suis l'entretien difficile avec B. B n'est donc au courant de rien, si ce n'est qu'elle ne se servira du pc vidéo fil que lors des mes absences prolongés. Elle m'accuse alors de ne lui rien avoir dit, je lui explique que c'est difficile pour moi de lui parler en ce moment, elle dit qu'elle devra se servir de cet ordi à coté de moi parfois... que je n'ai rien compris, que je me servirai de cet ordi seulement 2 semaines par trimestre (je l'apprend ). Je lui répond que je ne savais pas, que je pensais intégrer ce travail dans mon travail quotidien au même titre que le site...puis elle change d'avis, puis dit qu'elle s'en fout, qu'on fait ce qu'on veut, qu'elle ne veut plus en entendre parler...que ça ne la concerne plus.
- Lundi, je lui ai proposé un outils pour faire l'arborescence du site. Je lui propose de commencer l'arborescence, avec nos notes. Je travaille un moment dessus, lui montre, je le retravaille. J'ai le sentiment de pas servir à grand chose, effectvement, elle a tout refais sur excel, car elle préfère. Nous avons donc toute les deux travailler sur 2 outils différents...de plus, elle m'invite a voir son travail...je lui dis ce qu'il ne va pas (que j'ai fait sur mon travail) elle le change et envoie le sien à l'équipe...En gros, j'ai travaillé dessus, elle a recopié / refait et envoyer son travail à l'équipe. Je n'ai pas l'égo surdimensionné, donc je m'en moque, mais bon...c'est un peu facile. B. se dit qu'il vaut mieux le montrer à U avec de l'envoyer à l'équipe, je pense que c'est une bonne idée, car il maîtrise l'arborescence d'un site.
- Réunion avec U et I (qui font le site) ça se passe bien jusqu'à ce qu'on évoque l'utilité de mettre l'horaire systématiquement en avant. J'appuie son propos en avançant que d'ailleurs, c'est ce qu'on fait sur le vidéo ticket. Elle coupe la conversation en me disant que j'avais donc décidé comme ça de mon propre chef d'enlever l’heure alors qu’avant on la mettait. Piquer au vif, je me défend en disant que c'était O., en regardant mes tickets qui m'avait dit de l'enlever. Elle ajoute : et ça tu ne me l'as pas dit. Je réponds « non B, je ne te l'ai pas dit » sans me démonter. Elle a pourtant vue les tickets. Devant tout le monde, elle fait donc cette aparté, je me sens humiliée.
- Elle a distribué son travail au membre de la réunion, qui touchait à sa fin, je demande alors si on va en discuter un peu. Elle me coupe sèchement en disant qu'il faut le faire valider à l'équipe et que ce n'est pas le sujet de cette réunion...humiliée encore
- plus tard, dans cette réunion, on parle de ce travail.
- Mercredi. Bonne élève, j'évoque ma volonté d'uniformiser les affiches numériques en la questionnant sur les logos à utiliser. Elle me dit qu'il serait bien que j'uniformise les affiches numériques....
- Je lui dis que j'ai créer un fichier AFFICHE numériques dans PAO promo. Elle me demande pourquoi. Je lui réponds, pour mettre les affiches numériques, au lieu de les ranger avec les affiches « papiers » Elle ne trouve pas ça logique, puisque elles sont déjà quelque part. Je réponds « oui elle sont dans Affiches ». Elle me dit « ce que tu devrais faire, c'est mettre les affiches numériques ODT et Fnac dedans »...je réponds « BAH OUI » conclusion, elle me prends pour une imbécile.
- Je dois renommer mon ficher gabarit et non « template »
- Je lui dis que j'ai utilisé indesign (logiciel de publication papier et numérique). Elle me demande pourquoi, je lui réponds que c'est plus pratique. Elle me réponds que non. Que photoshop ça va très bien pour faire ce genre de chose. Elle m'explique ce qu'est indesign (apparemment elle ne sait pas bien....). Je lui réponds, que oui, on peut le faire sur photoshop, mais que indesign est le bon outil. 15 min pour me justifier et expliquer que je préfère utiliser le logiciel étudié pour faire des affiches numériques et non celui étudié pour le montage et traitement photo... Sachant que faire ces affiches est MON travail.
J'ai donc tenu ce carnet de bord à peine 3 jours il y a 6 mois. J'avais cette espèce de volonté farouche que justice soit faîte.
Peut allez vous lire ces lignes et me dire qu'il n'y a rien d’exceptionnel dans ma relation avec ma responsable, et que c'est la loi du travail.
Je vous épargne pour le moment une liste que j'ai faite, car je vais bientôt en parler avec mon directeur.
Pour ajouter quelques points important, cette personne est syndiquée, et assez peu de gens l’apprécie dans ma boite, ma predecesseur m'a avoué qu'il en avait été de même pour elle.
Et j'ai dejà essayé de lui parler (à B) et elle se mets à pleurer...me faisant culpabilisé ou passer pour le bourreau.
à l'heure qu'il est, je me rends malade, je ne veux vraiment plus travailler. Son moindre comportement manipulateur me donne envie de vomir. Qu'elle me caresse dans le sens du poil, ou l'inverse. Je ne peux plus. Je n'ai aucun recours, je vais en parler à mon dir, mais je ne sais pas ce qu'il va faire sachant sa réaction il y à 6 mois.
bref help