lady-l;4419544 a dit :
Ok, pas de souci, je voulais juste être sûre d'avoir bien compris ! ^^
Et j'espère ne pas avoir eu l'air trop aggressive dans mon post initial, c'est juste que ça m'horripiiiiiiiiiile, cette expression !
Je ne supporte pas...
- Initiateur de la discussion Yana
- Date de début
Ok, pas de souci, je voulais juste être sûre d'avoir bien compris ! ^^
Et j'espère ne pas avoir eu l'air trop aggressive dans mon post initial, c'est juste que ça m'horripiiiiiiiiiile, cette expression !
K
katnissvsw
Guest
Je ne supporte pas les gens qui ont une voix naturellement qui fait condescendante parce que du coup, je ne sais pas si la personne est condescendante ou si elle me parle "normalement".
mais trop! j'ai beaucoup de gens au téléphone toute la journée, et je peux te dire qu'il y en a beaucoup qui ont que la voix...tant mieux tu m'dira!
T
tom-chaton
Guest
Quand j'appelle Machine, une de mes copines, j'ai toujours l'impression que la fin du monde est proche. Elle a une voix flippée et très triste au téléphone. Au début quand elle débarquait chez moi je lui demandais toujours "T'es sure que ça va ?". Ça me stresse toujours un peu.
Je ne supporte pas que les gens me disent: "oh là là, tu ne parles pas beaucoup", ou "on ne t'entends pas souvent". Merde! Est-ce que moi je me permets de leur dire: "oh là là, qu'est-ce que tu l'ouvres! Tu voudrais pas la fermer des fois?". Non! 
Et ce que je supporte encore moins, c'est que j'ai l'impression que, pour ce type de personnes, le fait d'être bavard/crier parler énormément, c'est le SEUL mode de fonctionnement possible, le bon, le juste, le vrai. Ben non, il y a plusieurs types de personnalités, et c'est sympa de tous les respecter...
Et ce que je supporte encore moins, c'est que j'ai l'impression que, pour ce type de personnes, le fait d'être bavard/
@Roonie "Personnellement j'ai de riches conversations intérieures, mais je ne suis pas sûre de leur utilité dans la vie de tous les jours". Tu as tout dit! 
Parfois, il n'est pas nécessaire de parler. Bien entendu que j'ai de la conversation, que je "sais" parler -et je suppose que pour beaucoup d'introvertis, timides, c'est pareil-. Seulement, parfois, il n'y en a pas besoin/l'utilité.
Parfois, il n'est pas nécessaire de parler. Bien entendu que j'ai de la conversation, que je "sais" parler -et je suppose que pour beaucoup d'introvertis, timides, c'est pareil-. Seulement, parfois, il n'y en a pas besoin/l'utilité.
Je ne supporte pas les périodes où je me sens nocive pour mon entourage...
C'est toutes ces périodes où je n'ai pas le moral, où je me sens vide pour x raison, où je n'ai goût à rien. Je déteste me sentir comme ça, déjà parce que je déteste être dans un cycle d'improductivité et de pessimisme, mais en plus parce que je sais que ça n'a pas un impact que sur mon rapport à moi-même, mais aussi sur mon rapport aux autres.
Quand je me sens vide, je n'ai pas envie de parler de moi. Or, quand tu fréquentes des gens, il y a toujours un moment où tu dois parler un minimum, tu ne peux pas faire qu'écouter. Je n'ai pas non plus envie de rire, or quand tu es face à quelqu'un qui est de bonne humeur, c'est horrible de devoir te forcer à esquisser un petit rire histoire de ne pas être rabat-joie.
Je déteste ma présence aux autres dans ces moments-là, je me dis que je n'apporte rien de positif, rien de joyeux, que puisque je me sens vide, alors forcément je n'ai envie de parler de rien (je peux parler, mais ce sera sans conviction, sans âme). Si je n'ai envie de parler de rien, je me sens profondément inintéressante, infréquentable, nocive donc. J'aimerais pouvoir me mettre en quarantaine à ces périodes-là pour protéger les gens de mon contact lugubre, et en même temps quand la période s'étire j'ai pas envie de m'empêcher de voir des gens parce que sinon je me sens seule et que c'est encore pire pour mon moral. Alors bon, je vois du monde, je discute hein, mais finalement c'est comme si j'avais pas de moteur, je me sens désinvestie de tout ce que je raconte, je ne suis pas "là", je suis aigrie. J'essaie de faire des efforts pour ne pas refourguer mon amertume sur les personnes qui sont avec moi, mais je crois que ça se sent que je suis éteinte, étant donné que quand je suis allumée, je pense être assez joviale avec mes proches. Là je ne ris pas de bon cœur, je ne fais que des "haha" pour ne pas déprimer les autres. Alors que j'adore les périodes où je ris, et où je ris pour tout et pour rien. Je suis aussi beaucoup moins patiente avec les gens qui me répètent toujours les mêmes choses. Habituellement je les écoute, j'argumente... Là, j'ai juste envie qu'ils ferment leur gueule ou qu'ils changent de disque.
Blabla
Je déteste être comme ça, si encore j'étais un peu déprimée mais que j'arrivais à faire illusion ou à passer au-dessus en restant drôle et sympathique avec les autres... Mais là, même ça j'y arrive mal, et finalement tout ça forme un gros cercle vicieux insupportable.
Désolée pour ce post sponsorisé par Caliméro
La fille elle poste pas ici pendant 30 plombes, et elle revient pour chialer 
Pas citer svp, j'éditerai.
C'est toutes ces périodes où je n'ai pas le moral, où je me sens vide pour x raison, où je n'ai goût à rien. Je déteste me sentir comme ça, déjà parce que je déteste être dans un cycle d'improductivité et de pessimisme, mais en plus parce que je sais que ça n'a pas un impact que sur mon rapport à moi-même, mais aussi sur mon rapport aux autres.
Quand je me sens vide, je n'ai pas envie de parler de moi. Or, quand tu fréquentes des gens, il y a toujours un moment où tu dois parler un minimum, tu ne peux pas faire qu'écouter. Je n'ai pas non plus envie de rire, or quand tu es face à quelqu'un qui est de bonne humeur, c'est horrible de devoir te forcer à esquisser un petit rire histoire de ne pas être rabat-joie.
Je déteste ma présence aux autres dans ces moments-là, je me dis que je n'apporte rien de positif, rien de joyeux, que puisque je me sens vide, alors forcément je n'ai envie de parler de rien (je peux parler, mais ce sera sans conviction, sans âme). Si je n'ai envie de parler de rien, je me sens profondément inintéressante, infréquentable, nocive donc. J'aimerais pouvoir me mettre en quarantaine à ces périodes-là pour protéger les gens de mon contact lugubre, et en même temps quand la période s'étire j'ai pas envie de m'empêcher de voir des gens parce que sinon je me sens seule et que c'est encore pire pour mon moral. Alors bon, je vois du monde, je discute hein, mais finalement c'est comme si j'avais pas de moteur, je me sens désinvestie de tout ce que je raconte, je ne suis pas "là", je suis aigrie. J'essaie de faire des efforts pour ne pas refourguer mon amertume sur les personnes qui sont avec moi, mais je crois que ça se sent que je suis éteinte, étant donné que quand je suis allumée, je pense être assez joviale avec mes proches. Là je ne ris pas de bon cœur, je ne fais que des "haha" pour ne pas déprimer les autres. Alors que j'adore les périodes où je ris, et où je ris pour tout et pour rien. Je suis aussi beaucoup moins patiente avec les gens qui me répètent toujours les mêmes choses. Habituellement je les écoute, j'argumente... Là, j'ai juste envie qu'ils ferment leur gueule ou qu'ils changent de disque.
Blabla
Je déteste être comme ça, si encore j'étais un peu déprimée mais que j'arrivais à faire illusion ou à passer au-dessus en restant drôle et sympathique avec les autres... Mais là, même ça j'y arrive mal, et finalement tout ça forme un gros cercle vicieux insupportable.
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La fille elle poste pas ici pendant 30 plombes, et elle revient pour chialer Pas citer svp, j'éditerai.
Dernière édition :
Ça a déjà du être abordé mais vraiment je ne supporte pas les gens qui me collent dans la file d'attente. Hier soir au cinoch, la meuf derrière moi était tellement collée que je sentais ça respiration dans mon cou
Du coup je lui ai dit quoi, gentiment mais bon on est pas assez intimes pour être si collés. Et puis merde ça fera pas avancer la file plus vite
Du coup je lui ai dit quoi, gentiment mais bon on est pas assez intimes pour être si collés. Et puis merde ça fera pas avancer la file plus vite
Je ne supporte pas les personnes qui coincent leur sac ou qui mettent leur pied quand les portes se ferment dans le métro alors que merde, des métros il y en a à chaque minutes à peine.
Pareil quand le métro est ultra bondé et que les gens rentre quand même en te poussant bien comme il faut.
Je ne supporte pas non plus le nouveau système pour lutter contre l'absentéisme à ma fac qui consiste à faire signer une feuille de présence à chaque cour, parce que du coup les gens qui n'ont pas la moindre envie d'étudier sérieusement se sentent obligés de venir pour les bourses et du coup parle tout le long du cour; après tout ça réglera peut-être le problème de l'absentéisme mais c'est pas pour autant que les résultats aux partiels seront meilleurs.
Pareil quand le métro est ultra bondé et que les gens rentre quand même en te poussant bien comme il faut.
Je ne supporte pas non plus le nouveau système pour lutter contre l'absentéisme à ma fac qui consiste à faire signer une feuille de présence à chaque cour, parce que du coup les gens qui n'ont pas la moindre envie d'étudier sérieusement se sentent obligés de venir pour les bourses et du coup parle tout le long du cour; après tout ça réglera peut-être le problème de l'absentéisme mais c'est pas pour autant que les résultats aux partiels seront meilleurs.
ayling;4427248 a dit :Je ne supporte pas non plus le nouveau système pour lutter contre l'absentéisme à ma fac qui consiste à faire signer une feuille de présence à chaque cour, parce que du coup les gens qui n'ont pas la moindre envie d'étudier sérieusement se sentent obligés de venir pour les bourses et du coup parle tout le long du cour; après tout ça réglera peut-être le problème de l'absentéisme mais c'est pas pour autant que les résultats aux partiels seront meilleurs.
Nous on devait émarger pour les TD mais jamais pour les CM.
Mais bon je sais pas, pour moi la fac ça a toujours été le monde de la démerde, tu fais ta vie, si tu viens pas en cours, tant pis pour toi, alors du coup je comprends pas pourquoi l'absentéisme serait un problème tout d'un coup (à part pour les boursiers bien sûr).
Et je trouve aussi ça irrespectueux te ne venir que pour émarger et de foutre le bazar parce qu'on n'a pas envie d'étudier. Malheureusement ça se fait partout/tout le temps même pour les formations continues (donc des gens qui travaillent qui choisissent de venir en stage et qui emmerdent tout le monde à bavasser).
Je ne supporte pas cet espèce de sentiment d'égarement et d'incompréhension qui me prend lorsque je croise une personne que je connais un peu et que celle-ci m'ignore. Je ne parle pas des gens à qui j'ai dit bonjour une fois mais des personnes avec lesquelles j'ai passé une année scolaire, pratiqué une activité commune, réalisé un travail de groupe et avec lesquelles je m'entendais bien sur le moment. Lorsque la personne m'ignore je me demande si c'est parce qu'elle ne m'a pas reconnue, qu'elle ne m'a carrément pas vue ou alors qu'elle n'en a absolument rien à faire de moi. Parce que lorsque j’aperçois la personne je ne cherche pas à faire la conversation mais je m'attends au moins à un sourire ou à un "salut".
je ne supporte pas les gens qui pour couper court à un débat dans lequel ils sont en position de faiblesse pour pour parer à des reproches, te sortent l'argument complètement absurde et vide de sens: "je suis plus vieux que toi"
Quelqu'un peut me dire en quelle année on a découvert que vieillir guérissait de la connerie ? Aurais-je manqué un bout de note Histoire?
www.jeracontemavie.com
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