@Maadge : Je pense pareil que toi ! On sous-estime l'entre-soi au sein de certaines professions ou certains milieux pro. Pour moi c'est plus ça qui va rendre certains milieux féminins assez antipathiques que le fait que ça soit des femmes !
Je ne supporte pas...
- Initiateur de la discussion Hawley
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- les essentiels
Après, je pense que ça dépend le contexte genre nous on était assez excentré des autres services donc au final, on était un peu obligé de s'entendre et d'être soudées.
D'autant plus qu'au final, nos tâches nécessitaient un travail d'équipe au moins un minimum.
D'ailleurs, je me suis tellement bien intégrée que les autres salariés pensaient que j'étais nouvelle en CDI dans l'équipe et non stagiaire.
D'autant plus qu'au final, nos tâches nécessitaient un travail d'équipe au moins un minimum.
D'ailleurs, je me suis tellement bien intégrée que les autres salariés pensaient que j'étais nouvelle en CDI dans l'équipe et non stagiaire.
M
Membre supprimé 204257
Guest
Pour l’environnement pro féminin, bienvenue dans mon enfer personnel 
Je travaille dans la fonction publique, dans 2 équipes différentes.
Première équipe: cliché sur pattes de la FP administrative, que des femmes de 40/50 ans, toutes avec un ego surdimensionné, il ne faut surtout pas changer leurs habitudes ni sortir du lot (manque de pot, je suis autiste
). C’est à celle qui en fera le moins, ça se tire dans les pattes à la moindre occasion, ça critique celle qui vient de sortir de la pièce etc. Je déteste cette ambiance et si je n’avais pas mon travail dans la 2eme équipe, je pense que je serai partie pendant la période d’essai.
Deuxième équipe: 3 hommes, 3 femmes (dont moi). On fait 2 pauses café ensemble par jour, on a des discussions très intéressantes sur l’actu, le ciné, la musique. On a parfois des discussions entre femmes (en général … sur nos enfants). Je trouve que l’équipe est bien équilibrée et surtout on est 3 femmes avec du caractère donc on ne subit pas de manspreding
Je travaille dans la fonction publique, dans 2 équipes différentes.Première équipe: cliché sur pattes de la FP administrative, que des femmes de 40/50 ans, toutes avec un ego surdimensionné, il ne faut surtout pas changer leurs habitudes ni sortir du lot (manque de pot, je suis autiste
). C’est à celle qui en fera le moins, ça se tire dans les pattes à la moindre occasion, ça critique celle qui vient de sortir de la pièce etc. Je déteste cette ambiance et si je n’avais pas mon travail dans la 2eme équipe, je pense que je serai partie pendant la période d’essai.Deuxième équipe: 3 hommes, 3 femmes (dont moi). On fait 2 pauses café ensemble par jour, on a des discussions très intéressantes sur l’actu, le ciné, la musique. On a parfois des discussions entre femmes (en général … sur nos enfants
). Je trouve que l’équipe est bien équilibrée et surtout on est 3 femmes avec du caractère donc on ne subit pas de manspreding
Je crois que ça dépend vraiment des endroits en fait 
Une copine me disait que l'ambiance entre femmes à son travail était pourrie mais dans mes différents emplois, j'ai toujours eu beaucoup de femmes et il n'y a pas eu de problème.
J'ai déjà eu une équipe 100% féminine et tout se passait très bien, avec des sujets de conversations très différents (avec mes amies aussi d'ailleurs, je ne crois pas que je pourrais m'entendre avec des gens qui sont juste apparence/couple/etc.), de l'entraide, pas de compétition, etc.
A l'inverse, une équipe quasi exclusivement masculine avait très pénible a supporter, avec beaucoup d'égo, de l'immaturité, des petites rancoeurs ressassées et une sale tendance à la condescendance parce que j'étais une femme d'un milieu social en-dessous du leur.
Dans mon actuel, je n'ai pas spécialement de conflit mais je m'entends mieux avec les femmes. Je m'entends aussi avec mes collègues masculins mais dans le genre médisance, irrespect ou condescendance, ils en tiennent une plus forte couche que les femmes.
Il y a en au moins 7 qui tendent les nerfs contre 2 femmes.
Une copine me disait que l'ambiance entre femmes à son travail était pourrie mais dans mes différents emplois, j'ai toujours eu beaucoup de femmes et il n'y a pas eu de problème.
J'ai déjà eu une équipe 100% féminine et tout se passait très bien, avec des sujets de conversations très différents (avec mes amies aussi d'ailleurs, je ne crois pas que je pourrais m'entendre avec des gens qui sont juste apparence/couple/etc.), de l'entraide, pas de compétition, etc.
A l'inverse, une équipe quasi exclusivement masculine avait très pénible a supporter, avec beaucoup d'égo, de l'immaturité, des petites rancoeurs ressassées et une sale tendance à la condescendance parce que j'étais une femme d'un milieu social en-dessous du leur.
Dans mon actuel, je n'ai pas spécialement de conflit mais je m'entends mieux avec les femmes. Je m'entends aussi avec mes collègues masculins mais dans le genre médisance, irrespect ou condescendance, ils en tiennent une plus forte couche que les femmes.
Il y a en au moins 7 qui tendent les nerfs contre 2 femmes.
M
Membre supprimé 204257
Guest
@Toulouse. j’entends totalement ton argument, j’avoue que je n’avais pas vu les choses sous cet angle.
Oui, il y a une grosse part de patriarcat là-dedans, les femmes de 40/50 ans ont été élevées à satisfaire le patron en fermant leur gueule et donc, la seule distraction était de commenter la prise de poids de Caro de la compta ou les coucheries de Corinne du bureau d’à côté.
Je pense aussi que c’est plutôt moi qui n’est pas adapté à cet environnement que l’inverse. Je critique essentiellement les personnes, j’imagine que j’aurai fait les mêmes critiques si ça avait été des hommes
Bref, je suis très nulle pour exprimer mon point de vue. Tout ça pour dire qu’une des équipes dans laquelle je travaille ne me convient pas ET il se trouve que ce ne sont que des femmes donc j’en ai conclu que le problème venait du fait que ça soit des femmes, pas très malin de ma part. Ton post m’a donné envie de réfléchir à ce problème sous un nouvel angle
Oui, il y a une grosse part de patriarcat là-dedans, les femmes de 40/50 ans ont été élevées à satisfaire le patron en fermant leur gueule et donc, la seule distraction était de commenter la prise de poids de Caro de la compta ou les coucheries de Corinne du bureau d’à côté.
Je pense aussi que c’est plutôt moi qui n’est pas adapté à cet environnement que l’inverse. Je critique essentiellement les personnes, j’imagine que j’aurai fait les mêmes critiques si ça avait été des hommes
Bref, je suis très nulle pour exprimer mon point de vue. Tout ça pour dire qu’une des équipes dans laquelle je travaille ne me convient pas ET il se trouve que ce ne sont que des femmes donc j’en ai conclu que le problème venait du fait que ça soit des femmes, pas très malin de ma part. Ton post m’a donné envie de réfléchir à ce problème sous un nouvel angle
M
Membre supprimé 204257
Guest
@Toulouse. Je précise que je ne l’ai pas du tout mal pris 
Pour avoir longtemps été "la fille qui n'aime pas les filles" puis ayant réalisé l'aspect très sexiste et misogynie intégrée du concept, je suis aujourd'hui très contente de ne bosser pratiquement qu'avec des femmes. Oui il y a des parfois des histoires, des disputes, mais y'en a aussi dans les milieux masculins et/ou mixte, je l'ai testé aussi. J'étais avant dans une équipe avec davantage de mecs et ils faisaient tout autant d'histoire, voir même plus et aujourd'hui dans cette équipe mixte c'est la guerre absolue (je suis ravie d'en être partie du coup). Donc comme quoi, le soucis ne vient pas des femmes, mais plutôt d'une ambiance de travail qui peut être toxique ou non.
Ce que je retiens par contre, c'est que je préfère être avec une majorité de femmes plutôt que l'inverse parce que je ne me sens pas en danger avec elles. A cause de mon vécu et expériences personnelles, me retrouver uniquement entouré d'hommes m'inquiète, me fait me sentir menacé. J'aime la mixité, donc ça ne me dérangerait pas qu'on soit à 50/50 mais si je devais choisir entre un environnement exclusivement féminin et un environnement exclusivement masculin, je choisirai le féminin, pour ma propre sécurité (ou en tous cas mon sentiment de sécurité).
Ce que je retiens par contre, c'est que je préfère être avec une majorité de femmes plutôt que l'inverse parce que je ne me sens pas en danger avec elles. A cause de mon vécu et expériences personnelles, me retrouver uniquement entouré d'hommes m'inquiète, me fait me sentir menacé. J'aime la mixité, donc ça ne me dérangerait pas qu'on soit à 50/50 mais si je devais choisir entre un environnement exclusivement féminin et un environnement exclusivement masculin, je choisirai le féminin, pour ma propre sécurité (ou en tous cas mon sentiment de sécurité).
Pour rebondir sur les propos de @Toulouse. , l'équipe 100% féminine était aussi l'emploi où j'avais les meilleures conditions de travail et le meilleur chef
Par contre, dans le précédent et l'actuel, j'ai un environnement toxique et il y a beaucoup plus de problèmes, indépendamment du genre des personnes.
Les hommes me courent plus facilement sur le haricot mais je crois que c'est aussi dû à leur socialisation (parler très fort, prendre toute la place, se croire plus malin que les autres, agir comme si le reste du monde était à disposition, ...)
Par contre, dans le précédent et l'actuel, j'ai un environnement toxique et il y a beaucoup plus de problèmes, indépendamment du genre des personnes.
Les hommes me courent plus facilement sur le haricot mais je crois que c'est aussi dû à leur socialisation (parler très fort, prendre toute la place, se croire plus malin que les autres, agir comme si le reste du monde était à disposition, ...)
Je trouve aussi qu’il faut un peu se méfier sur les généralisations sur les milieux féminins… D’ailleurs, j’ai une question sur à celles qui n’aimaient pas les filles et qui ont changé d’avis depuis : est-ce que vous avez de meilleurs rapports avec les femmes maintenant? Je me demande beaucoup si la misogynie intégrée ne nous pousse pas à vivre le pire dans la sociabilité féminine en nous coupant du meilleur?
Une de mes meilleures amies a toujours eu des grosses difficultés dans les milieux féminins alors que moi jamais mais après 15 ans à la voir vivre encore et encore les mêmes choses avec ses collègues femmes, force est de constater aussi que dans sa vie privée, je suis sa seule amie femme. Les autres femmes avec qui elle s’était liée d’amitié, ça a bien souvent fini en clash de jalousie au bout de un ou deux ans. Et le truc bizarre c’est que vraiment de mon côté, alors qu’on parfois été dans les mêmes endroits, j’ai noué des liens durables avec des femmes et je n’ai absolument jamais fini une amitié avec une fille qui me disait que je lui faisais trop d’ombre. Or, mon amie a souvent un discours sur les autres femmes qui fait un peu effet patriarcal : elle se voit souvent en compétition avec les femmes inconnues pour l’attention masculine dans un contexte de séduction et considrère comme une victoire le fait de décrocher un mec au nez et à la barbe d’une autre femme, elle décrit souvent ses collègues de plus de 45 ans comme “des vieilles ménopausées qui ont passé leurs années de gloire et sont donc aigries face aux jeunettes”, etc. Bref, pour elle les relations entre femmes sont de base un champ de bataille, ce qui n’est pas forcément surprenant étant donné que sa mère est une personne très toxique. Mais bref, je soupçonne parfois que cette vision des femmes fait fuir les femmes qui ont des relations sereines avec les autres femmes ou pervertit un peu les relations qu’elle pourrait avoir avec ces femmes. Parce que moi perso, si je sens qu’une femme me voit spontanément comme une rivale (et ça se sent quand on connaît les relations équilibrées et saines avec d’autres femmes), je réduis mes interactions avec elle. Dans notre cas, on s’est rencontrées y’a longtemps et dans des circonstances particulières donc on a eu la possibilité de partir sur des bases plus neutres. Et du coup, il ne lui reste pour tisser des liens que les femmes qui trouvent normal d’être en compétition avec elle ou des femmes qui ne trouvent pas ça normal et deviennent distantes.
Après, elle travaille aussi dans un milieu très particulier composé en majorité de femmes et a mis les tensions sur le dos des femmes aigries et jalouses pendant des années jusqu’à ce qu’elle se retrouve avec EXACTEMENT le même problème de jalousie, mesquinerie, poignard dans le dos, etc. de la part de ses rares collègues hommes dont elle se pensait très proche. Donc clairement le milieu toxique de base jouait aussi mais je pense que sa vision des femmes l’a empêché de réaliser que ses collègues hommes étaient pareils mais cachaient juste mieux leur jeu.
Après, je précise que je ne dis absolument pas que toutes les femmes qui vivent des difficultés avec les autres femmes les vivent car elles sont sexistes (c’est possible justement que vous soyez dans un milieu de femmes qui n’aiment pas les femmes) mais je pense que c’est important de ne pas essentialiser la sociabilité féminine et le comportement féminin des femmes et de se demander si on a vraiment un regard neutre sur la question.
Une de mes meilleures amies a toujours eu des grosses difficultés dans les milieux féminins alors que moi jamais mais après 15 ans à la voir vivre encore et encore les mêmes choses avec ses collègues femmes, force est de constater aussi que dans sa vie privée, je suis sa seule amie femme. Les autres femmes avec qui elle s’était liée d’amitié, ça a bien souvent fini en clash de jalousie au bout de un ou deux ans. Et le truc bizarre c’est que vraiment de mon côté, alors qu’on parfois été dans les mêmes endroits, j’ai noué des liens durables avec des femmes et je n’ai absolument jamais fini une amitié avec une fille qui me disait que je lui faisais trop d’ombre. Or, mon amie a souvent un discours sur les autres femmes qui fait un peu effet patriarcal : elle se voit souvent en compétition avec les femmes inconnues pour l’attention masculine dans un contexte de séduction et considrère comme une victoire le fait de décrocher un mec au nez et à la barbe d’une autre femme, elle décrit souvent ses collègues de plus de 45 ans comme “des vieilles ménopausées qui ont passé leurs années de gloire et sont donc aigries face aux jeunettes”, etc. Bref, pour elle les relations entre femmes sont de base un champ de bataille, ce qui n’est pas forcément surprenant étant donné que sa mère est une personne très toxique. Mais bref, je soupçonne parfois que cette vision des femmes fait fuir les femmes qui ont des relations sereines avec les autres femmes ou pervertit un peu les relations qu’elle pourrait avoir avec ces femmes. Parce que moi perso, si je sens qu’une femme me voit spontanément comme une rivale (et ça se sent quand on connaît les relations équilibrées et saines avec d’autres femmes), je réduis mes interactions avec elle. Dans notre cas, on s’est rencontrées y’a longtemps et dans des circonstances particulières donc on a eu la possibilité de partir sur des bases plus neutres. Et du coup, il ne lui reste pour tisser des liens que les femmes qui trouvent normal d’être en compétition avec elle ou des femmes qui ne trouvent pas ça normal et deviennent distantes.
Après, elle travaille aussi dans un milieu très particulier composé en majorité de femmes et a mis les tensions sur le dos des femmes aigries et jalouses pendant des années jusqu’à ce qu’elle se retrouve avec EXACTEMENT le même problème de jalousie, mesquinerie, poignard dans le dos, etc. de la part de ses rares collègues hommes dont elle se pensait très proche. Donc clairement le milieu toxique de base jouait aussi mais je pense que sa vision des femmes l’a empêché de réaliser que ses collègues hommes étaient pareils mais cachaient juste mieux leur jeu.
Après, je précise que je ne dis absolument pas que toutes les femmes qui vivent des difficultés avec les autres femmes les vivent car elles sont sexistes (c’est possible justement que vous soyez dans un milieu de femmes qui n’aiment pas les femmes) mais je pense que c’est important de ne pas essentialiser la sociabilité féminine et le comportement féminin des femmes et de se demander si on a vraiment un regard neutre sur la question.
@MorganeGirly Pour répondre à ta question : oui absolument ! J'ai des amies filles depuis toujours, mais je les considérai comme des filles "spéciales" qui n'aimaient pas les trucs dit féminins, comme moi, et on entretenait ensemble ce côté "Nous on aime pas les filles". Les autres filles, je les jalousais ou je les méprisais. Ou les deux en même temps. Depuis que j'ai ouvert les yeux là dessus (il y a 6 ou 7 ans je dirai), mes rapports avec les femmes se sont améliorés, j'ai même compris que j'étais attirée sexuellement et romantiquement par les femmes, et j'entretiens des relations beaucoup plus saines avec les femmes de manière générale. J'ai arrêté de les voir comme des rivales et de mépriser les activités et comportement "féminins".
Et même au-delà, j'ai un rapport plus sain avec... Moi-même. J'accepte d'aimer certains trucs, comme me mettre du vernis, mettre des robes, des trucs que m'interdisais parce que "c'est des trucs de filles, moi j'aime pas ça, moi je suis pas superficielle" bref toute cette belle misogynie qu'on nous inculque. Le déclic pour moi, ça a été mes études, avec ma promo qui était majoritairement féminine. J'ai rencontré des tas de filles différentes, j'ai compris qu'il n'y avait pas UN profil de meuf mais des milliers, et j'ai commencé à m'intéresser au féminisme, j'ai compris beaucoup de choses. La notion de sororité est devenue tout à coup hyper importante.
Enfin bref, arrêter d'être une fille qui n'aime pas les filles ça a été merveilleux et libérateur, dans ma façon de voir les autres filles mais aussi de me voir moi-même !
Et même au-delà, j'ai un rapport plus sain avec... Moi-même. J'accepte d'aimer certains trucs, comme me mettre du vernis, mettre des robes, des trucs que m'interdisais parce que "c'est des trucs de filles, moi j'aime pas ça, moi je suis pas superficielle" bref toute cette belle misogynie qu'on nous inculque. Le déclic pour moi, ça a été mes études, avec ma promo qui était majoritairement féminine. J'ai rencontré des tas de filles différentes, j'ai compris qu'il n'y avait pas UN profil de meuf mais des milliers, et j'ai commencé à m'intéresser au féminisme, j'ai compris beaucoup de choses. La notion de sororité est devenue tout à coup hyper importante.
Enfin bref, arrêter d'être une fille qui n'aime pas les filles ça a été merveilleux et libérateur, dans ma façon de voir les autres filles mais aussi de me voir moi-même !
Je suis d'accord sur le fait que c'est le milieu du travail en lui-même et le patriarcat qui rendent certains milieux féminins toxiques au boulot. En attendant je ne sais absolument pas quoi faire pour calmer le jeu dans ces cas-là !
J'en suis arrivée à préférer travailler avec des hommes, (alors que je les trouve arrogants, chochottes et pas bons à grand-chose la plupart du temps
) tellement c'était toxique. Dans tout autre milieu que celui du travail je trouve toujours un terrain d'entente, j'arrive à calmer le jeu, je préfère même largement la compagnie des femmes, sauf au taf et ça me désespère ! Même les "filles qui n'aiment pas les autres filles", ou celles qui sont perpétuellement en compétition, je parviens toujours à avoir de bonnes relations avec elles.
De toute façon je suis sur le point de me reconvertir dans un domaine quasi exclusivement masculin mais surtout où on travaille seul la plupart du temps, comme ça c'est plus simple
J'en suis arrivée à préférer travailler avec des hommes, (alors que je les trouve arrogants, chochottes et pas bons à grand-chose la plupart du temps
) tellement c'était toxique. Dans tout autre milieu que celui du travail je trouve toujours un terrain d'entente, j'arrive à calmer le jeu, je préfère même largement la compagnie des femmes, sauf au taf et ça me désespère ! Même les "filles qui n'aiment pas les autres filles", ou celles qui sont perpétuellement en compétition, je parviens toujours à avoir de bonnes relations avec elles.
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De toute façon je suis sur le point de me reconvertir dans un domaine quasi exclusivement masculin mais surtout où on travaille seul la plupart du temps, comme ça c'est plus simple
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