Enfant, je me sentais bien plus humiliée par les claques que par les fessées. J'ai eu quelques fessées, dont je rigole vaguement aujourd'hui (bien que sur le coup, elles ont éveillé en moi des envies de meurtre envers ma mère ).
J'en ai eu très peu, mais c'était pour des bêtises mineures, donc c'est 50/50 (pas totalement justifié, mais je peux comprendre l'énervement de ma mère dans ces moments).
Les claques en revanche me laissent un souvenir cuisant, un relent de haine (même si j'en ai eu peu là aussi). C'est vraiment du face à face, tu ne t'y attends pas, de la vraie violence. Tandis que la fessée, tu la vois venir: la personne s'assoit, baisse ton pantalon, bref tu as le temps de te "préparer", et la frappe est moins violente, moins douloureuse.
J'ai juste envie de dire que tout ça est à nuancer, on diabolise la fessée comme étant THE truc violent à l'encontre d'un enfant, mais je pense que c'est vraiment au cas par cas. Encore faut il que ce soit justifié, et ça c'est pas évident. Le peu que j'ai reçues étaient dans un contexte de crise, mal expliquées, et ne m'ont pas appris grand chose (sinon à fomenter des plans contre ma mère, et à haïr l'école ).
Je pense que c'est plus une manifestation de ras-le-bol qu'un réel outil d'éducation, pour beaucoup de personnes. Du moins c'est comme ça que je l'ai ressenti, enfant. Je n'en ai pas tiré d'enseignements. C'est aux parents de bien l'utiliser. Après c'est simple à dire, hein? On ne sait pas comment la majorité d'entre nous réagiront plus tard. Tout ça c'est que de la théorie, on se dit "quand j'aurai un mioche je ferai ci, je ferai ça", mais au final on ne sait pas comment ça se passera.
J'en ai eu très peu, mais c'était pour des bêtises mineures, donc c'est 50/50 (pas totalement justifié, mais je peux comprendre l'énervement de ma mère dans ces moments).
Les claques en revanche me laissent un souvenir cuisant, un relent de haine (même si j'en ai eu peu là aussi). C'est vraiment du face à face, tu ne t'y attends pas, de la vraie violence. Tandis que la fessée, tu la vois venir: la personne s'assoit, baisse ton pantalon, bref tu as le temps de te "préparer", et la frappe est moins violente, moins douloureuse.
J'ai juste envie de dire que tout ça est à nuancer, on diabolise la fessée comme étant THE truc violent à l'encontre d'un enfant, mais je pense que c'est vraiment au cas par cas. Encore faut il que ce soit justifié, et ça c'est pas évident. Le peu que j'ai reçues étaient dans un contexte de crise, mal expliquées, et ne m'ont pas appris grand chose (sinon à fomenter des plans contre ma mère, et à haïr l'école ).
Je pense que c'est plus une manifestation de ras-le-bol qu'un réel outil d'éducation, pour beaucoup de personnes. Du moins c'est comme ça que je l'ai ressenti, enfant. Je n'en ai pas tiré d'enseignements. C'est aux parents de bien l'utiliser. Après c'est simple à dire, hein? On ne sait pas comment la majorité d'entre nous réagiront plus tard. Tout ça c'est que de la théorie, on se dit "quand j'aurai un mioche je ferai ci, je ferai ça", mais au final on ne sait pas comment ça se passera.