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AnonymousUser
Guest
Il y a Sylvain. Cela fait 11 ans qu'on se connait et 7 ans qu'on est réellement amis.
Lui c'est mon double au masculin, à tel point que parfois on se rend compte de la similitude de nos vies et de ce qui s'y passe. Nous avançons en parallèle, parfois telle chose lui arrive en premier, parfois c'est à moi qu'elle arrive en premier.
Nous pouvons passer 6 mois sans nous parler mais lorsque l'un de nous deux va mal, c'est vers l'autre qu'il se tourne, instantanément. Rien ne change dans notre amitié, si ce n'est qu'on se découvre souvent de nouveaux points communs, d'autres choses qui nous rapprochent au delà de l'amour qu'on se porte.
Nous sommes sortis ensemble, pour voir. Parce que chacun notre tour nous en avions eu l'envie, mais la peur de tout briser était trop forte. Notre relation n'a pas marché, elle a duré deux semaines et rien n'a changé entre nous. On plaisante simplement sur le fait qu'on se connait intimement physiquement parlant, c'est tout.
Je peux tout lui dire, il peut tout me dire. Lorsque je vais mal et lorsque je pleure c'est lui que j'appelle en premier. Lorsqu'il va mal c'est moi qu'il appelle en premier aussi. Même si cela fait plusieurs mois que je n'ai aucune nouvelle. On ne s'envoie jamais de sms, on s'apelle de temps en temps et quand je suis sur Montpellier, on se voit. Beaucoup.
Et il y a Sophie, c'est mon amie depuis la sixième. Cela fait 11 ans qu'on se connait également. Je crois que ce sont les années qui passent qui construisent notre amitié parce que niveau caractère et goûts nous n'avons rien à voir, mais alors rien du tout. Ce qui m'intéresse l'ennuie et inversemment.
Pour elle je réponds au téléphone à 3h du matin lorsque ça ne va pas. Je m'inquiète lorsqu'elle me bipe la nuit pour que je la rappelle. Lorsque l'une va mal, l'autre est là. Nous avons nos "soirées de sales", durant lesquels on cuisine les choses qu'on aime, on les mange avec les doigts devant la console, en riant et en buvant parce que c'est comme ça qu'on oublie que le reste est bancal.
Nos liens se sont renforcés depuis qu'elle est devenue ma marraine de faluche, un point commun de plus en somme.
Voilà les deux personnes dont je suis la plus proche, les amis du collège en somme. Ceux que je n'ai jamais perdu de vue.
J'ai d'autres gens que je porte dans mon c?ur, que je considère comme des amis mais c'est définitivement avec eux que les liens sont les plus forts.
Lui c'est mon double au masculin, à tel point que parfois on se rend compte de la similitude de nos vies et de ce qui s'y passe. Nous avançons en parallèle, parfois telle chose lui arrive en premier, parfois c'est à moi qu'elle arrive en premier.
Nous pouvons passer 6 mois sans nous parler mais lorsque l'un de nous deux va mal, c'est vers l'autre qu'il se tourne, instantanément. Rien ne change dans notre amitié, si ce n'est qu'on se découvre souvent de nouveaux points communs, d'autres choses qui nous rapprochent au delà de l'amour qu'on se porte.
Nous sommes sortis ensemble, pour voir. Parce que chacun notre tour nous en avions eu l'envie, mais la peur de tout briser était trop forte. Notre relation n'a pas marché, elle a duré deux semaines et rien n'a changé entre nous. On plaisante simplement sur le fait qu'on se connait intimement physiquement parlant, c'est tout.
Je peux tout lui dire, il peut tout me dire. Lorsque je vais mal et lorsque je pleure c'est lui que j'appelle en premier. Lorsqu'il va mal c'est moi qu'il appelle en premier aussi. Même si cela fait plusieurs mois que je n'ai aucune nouvelle. On ne s'envoie jamais de sms, on s'apelle de temps en temps et quand je suis sur Montpellier, on se voit. Beaucoup.
Et il y a Sophie, c'est mon amie depuis la sixième. Cela fait 11 ans qu'on se connait également. Je crois que ce sont les années qui passent qui construisent notre amitié parce que niveau caractère et goûts nous n'avons rien à voir, mais alors rien du tout. Ce qui m'intéresse l'ennuie et inversemment.
Pour elle je réponds au téléphone à 3h du matin lorsque ça ne va pas. Je m'inquiète lorsqu'elle me bipe la nuit pour que je la rappelle. Lorsque l'une va mal, l'autre est là. Nous avons nos "soirées de sales", durant lesquels on cuisine les choses qu'on aime, on les mange avec les doigts devant la console, en riant et en buvant parce que c'est comme ça qu'on oublie que le reste est bancal.
Nos liens se sont renforcés depuis qu'elle est devenue ma marraine de faluche, un point commun de plus en somme.
Voilà les deux personnes dont je suis la plus proche, les amis du collège en somme. Ceux que je n'ai jamais perdu de vue.
J'ai d'autres gens que je porte dans mon c?ur, que je considère comme des amis mais c'est définitivement avec eux que les liens sont les plus forts.