Je ne me définirais pas comme "ermite", mais on peu dire qu je suis qqun d'assez solitaire. En fait ça n'est pas que j'aime rester tout le temps seule, c'est juste que j'aime avoir mon espace a moi, mon temps a moi, mes affaire a moi. Je vois des gens, j'ai des amis, un copain, une famille, mais si je devait l'expliquer en chiffre, j'ai besoin de 25% de temps "social", et de 75% de temps seule. Si je vois trop de gens, trop souvent, ou a un moment que j'estimais être MON temps a moi, je vais le vivre très mal, comme une intrusion (un peu comme si une armée ennemie envahissait mon royaume juste pour me proposer des cookies ou une soiré).
Quand j'étais ado, j'ai vécu mes premier mercredi après-midi seule a la maison, et j'ai tellement kiffer. J'avais le temps de regarder des films, de penser, de rire, sans le regard des autres. Quand je vivais avec mon copain, il me laissait souvent seule le weekend, et c’était trois jours merveilleux. J’apprécie sa compagnie, et j'adore vivre avec lui, mais par exemple, je ne supporte pas qu'on soit tous les deux dans la même pièce toute la journée, et on restait chacun dans sa pièce.
J'aime lire seule, me balader seule, faire de la cuisine seule, ce sont des moment très importants pour moi, et je cultive beaucoup ma solitude. Une chose que j’apprécie particulièrement depuis quelques mois, c'est de prendre le train. Je cherche un wagon peu remplis (sur ma ligne c'est easy), je m'assoie et je lis, je regarde par la fenêtre, ca me relaxe beaucoup et j'ai le sentiment d’être vraiment au calme, avec le bruit des roue qui isole du monde, et la convention polie du "j’emmerde pas mon voisin" des espaces publics.
Comme certain.e.s autres ici, je suis hypersensible, très empathique, et si je n'ai pas ses moment sans personne, je vais me sentir noyée. Je suis aussi hyper sensible sensorielle, pour moi je repas familial est un agression de bruits douloureux, des gens qui envahissent mon espace, ne respectent pas mes difficultés... Après ce moment, je dois passer une demi-heure au calme. J'ai aussi une vie intérieure riche, et je n’apprécie pas qu'on déboule dans mes rêveries pour me solliciter, et c'est assez dur de répondre a la personne "non mais je veux pas te parler maintenant : je suis en plein débat étique avec un interlocuteur imaginaire "
Quand j'étais ado, j'ai vécu mes premier mercredi après-midi seule a la maison, et j'ai tellement kiffer. J'avais le temps de regarder des films, de penser, de rire, sans le regard des autres. Quand je vivais avec mon copain, il me laissait souvent seule le weekend, et c’était trois jours merveilleux. J’apprécie sa compagnie, et j'adore vivre avec lui, mais par exemple, je ne supporte pas qu'on soit tous les deux dans la même pièce toute la journée, et on restait chacun dans sa pièce.
J'aime lire seule, me balader seule, faire de la cuisine seule, ce sont des moment très importants pour moi, et je cultive beaucoup ma solitude. Une chose que j’apprécie particulièrement depuis quelques mois, c'est de prendre le train. Je cherche un wagon peu remplis (sur ma ligne c'est easy), je m'assoie et je lis, je regarde par la fenêtre, ca me relaxe beaucoup et j'ai le sentiment d’être vraiment au calme, avec le bruit des roue qui isole du monde, et la convention polie du "j’emmerde pas mon voisin" des espaces publics.
Comme certain.e.s autres ici, je suis hypersensible, très empathique, et si je n'ai pas ses moment sans personne, je vais me sentir noyée. Je suis aussi hyper sensible sensorielle, pour moi je repas familial est un agression de bruits douloureux, des gens qui envahissent mon espace, ne respectent pas mes difficultés... Après ce moment, je dois passer une demi-heure au calme. J'ai aussi une vie intérieure riche, et je n’apprécie pas qu'on déboule dans mes rêveries pour me solliciter, et c'est assez dur de répondre a la personne "non mais je veux pas te parler maintenant : je suis en plein débat étique avec un interlocuteur imaginaire "